v u e d ’e n s e m b l e d e h a n k e o u — l e s c o n c e s s io n s
EUROPÉENNES ET LA VILLE INDIGÈNE
La concession française possède un grand hôtel comme
on serait heureux d’en rencontrer bon nombre dans les
voyages à travers la France. Il est, d’ailleurs, apprécié et
fréquente par toute la colonie européenne. Me voici en cet
hôtel, et, de la vérandah qui en protège l’entrée, voici ce
que je vois, ou devine. Il est huit heures du m atin
A droite, le Yang-ïse se déroule le long d’une côte basse
que surmontent quelques arbres, ou se perd dans le brouillard.
La vie sur le fleuve est déjà intense. C’est de ce côté
qu est 1 embouchure du Han, tellement encombrée de jonques
de charge qu’une embarcation à vapeur peut difficilement s’y
frayer un passage (i). Beaucoup de ces jonques descendent
à la voile le courant du grand fleuve. D’énormes trains de
bois, d’une hauteur d’au moins dix mètres, flottent çà et là :
des familles entières habitent là-dessus. Cette jongada dérive
lentement, maintenue, au centre du courant par d’imp
(1lr,Îîan'-,Ke^u slgnlfte I embouchure du Han », et non,nort ®ouche des entrepôts ». L’Anglais Colquhoun dcisoamitm, een l '1é8c9r8i,t -dlue ae Hankeou | « It seems destines, to be the port of castern Central
, transf° rmation.) Le voyageur russe Piassetsky dit au’il y
innQm .of, d^ on1t c?harsc upnleu se sdt eh a1b0i’t0é0°e aSuc amndoeins s epmabr aqrcuaattiroen os ue ct indq'i npneormsobnrnaebsl.es
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