NOTE SUR LE COURS, LA RÉGION
ET LES VILLES DU YANG-TSE (1)
NOMB ET SOtrtíOES — LE YANG-TSE ET LE HOANG-HO
Il y a quelque chose d’inoertain jusque dans les noms et les sources
du Yang-tse-Kiang.
« Voici les noms qu’on lui connaît : sur le plateau du Tibet il
s’appelle Mour-oussou (fleuve tortueux); plus bas, dans le Tibet
oriental, Britcbou, jusqu’à son entrée dans le Setchouen ; il change
alors son nom contre celui de Ndjou-Tchou-Iabdoun; puis, il s’appelle
Pe-choui-Kiang (fleuve aux eaux blanches) des environs du Li-Kiang
jusqu’au confluent du Ya-Loung-Ho. Il devient alors Kin-cha-Kiang ou
Kin-Ho (fleuve au sable d’or), nom qu’il conserve au moins jusqu’à
Soui-fou (2). Plus bas, il prend des noms locaux : Tchou-Kiang-Tchou
dans le Hou-pe, Tsang-Kiang dans le Kiang-sou, en face de Taï-ping-
fou, et Hoei-Kiang dans la province de Ngan-Hoei; enfin Yang-tse-
Kiang depuis la ville de Chin-Kiang jusqu’a la mer. Les uns traduisent
Yang-tse-Kiang « fleuve fils de l’Océan », les autres « fleuve
fils de Yang ». Yang était le nom d’une ancienne province dont le
démembrement a formé le Kiang-sou, le Tche-Kiang et le Ngan-Hoei
actuels. Dans le langage ordinaire, lés Chinois l’appellent encore
(1) Cette note n ’est point une étude scientifique,plément des Indications/.fournies par ce livre, p amrtiaciusl iuèrne msiemnpt les ucro mle
Ydeasn gli-vtsree s inoufé rairetuicrl.e sO cni téesn àa l ad égagé les données principales de la lecture sont priés d'y voir seulement Bibliographie. Ceux qui la liront à leur tour pages de la relation/ mais qu’doens an octoesn ddeonnsét eosn pno’uar peans fvaoiurelu u anleo usrodritre ldees cadre ou de commentaire au voyage du Charner. s’a(2p)p Lelel eD siuctcicoensnsiavierme ednet VKiivni-ecnh ae-tK Riaonugs,s eplueti sd iPte, ïa-cuh ocuoin-Ktriaainreg,, qauue cloen fflleuuevnet
du Ya-loung-Kiang.