auJT» r> te™rai?°Imements reposent sur la même base qu Hankéou vit par le seul commerced u thé, et ruqiunee ucsee s:e cu’le scto rn
q^ueu Tle Lthet hesét 'icei slet pàr -ianic-iep al objetU dn’ egxIpanordt aPti0ornfc.' 1L1e estht ét rnèso ivr reati
quit hvei eennn bernitq ulee sc dh eHrcahnekré odu’O sdoensst ac, ovnseorsm mlaé sf isnu drteo umt ap* a; r les Susses
consomment surtout du thé de Ceylan, qu’ils jugent plus déTi!
eut. Mais ce n est pas par le seul commerce du thé que Hankéou
.est -en passe de devenir le second port de commerce de la Chine
dd ’HHaannkkéeo uq Ua6u gmente au deïlà de toute .pproropgorretsiosen . leDnétejàm el’netn, trceeplôuti
des peaux, de la plupart des produits bruts de la Chine s’est trans-
O r^V^ t“aSU X mams° Pd, es FI?r apnlUçSa irsa PsuPrrotocullté eq u¿’eess tl iecuextt ed eb rparnocdhuec tiimonp.o r».
tante du commerce de Hankéou. « Cette primauté a son prix car
après la République Argentine, la Chine est aujourd’hui le principal
centre de production des peaux de boeufs, de buffles e t de chèvres - et
nlano -P1 disputer a Hambourg pour ces produits la première
français dd ’HHaannkléTo1u que vn oÏus^ le Sdev oCn’6sS. t >p» 0(UWr e™u lGe rsse. ) PQauretl qauuexs
Ç , rosjeanm, mmee mS0bDret ddeir ilgaé Mesi spsaiorn dleyso nEnuariosep,é evnies,n te dt ’eunn fFonradnerune,
avec une maison d’exportation. La iaiso n Vrard et (> Franç
ise ega ement, prépare et lave les produits des mines. Hankéou fait
dTsetrd» r f f rab'e de SUif I I S d’huile de B H tfa bl riÉq u eRr d es b1, rosses. (A’ mdaet tsruyc.)r e> de sésam e, de soies de pPo rc pPour
«JÜ-'i" " 1 ' d,’aiI1?Urs’ de tenir êrand compte d’un fait nouveau et
HHaannkleoeoiu a& u!n ° synPdic CaOt nfcreasnscioon- bdeel glea. liAginnes id, e dc’huenme inp adret, feHr aPnékkéionu-
sera en communication directe avec la capitale, à traveiu le Ho nan
le « Jardin de 1 Empire », dont les richesses sont peu connues et lé
Chan-si, qui produit le meilleur raisin de la Chine. D’autre part une
h ^ e amencame Hankeou-Canton le reliera à toute la Chfne méri!
et S hanahaTX » ° ^ Se ? ” “ communications faciles avec Nankin
en d esceld Ton tiet ffll e^uve; servnicaer ij.o^utironnal ieenr tprea rH 1a ncokméopua genti eS chhainngohisaeï, anglaises, 2 allemandes, 1 japonaise). En 1901 cette lien a ¿faif
&h>h2™t tÿU X fde6™ £ler eM? “ki"te l*le' s“, Ts“ur *1,2 2•8” k i™lom è•t•r“esÏ Ïden loSng ugeuSr
ttaaiiÎt Tquuee 1 inauguration autrearimt ihneéue seunr 1794006 k. ilLoam ègtareres , «e tm l’aorni ticmome p»-
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tteïstteerr Tless pprroogurèrès ?i^m mensseistu aatcicoonm spil iesx cdeépjtài?o nnQeulele ?l ’oCno mcmomenpta rceo nàunique
maison française signalée par Léon Rousset, il y a vingt-cinq
ans la concession française actuelle, avec son consulat ombragé, son
grand hôtel, sa Banque de l’Indo-Chine, fondée en 1902, ses six
maisons de commerce, qui représentent un chiffre de 2,500,000 francs
d’affaires?
Plus tôt que les Français, les Anglais ont compris l’importance de
cette ville au terrain plat, mal abritée contre les orages et les inondations,
mais destinée à devenir le Canton de la vallée du Yang-tse ;
(« ï t seems destined to be the port of Eastern Central Asia ». Con-
q t jh o u n , China in transformation, I.) La tn n ité de villes Hankeou-
Outchang-Hanyang, a peut-être été l’agglomération la, plus considérable
de la terre, et peut le redevenir. Sans doute le P. Hue exagere
quand il en évalue la population totale à 8 millions d habitants ;
mais d’autres, par réaction, l’ont évaluée trop bas. On peut choisir
entre 1 million à peu près (Arch. L i t t l e , S t r a u s s , Marcel M o n n i e b ) , 1 300,000 ou 1,500,000 (Mission lyonnaise, C o t t e a u ) , 2 millions a
peine (abbé Armand D a v i d , d e C a r n é ) , 2 ou 3 millions. (Miss Géraldine
G u in e s s , Dans l’Orient lointain, Genève, 1893, m-8° ; Roy, Dn
Français en Chine, pendant les années 1850 à 1856, Tours, Marne,
1858 188 p., in-8<’.) Mais il est à noter que les plus récents visiteurs
sont’aussi les plus modestes dans leurs supputations. Des troubles
civils, comme ceux où, de 1853 à 1855, Outchang fut prise trois fois
HaDkeou deux fois, des incendies comme celui qui, en 1898, anéantit
la ville indigène de Hankéou presque entière, ont produit leurs effets
momentanés ou prolongés. Mais il y a une force des choses dont
Hankéou bénéficiera, peut-être, il est vrai, aux dépens dHanyang,
sinon d’Outchang.
En 1899, dit Bons d’Anty, le mouvement constaté par la douane
à Hankéou était de 1733 vapeurs (1,800,000 tonnes) et de 1196 voiliers
(185,000 tonnes), soit un tonnage total de 2 millions de tonnes
en chiffres ronds. Pour le port d’Itchang, on enregistrait la meme
année un tonnage de 500,000 tonnes (322 vapeurs avec 229,000 tonnes
et 6 273 jonques avec 226,000 tonnes). Itchang est encore dans le
Hou-pe, mais c’est à partir de Hankéou que les gros navires ne passent
plus qu’avec difficulté. « A Hankéou, il faut transborder sur des
vapeurs d’un tonnage et d’un type légèrement inférieur, car le cours
moyen du fleuve s’embarrasse de bancs de sable couvrant des bas-
fonds et de quelques émergences rocheuses : les bateaux ne sauraient
avoir un tirant d’eau supérieur à 6 ou 7 pieds. » ( B o n s d A n t y .) Selon les bateaux, on va de Hankéou à Itchang (390 milles) en deux
ou quatre jours; de Shanghaï à Itchang, par vapeur, en cinq ou
sept jours. Située à 1,750 kilomètres de la mer cette ville, selon
le P. Gaillard, compte'34,000 habitants, plus de 100,000 selon Vaul-
serre (Gotha : 40,000) et fait 31,166,326 francs d’affaires annuelles
(1900) : l’île Si-pa, qui fait corps avec le continent, sauf a 1 epoque
des hautes eaux, y forme un port "naturel. ( S a u e r w e in .) I^hang a
été ouvert par la convention de Che-fou. Pour y arriver de Han