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^^ to u t c e s tesresthes
lequel se relevant de cl,,<j„e côté de la membrane crnî
recouvre Je,, cartilages du ne., présente par con!é
quent une échancrure qui se trouve remplie par c eul
c . Dans une .ête dépouillée de se,s parties m X les
- ^ r t u r e com.™
quaae fo,s plus grande que dans les individus vivans
Ces ouvmures nasales se trouvent alors rapprochée¡
une de 1 autre, percées direclement dans S e del
longueur delà tête ettoujoursparfaitementarronde
n f e r : : - ? — - « » u s les Chélo:
(les Crocodiles exceptés) et les Ophidiens les
uenr de tete ; ,1s sont toujours situés plus près du
- u s e a t t qt,e de,l'occiput, et environ d'/n t er pins
rapprochés de Textrémité antérieure. Il est "re oue
mension que 1 espace compris entre son bord infé
lendues obhquement de manière que lanrfe anté
.eur e3t . . , ^ J l e n -
tend,s que le postérieur est un peu plus élevé I »
F.ere .n^rieure, qui est plus h'aute^t lus l o b i
ae 1 oeil. Cette disposition permet aux Ghersites
que ceux qu sont placés au dessus d'elles. Le bord
de ces paupières est arrondi et lisse. Nous n'avons
d^« Chelonxens, à la page 4oo du tome précédent,
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ou CHÉLONIENS CHERSITES. 47
si ce n'est que dans tous les individus que nous avons
examinés vivans, mais qui, à la vérité, n'étaientpas des
espèces nocturnes, nous avons constamment observé
une pupille arrondie et non verticale et linéaire.
La membrane du tjmpaji est toujours apparente,
circulaire et assez large, ce qui n'existe plus dan^
les espèces éminemment aquatiques des trois autres
familles de cet ordre des Chéloniens.
Les Chersites ont le dessus de la langue évidemment
papilleux. Cet organe est épais; il remplit la
concavité de la mâchoire inférieure dont il prend la
forme aiguë en avant: souvent son épaisseur est considérable.
Jamais on ne voit chez les Tortues terrestres, de
barbillons aux mâchoires, ni d'appendices cutanés mobiles
sur les côtés du cou, comme chez plusieurs Élodites
Pleurodères.
Le dessus de la tête des Chersites est garni de plaques
cornées, depuis le bout du museaJ jusques un
peu en arrière des yeux. Ceci est notable , car chez
les Elodites, il n'y a que quelques genres qui ont
des plaques sur la tête, et les ïhaiassites en ont sur
toute la surface du crâne et des joues.
Ces plaques, qui, suivant la place qu'elles occupent
ont reçu des noms particuliers, varient pour le nombre
et la forme d'espèce à espèce, comme nous allons
le taire connaître (i).
(1) Les plaques cornées qui recouvrent les os de la tête de la plupart
des Chéloniens, mais surtout des Chersites et des Thalassites ,
ont ete nommées plaques céphaliques. On les distingue d'après le.
répons quelles occupent; ainsi on les appelle rostrales, nasales,
fronto-nasales, frontales, antgrbitaires o„ lacrymales, sus-orbitaires
reptiles, ji, ^^
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