inlM-
^ ÏORTUIÎS TERRESTRES.
principale td u corps couverte d'nnp »oyenne ou
que le pcuven. se .eti.er la .aie, les pa^es^et'i: ; :
Ch .quelques „nés oependanl, la oonvexilé s'aLI"
et se dépnme de manière à ce qne eene o.r.ie Z
corps se rapproche de la forme d^s Élod! cf: ot
le bond,er pins large que haut. Le ponr,onr le a
carapace es. presque régulièrement ovale dans a ïo
tue «recque ; quelquefois il est, beaucoup plus laU e„
Per aul . Nous ne connaissons pas d'espèces c h e z les
eela a l.eu chez tontes les Thalassites. Quelquefois la
boue osseuse est allongée, presque de mém'e larg t^
sur le dos, et présentant ainsi de droite à paucl.e une
orte de portion de cylindre aplati ou fo";
neurement dans le sens de sa lingueur. Teil est h
Tortue Charbonnière (Carbonari!), de Sr.;
/l est des especes qui ont une carapace presque hé
-.ea qui ont /e'dos
quelques cas ce bord est presque horto „"stl':
o u CHÉLOKIENS CHERSITES. 9
Il arrive souvent que ce Lord libre se relève au
dessus des régions qui correspondent au cou et aux
pattes; c'est ce qu'on voit dans la Tortue de VOSMAER.
Tantôt le pourtour de la carapace est parfaitement
uni dans toute son étendue, comme dans la Tortue
Polyplième; tantôt, au contraire^ il offre non seulement
une large écliancrure en V au dessus du cou,
telle est la partie antérieure de la carapace dans la
Tortue Panthère ; ce bord a parfois des dentelures
au dessus des bras, des cuisses et de la queue ; ou bien
il forme une arête saillante sur cliacun des flancs, et se
relevant du côté du dos^ il produit au point de sa
jonction au plastron , une sorte de sillon ou de gouttière,
comme on le voit dans l'Aréolée, espèce que
nous avons inscrite dans le genre Homopode.
A l'exception des deux espèces du genre Cinixjs,
toutes les Chersites ont le bouclier supérieur formé de
pièces osseuses tellement engrenées par leurs sutures,
qu'elles ne sont susceptibles d'aucune sorte de mouvement,
et qu'elles présentent en général la voûte la
plus résistante, la plus solide. Dans les deux premières
espèces que nous venons de citer, la portion
postérieure de la carapace n'est pas unie à l'antérieure
par une cliarnière mobile dont les pièces seraient retenues
par des ligamens élastiques , il n'y a là qu'une
lame osseuse et flexible qui permet au battant postérieur
de se mouvoir en s'abaissant ou en se soulevant
avec force, pour s'appliquer contre le plastron.
Le sternum, ou le plastron des Chersites offre aussi
plusieurs particularités remarquables; les pièces qui
le composent forment un tout solide dont la partie
plate ou inférieure se nomme le corps, garni latéra