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fi dix ju-ftes étoient trouvés en laCiré , il-il ôpargperoit
à icelle. Sire, par cettfe mifericordé, par cette guacëk
& par cette confidérationfqud, nc«i pasdixy màfis-dix
mille font én vôtre bonne Ville de Paris, veüilliez pardonner,
& abolir tout le méfait pâlie fans.punitton, <5rt
tant que vous verrez qu’ils en aûrôiit rep&nta'ftéé-,- oC
qu’ils nevauront point perfeverer en mal, Quiabene-
ficium non datar in invitum. Et pardonner J. Ion ennefoannis
Gerfomï 6 6 q
telle violence,, telle vile 8c tyrannique,^-Qoa mie domination
, maisiUbjeéiiofi. AVifez qtie oft ettft plus
doulk^Ôt plus obôi. a un varledpaillard-,. que^a vous,
Sire, ou à la Reine, ou àMonfieur leDelplîitf, ou
à toutC'Voilrebonne Chevallerie, 6c Clergie, ôc Bour-
géôifie. Entanb quo db vok prières, je ne dirai mie
vos commandemens , 11e de la Reine , ne d autre :
pour vôtre Oncle Monfieur de Bavière, pour vôtre
ce p itié, mais fote ôc crucufe folie, Quia-nullaeftcle-
meruia bello. Cette proteftation Ôc fupphCation faite
pour maintenant 6c autresfois contre le murmur d’aucuns
, qui peuvent imputer ce que nous difoiàs a
cruaulté, 6c à venjance,ou à punition,& diflipatioii
du Traitié de paix, que Dieu ne vuëille : dilbns poui la
vérité connoitre, que tels gens de petit , ou nul état
faifoient priloiV privée, preiioient , tuoieftt, meur-
trilfoient ,-noioiônt par nuit, (ans quelconque ordie, 6c
forme de procez 6c par corruption d’argent. Aucun#,
comme on dit, ufoient d’invocations d’ennemis,- 6c
yaliei&, 'éc Clercs , pour hohorables Dames 6^-DamoH
folle# emprifonnées , oiv d’en tenoit compté quel-
conque, & un prud’homme nrofoit aller par le chemin,
quand un paillard , meurtrier y alloit chiere le-
véteyîeur entrepiïfe étoife telle que ils contraignoient
lël bons eftre avelf eux'pour coulourer 6c foutenir leur
malice , comme j’ai oui dire de M. d’Auffemont:
comme un bieri notable homtfie autrefois; én plein
Confeil dift dé fon‘ Seigneur ^ que fi qu’il' avoit fait
ce auoit été maugré lui 6cpar contrainte. Efeoutez
que de tyrannique opprefiion bien les doit untelSeiprenoicnt
conleil des Juifs, & n’eff rien que iüf fialf- gnêür co f r ig e rK Jpêr'fequter quand ils empefchojent
feSt tant que on parie de paix,ou de Traitie,&: perfe- .: que on parle ue p-, «ia viedu^oq&ceia lu t.
cutoient tous ceux qui en partaient, ou y tendoi'ént.
Car autrement ils ne pouvoient eftre afiiirez, ce leur
fembîoit : Qui# femptr prefumitfiva, perturbata confient
ta , ait Sapiens. Sap.xv11.x5i. Notez dé celui qui
volt tuer fon Seigneur. Et puifque le fait feüt atteint,
fon Seigneur lui démandaen reprochant la grâce parà-
vant faite, pourquoi il il le vouloir: occire -, je voustli-
ra i, Sire , répondit ce traitre , certes je connoiffois
que j ’avois tant méfait envers vqus;, que je né pouvois
avoir elperance de pardon-, 6c fi vous tendois par tout
détruire, afin que je heulfe aucune feureté. A ce propos
dit Seneque, Qui multàm débet, multiim ingrat us
eft. Et félon le Proverbe commnn : fa homme n aimera
celui , qui Fa repité de la Mort. Or etofent telles
gens quf tenoient Sire , vous, 6c toute vôtre Roïa-
Rex in fempiternum vive. Sire,
jé fÇaï bien que les Jugemens de Dieu font incom-
prenables > neantmoins il me vient au devant, que
la divine Providence Ôc9apfenee, Qua attingit a fine
ûfsjae adftnemfortiter, & difpornt omniafùaviter.Sap.vi n.
i . Ha fouffert cé méchief damnable 6c indigne, 6c
incomparable, pour aucunes caufes -, jatn'ais Dieu
ne fouffriroit mal advenir ,- s’il n’en Vouloir aucun
Bien eftre , felorr que dit S'. Augullim L ’une
câufe peut eftre pour reconnoifti’e la grâce de
Dieu , Ôc confequerriment pour le loüer , fervir , 6c
magnifier. Car fe Dieu monfra onques la puiflan-
c e , là fapience , 6c fa benivôlènce én> ce Royaume,
il l’a icy’ montré : car foudamement il- a1 feparé les
bons fujets d’avec lés1 mauvais, réparant pretïofam à
vsli,. 6c a voulu- que le Corps de vôtre fille l'Uriia
, - '» " • "O ---------- - y
6c Saintes, qui gardent ce Roïaume tres-Chreltren,
tout leur effort, toute leur folle, 6c crueufe éntré-
prife etc mifé comme au néant, qui en fçaura bien
ufer ? Notez ce que je dy , Qui en fçaura bien h fer?
Et tout cecy s’eft fait plus par miracle que par voie humaine
, dil’oit n’agueres vôtre Prevoft de Paris aux Députez
de vôtre fille fUniverfité. Nous eftions, dit
il , vous, 6c nous tous perdus , morts, 6c deftruits,
fe le remeden’yeut efté ainfi briefmis. Ou parlez de
tels merveilleux 6c autres maléfices fans nombre > entant
que cent mil hommes d’armes, comme je heus n y
eullènt pas tant fait pour remédier àcesbelbignés oc
à vôtre Roïale v ie, fans bruit, fans effufion de fang,
6c fans méchief comme ha fait Dieu. C ’eft le bon Maître
qui oeuvre fans demeure. Nefcit tardare. Si devons
bien, Sire, nous vos humbles fubjeéts délivrez de fi
grands maux. Nous qui vous regardons mis en vôtre
franc’n i fe 6c libert é Roïale. N ous qu i veôns confun-
dus6c confus les adverfaires mortels de vôtre vie civile
, 6c politique, Roïa le, 6c üniverfelle. Nous devons
bien, Sire, vous faluer en conjoifiant, 6c con-
joïr en faluant, 6c dire. Rex tn fempiternum vive. Je
dirai plus, 6c dirai vérité de ceux qui ont ces chofes
faites, que c’eft à leur grand profit 6c falut que ils en
foient accufez, s’ils en veulent bien ufer, Qui* fine-
re peccatores ex fintentia agere, magna mi fier ia eft. Et
Auguftin : Nihil infeheius fehettate peccantium. Nota
de gladio qui removetur à furiofb. Ceci eft contre 1 i-
mapination de ceux quidient. Pardonnés tout j mais
non eft, c’eft cruauté foie , qui ne le feroit à la fin
que nousdifons, 6c qui n’enparleroit6c attaindrqit la
pourriture de la playe mortelle toûjours fe crever oit 6c
refrefehiroit. Mais furvient encore une autre que-
ftion. Car à plufieurs eft une merveille des juftes jugemens
de Dieu, comment il a fouffert telle oppreflîon,
joints à vous, 6cà- vôtreRoïa-le Seignorie , cotSîme•
en dïfant dé fait plus que de parole. Rex tn femjm*
ter nam vïùé. Et vous fçavéZ , Sire-, que la bévifè'
dé vôtre bonne Ville e ft, Vive le Roi, 6c moult s’accorde
la devife, qu’ils ont dàrrainement prife': Le
droit chemin. Et qui e f t , Sire , le droit chemin?
C ’eft Te chemin R o ïa î, qui ne va à dextre, ni à fe-
nêftré , ,qui eft patent , 6c publique , fans angles,
fans aguettes , fans fraudes , ou déceptions. Nous
trouvons que lés beftes fraüdulemes *, 6c aftutes,
6c doinmàgeufes , comme le' renard , 6c fe teffon,
6c le ferpent , ne peuvent aller lé droit chemin j
mais Vont toujours en variant, 6c en déclinant, puis
ç à , puis là, 6c eutapinage, ou en mucéttes'. Ce
ne font pas vos loïaux lüjets , pour les quels je
parle ; car ils vont le droit chemin , & le chemin
Roïal. Cjradiemur via 'Regià. Num.xxf. i l . Les
fils d’Ifraël promettoient , qu’ils iroient le' chemin
Roïal. C ’eft le chemin droit , 6c publique , comme
en difant, jious irons tous de vray çneur fin le
Roïal 6c le droit chemin. Si devés bien, Sire, rc-
connoiftre la grâce de Dieu, 6c le bien loer, magnifier
, 6c regracier , qui vous a fait telle; operation
merveilleulè, oui vous a donné tels fubjets , Ief-
quds ont expofe leur v ie, 6c tout le leur, pour accomplir
ce iàlut en vôtre Roïale perfonne. Rex in
fempiternum vive. E t ici je' prens l’autre caufe pourquoi
Dieu a voulu foufffir , ou permettre que cet-i-
te horrible adverfité foit venue j c’eft afin , Sire,
que.vous connoiffiés vos bons fujets , 6c la foi , 6c
loïauté qu’ils ont eu â vôtre vie garder 6cc. C en ’cft
pas petit fruit, mais grand heur, félon le dit de Seneque,
6c de Boëfce, quand on peut connoître qui eft ami
en neceffité, 6c qui non. Sire, je puis bien dire comme
expert, que en votre fille l’Univérfité font cent
Sc c e n t , 6c plus encor jofnes Maîtres, qui étoient fiélion, ne palliation. E t pouf fonder mieux 8c plus
menacez de tuer 6c d’eftre deftruits , non pas eux authentiquement nos dits, prenons l’Hiftoire de l’E-
feulemenc, mais leurs Peres 6c Meres, 6c tout leur criture fajnte du Prophète Daniel, auquel font les
lignage. Et non pour quant ils ont tout aban- paroles propofées pour theme écrites ou 11.6c ni. chap.
donne, ÔCmeprifè pour vous fervir loïalementj 6c Confiderons , que dit la lettre. Elle dit, que N a-
ont mis leur v ie , 6c de tous leurs parens pour la vo- buchodonofor R o i de Babylon en Chaldée étoit en
ftre civile , ôc Roïale garder, 6c pour vous faluer, fa couche, ou en fon lit -, il commença à penfer fort
& dire. Rex in fempiternum vive. Pareillement je *££ qui appartenoit à fon Roïaume , 6c ce qui étoit
tiens que ainfi a efté en vôtre Ville de Paris, 6c en .après à avenir. L à me vient au devant ce que difoit
l ’Etat de Boürgeoifie j mais je parle de ce quejefçai Caton, que il n’avoit point moindre cure delà cho-
~ ~ ' ’* ' ‘ 1 ■ *’ * xt' fepu b liqu e, que elle feroit,après fa m o r t, que lui
vivant -, c’eft: bien ioïabamour du bien commun -, contre
ceux aux quels ne chaut comment tout voile,
mais que ils paflent temps 8c que ils fàcent leur >çho-
fe bonne. Mais en efpecial vous, Sire, devez avoir
telle cure ou follicitude pour le temps à venir, com-
mieulx: fi fois l’exclamation des Alethes en Virgile,
auxSain&s 6c Saintes.
Non tamen omnino Çallô s delere paratis,
Cum taies animas Juvenum, & tam certa tuliftis.
ReU ora.
v , . ment vôtre Roïaume fera bien.gouverné à caufe de
Venons a une autre caule pourquoi Dieu par- vôtrepofterité,. ou lignie. Car en ce fe fonde prin-
avanture a voulu fouffnr ce mefchief. E t qui eit cipaleraent la pofition, qui d it, que le Roïaume fe
®^e. : J a^n | ^,Ire 9 ^u.e n?us connoi®°n^.t()Us gouverne mieux & fe maintient par fucceffion que
la différence qui eft entre la domination ^ Roïale , par elecbîon. Pour ce que le R o i confidere que le
& celle d’aucuns populaires -, car la Roïale à com-
munéement, 6c doit avoir douceur , 6c mifericorde
piteufe , Reges domus Ifirael dementes fint. 3. Reg. XX.
31. Noble cueur fi eft piteux } mais euer civil, 6c
villain , ha domination tyrannique , 6c crueufe , 6c
Roïaume eft comme à foi propre en l’éducation de
fa lignie. En après me vient au devant ce que dit
Macrobe in faturno, que la chofo qui appartient
mieux à un Prince , eft méditation , ou confederation',
c’eft à dire, qu’il foit confideratif, oupenfifau
qui fe deftruit par elle même ôc autre auffi. Si com- g bien commun. Il applique à ce l’hiftoire d’un jongleur
mm îainn ndmoirt br»iief*nn ÀArriiffl-tro»tfep îài AAll^eVxîainnmdvr»e , Nec aquunots nYia.ittuuYraa. i n ■ • r . • r» • , ' ■ ,P r.
jacere pracipit, exalta : On ne doit point, folon le
proverbe commun, de un matin faire un levrier, ne
d’un buiflon , un efprevier. Si vous fais ic i, Sire,
une ammonition, ou fupplication, & qui plus eft je
m’enhardis de vous faire une obteftation , ou conjuration
, par icelle grâce que Dieu nôtre Souverain
hifirio , qui figuroit un Prince comme battaijler ÔC
aller ç à , 6c là : l’autre jongleur le reprit 6c dît qu’il
failloit, 6c fucceda en fon office, 6c lors fe mift comme
un homme penfif, 6c fut loiié de tous qui là
étoient. A ce s’accorde ledit du Sage. Rex qui fe-
det in Solio fudicij, intuitufuo dijfipat omne malum. Prov,
xx. 8. Un R o y qui fied ou fiege Ac Juftice diffipe
O ï 1 ° C ~L X - I „ j AA. O. Vil 1WJ VjUl 11VU vu livgv ÜV JUIUVC Ulinpc
Roi 6c Juge vous ha faite, par la tresgrande amour tout mal par fon regard -, c’eft a dire , par fa conque
1 - - dire , pâr .fa cor
vous appercevezen vos bons fujets,Clers, ôclaïs fideration. Dit en un autre lieu le Sage. Trinceps, ea
Sage. “Rrinceps, ,
ÔC nobles. Amez , Sire, ÔC fervez Dieu de tout vo- aua digna funt Principe cogitabit, dr ipfefuper Duces fia*
trecueur, Ôcvotre puiflànce, fans le courroucier par bit. I là .x x x i i. 1. Un Princequi confidere 6cpen-
pechie mortel : 6c pareilement je pai'le a la Reine* fe ce qui appartient à un Prince fera fur tous les
notre Dame Souveraine 6c a M. de Guyenne , qui Ducs. En ce appert comme font à reprendre ceux
font comme un membre avec vous, amez auffi, gar- qUj du matin jufques au foir, voire toute la nuitem-
dez 6c favonfez tous les bons fujets maintenant nom- pefchent un R o i, ou un Prince, qu’il ne peut pen-
mez , Chevallerie, Clergie , Ôc Boürgeoifie , fa n s ç jer à chofe qu’il ait à faire pour le bien commun,
lleess gorreev veerr pnaarr cchhaarrggeess iinnttoolléérraabblleess ddee ttaaiilllleess,. o01u1 dd’’auun
tvt__ ____ 828____
tres oppreflïons, afin que de tout leur cueur ils vous
faluent toudis , ÔC dient Rex in fempiternum vive.
Soient bouttées hors entièrement, ôc haftivement
toutes, gens d’armes : ôc quant aux Anglois, foit pro-
veu par bon Traittié, où autrement: foit auffi ordonné
que aucun vôtre fubjet de quelque eftat il foit ne
face alliance ché vos ennemis, fans vôtre congié. Et
vous, nos très redoubtez ôc très nobles Seigneurs du
fàng R o ïa l, nous vous fàifons cette même fupplication,
cette requefte, cette obteftation -, car vous éftes
ceux , qui elles la Couronne du R o i , ôc vous
y devez bien entendre ôc l’accorder , comme il me
femble -, fi vous voulés accomplir la renommée que
vous avez faite voler des pieça, que pour autre chofe
ne voliez parler au R o i , que pour fon bien, ÔC
fon Roïaume. Or y êtes vous , faites que les faits
Nous lifons de Sçipion , qui au matin avant qu’il
s'occupait en quelconque autre chofe , il aloit au
Capitole à Rome , Ôc là étoit feul deux heures ou
plus, pour mieux avifer ce qu’il avoit à faire. Au
moins doit le R o i croire à ceux qui veillent , ôc
penfent pour lui, ôcfon Roïaume. Dit S. Jerome en
la glofe fur cette hiftoire, que Dieu veutrevelerfes
fecrets à un païen pour la cure qu’il avoit du bien
commun. Et par plus forte raifon Dieu le revele
aux bons Princes Chreftiens qui ont fiance en lui,
non mie en l’aide des ennemis, ou feulement en aide
humain : Quia Cor Régis in manu Dei eft , quocum-
que voluerit, inclinabit illud. Prov. X X i.i. Et nous
avons , que les Sages de Grece difoient pour cette
caufe , que on devoit ajoûter foi au fonge du R o i,
ou du Prince plus qu’à autre. Pour quoi ? Pour ce
ce que la divine providence les gouverne en efpecial.
foient pareils aux paroles., gardez vous de mouvoir D E t quoi que ce foit defdits des païens, e’eft certain
guerres civiles , ou de les continuer, ôc aiez la parole
de Virgile en mémoire,
1\[eu patrie, validas in vificeravertite vires.
N e convertiflez point vôtre vaillance ôc forte pro-
effe en la deftruélion de vôtre pais, c’eft à d ire, de
ce Roïaume. Car autrement vous feriez contraires
à la vie civile du R o i, ' ôc à ce beau falüt.. %ex infempiternum
vive. R o i vôtre vie ne foit finie.
Hic incipil principale.
Defoendons maintenant plus en particulier de ce
que nous avons à dire ÔC y allons de plain meftier,
comme on feule dire 3 allons le droit chemin fans
Tomi IV . Pars IL
félon les Théologiens , que les Rois ôc les Princes
ont Angels gardes efpecials outre les autres gens, ôc
qui fçnt de plus haute Hiérarchie en leur office. Et
pourquoi ? pour maintenir la vie politique du Roi en
eftat Ôc profperité, comme nous defirons en difant.
Rex in fempiternum vive.
Sequitur principale.
Venons après à ce que dit l’hiftoire ôc la Narration
, pour funder toûjours ce que nous avons à dire.
Ce Roi Nabuchodonofor, comme il étoit penf
if , s’endormit, ôc lors vit un tel fonge, ou vilion.
Car comme eft écrit en Job , Dieu revele fouvent
lés fecrets en dormant. Avis étoit à Nabuchodo-
T t z nofor.
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