£ _, Joannis Gerfonâ
otmiem fenftim. Donnons la gloire à Dieu, c’ efl: fa part, H - ,l 1 I
& nous aurons paix, qui cil la part aux hommes de
bonne voulenté. Gloria in excelfs Deo. Luc. 11.14- Et
qui eft bonne voulenté fe non qui fe rend fubjette a
Dieu • ‘Nonne Deo frbjeüa &c. iM ï i X ne- mefpri-
fons point cette grâce, foitoftée propre réputation de
puiffimee , fcience 1 , oufaintete lo.t H H Âotés contre propre confeil. Notes conf
P
C ’eft leur metier, leur coutume, leur art., leur in-
ftitution , fcience 8c profeflion. E t yecÿ qu’il en
advient , car contre l’art de plaidoyrie , ce Théologien
met en avant mifericorde , quand il doit
émouvoir à Jullice ; Il prend les parties de Ion ad-
verfaire. Car fon aducriàire que peut-il autre .chofe
demander icy à Meflèigneurs ;,:fors grâce, & dire à
Meflèigneurs Soyes mifericords, puis que le fait efttanc
t • Qr- an mtirt» în in i iif P - fa n s . If*. DOUVOir
ucc. lew«.»,,- ...... r -, “ j z m m rnn. Meflèieneurs milencoras, puis que ic wa « i u in
I Notés contre prom-e oe n f t W | g | l | A ck“ no« 4 en toute iniquité'■ | pouvoir
lhefions a Drois pofafe.------ ---- 1 1 • en rien juftifier g que chacun enhuche venpour
la joindre au commencement, que nous devons
dire hautement, & liement, 23« grattas, afin que
par inm atitude il nous ofte ce grand commencement,
& noms enpefche la fin. Oftons doneques tous enperchemens,
qui H à rendre grâces , & qui empef-
cheroient nollrc langue, comme yureife decharnafi-
té polilfe d ep e r e ï f e ,6coyfeufete,contraaiondavance,
inflaciond’orgeuil,........d’envie,incifiondeire,ou
qui nous eftrangleroient ; pourofter 1 infpiracion de
D ieu , & de charité , qui eft patienti bemgne &c.
In cale erit eratiamm allie, & uox lundis. lia. L I. ?. OC
que cruaulté ne face le chemin alpte & cfpineux, tau--
fetté obfcur Sc tenebreux ; iniquité dur & montueux ,
dmtmdo pedes neflre, Sec. bonne mort 1 omme dehors
charnel, & de pechié Pretiefa in « n fp fu DenamSlc.
P f .c x v iv Moriatur anima me a morte fufiorum. Num.
xxm.i o. Expedit ci,;utfitfpendatnriWn.Matt.xvi II .6.
J O A K N I S G E R S O N I I
Votions & Cancellarii Parifanjis.
Ç^U E R E L A
D OM I N E U N 1 V E R S I T A T I S
S E N A T U M P A R I S I E N S E M
Habita advenus Famliam Caroli de Savoify.
fdeuß Julio Anm 1404*
E x eodem Codice M. S.
POur expofer à vous, Meffeigneurs, la piteufé,
& tres-miferable complainte de la fille du R o i,
ma Mere , l’Univerfîté de Paris, je commencerai
par l’un d ia de la fainte Ecriture , comme il
affiert à telle propofition & dirai Eftotemifertcerdes,
Lu c v i.? 6. Meflèigneurs, Soies mifertcords : c e lt
le commandement de noftre R o y , de noftre Empereur,
de noftre Foy. Aucuns par aventure tourneront
incontinent à merveilles cette manière de commencer,
ceux en Spécia l, qui fçavent des,a aflèz a
caufe & la matière très enorme, 8t de nonpareille
iniquité , p o u r laquelle la fille du R o y , la fontaine de
fcience la lumière de noftre F o y , la beaute, le pa-
Lld.ll ^ t-V 11V3 tv/11 V.11 v. 1 ? &
nier, ou en rien juftifier, que chacun enhuche vengeance
, non-pas de Paris feulement, non pas en
une cité’ , ou ic y ; mais par tout le Royaume de
France, voir .ja hors le Royaume, en eftranges contrées
, voir certes le Ciel & la T erre en font complainte
à Dieu. O r pleuft à D ieu, Meflèigneurs, 8c à
fà benigne mifericorde, que la très noble perfonne
du R o y , noftre Sire, feuft en tel eftat, 6c profperi-
té corporelle , comme nous tous le délirons ; cette
queftion ceflèroit pourquoy un Profefleur de Théologie,
plus que un Advocat parle en cette matière:
car l’humble , 8c devote fille du R o y , par Royale
adoption l’Univerfité de Paris, en 1a piteufe querelle
, en fa tresjufte complainte fe feuft tournée fans
moyen à fa Royalle perfonne par la maniéré accoutumée,
qui eft telle que un Théologien propofe pour
E avoir expedition bricfve, fommierement, 8c de plain.
E t c’eft bien à fçavoir, que le R oy ne luyeuft point
refufée, 8c on en a javeu des Agnes phifieui^ O r eft
autrement parla fecrete ordonnance de noftre Seigneur.
L a fille du Roy ne peut de prefent avoir -
accez à fa Royalle perfonne , elle eft comme Or-
’ pheline,'8c fueffre violence incredible, 8c crueufe:
fi finit qu’elle praigne fon recours, fadefenfe, 8c refuge,;
a fonhaultThrone de Juftice, ou lied, 8c fe
repofe fon autorité Royalle. Et qui eft ce Throne de
Juftice? n’eftja befoin que je le die, chacunle fcet:
c’eft par excellence cette Cour treshonorable de Parlement
, ce Sénat des Peres confcripts , le Throne
myftique que devifa le Saige R oy Salomon qui feuft
moult précieux , noble 8c merveilleux , auquel on
montoit par fix degrez, chacun defquels avoit deux
r lions entaillés 8c figurés, fi étoient iz .e n nombre^
'~J8c le liege étoit foûtenu de deux mains, l’uneàdexè.
t rè , 8c l’autre à feneftre. Bien etoit ce Throne, la
figure du Throne de Juftice, duquel je. parle, q u iy
vaurroit eftudier, ou arreiler. Enfuit les fix degres
fors les vertus qui font neceffaires pour venir incontinent
à Juftice, Prudence, Attrempance 8c Force,
F o y , Elperance 8c Charité, Les iz . Lions font en figure
les 1 1. Pairs. Les deux mains font l’une Cler-
gie , l’autre Ghevallerie. Mais paffons outre, car
grand befoin nous tire ailleurs 8c difons , comme ja
eft commencé, que la fille du R o y , puis qu elle n’a
la prefence ce fon Pere en pcrlbnne, prend fon recours
à ion Throne, ou repofe fans muer ou défaillir
fa Royale authorité. Et ce. elle fait fommaire-.
m en t, 8c de plain lâns moyens d'Orateurs, ou Àdrhonnefteté
de FrancI’, voir de tout leD voca ts , félon fa couftume 8cdignité. f Sy ay repon-.
lhonneitete uc r ^ pourquoy un Théologien icy parle) en demonftrant
aufly 8c proteftant que la fille du Roy vient
icy , non pas comme devant Juges ordinaires, mais
comme devant ceulx qui reprelententleRoy, 8c fe
non quant à perfonne , au moins quant a authorité.
Mais encore demeure la fécondé demande, pourquoy
Sc comment jlay tellement commandé en fuppliant
Epate mifericordcs Meflèigneurs , Soyez mifericords.
I.SelesRoysd'Ifraël, les RoysdeFranee font mifericords
, Reges Ifracl clementes fitnt telle doit eftte là
Cour) 8c tel Seigneur, telle Cour. En apresl’Efco-
le de Théologie inftituée par noftre Souverain Docteur
, 8c Maiftre Jefus C h r ili, apprend fingulierement
mifericorde Difiite, inquit, ame,^ cjuia mais fum &
humilis corde. Matt.xi.ap. Apprenésdemoy, dit Jefus
Chrift à fes Efcohers. Qui dit apprenez. , Il ne dit
miepuiflance, 8c faire miracle, Il ne dit mie vanjan-
ce rigoureufe, mais apprenés que je fuisdoulx, derement,
H H jB sy iis — ? :— r , ,
monde, l’Univerfité de Pans, envoie de prefent Mon-
fieur le Reéteur , 8c fes députez par devers vous,
Mefièigneürs, par devers cette très honorable haute,
8c Royale Cour de Juftice. Comment dienteux, que
veulç ce eftre ? que celuicy vient demander mileri-
corde, vient exhorter à Meflèigneurs, queilsfoient
MÊÊÊSÊÈ en un tel fait fi horrible, de-non pareille
mauvaiftié, d’execrable facrilege , , de trel-
crueufe perverfité, qui n’agucres fut perpètre encontre
ladite Univerfité près , mais dedans 1 Eglile de
lainte Catherine veans icy. Mais auflï que peut-ce
eftre, que un delà profeflion de Théologie inexpert
des Loix s’avance 8c fe entremet de parler , 8c pro-
pofer en cette haute Cour , pour 8c ou fait de Juftice
, en ufurpant, ce femble, l’office des faiges Orateurs
, 8c -Avocats de très finguhere 8c claire éloquence
j que icy font, auxquels trop mieulx appartient
palier en cette matière, alléguer 8c conclure)
Oratio piro Face TZcckfioe. 574
Ç73 . I bonnaire, 8c humble de cuer. Si doit donc un Théo-
loeien enfuir la dottrine de fon Maiitre , 8c doit tpu-
jours tendre, 8c exhorter à mifericorde.. Car en bonne
foy Meffeigneurs, crées moy, je trouve icy bien
matière de mifericorde , 8c fe ne feuft mjfèricor.dç
qui me contraint, jamais je n’eufle entrepris lapai'ole
en fi haute, :8c dangereufe mâtiere, devant Seigneurs
de telle prudence, authorité 8c eloquericè j én,fi pe-
E t ;à moy telle helas j, n’a guerçs ha efté faite une
violence, une impreffion , non pas une , mais plu-
fieurs , comme chafçun fçet. j ’avois entrepris par
âmoiir filiale, 8c loyale aù ‘Rov mon pere , 8c par
devote Religion en ma bonne fimpleffe , que je iroye
folemnellement en Procefîion1 ordonnée jùfques à
l ’Eglifè delà glorieufe Vierge, 8c Martyre de Dieuj
S. Catherirte veant tout le peuplé pour le plus emoutit
de temps, comme fçaVent plufieurs, Sc çonfcieijce A Voir à dévotion. Quelle autre oeuvre pourroit eftre
de tant petite inftitution que jelens en moy.MaEquaud
j’ay voulu refufer ce fait,8c m’en excuferi,j’ây Èrpuvéde-
dans le fecret plainemént de mon cuér, dé toutes parts
plaintes 8c requeftes, quïpourroientemouyoi'r mefme-
ment pierres à mifericorde’’, 8c à compaffipn.,' comme
il appairacy apres. Et fe la puifîànce, 8c fçiçncé n’eft
en moy telle que je puiffe, 8c fçache prdpi èmenî:, vivement,
8c à bon droit expofer lès caufes de cette mifericorde
j car certes Dempftenes, ou T u lle , 8c S.
Jean Bouche-d’o r , 8c S. Augùftin, s’ils fevenoient,
pourroient bien faillir, tant grande eft indignité de
cette befogne j neantmoins la voulenté y eft en‘moy :
autre chofè ne peut on demander icy fors bonne vour
lenté, j’aime mieulx voir que aucun reproche , ou
honte foit fur moy de ignorance , où de tcmeïité, ou
infouffifance , que la chofe demouraft en tel efljat
plus ttieritoire , 8c plus digne dé louange, 8c Religion?;
Aufly allois-je en ma fimplefîe én l’innocence
dé hies fuppofts en très bel arroy , 8c en merveilleux
hombre à ladite Eglifb de S. Catherine. Vinrent
aucuns de la maignie de l’ennemy , qui par mauvaiftié
exquifite, rompoient cette Procefîionénpaffant,
8c chafïant les chevaux fur les enfans, en les marchant
, 8c trébuchant à terre 8c en la boe : c’eft
outrage devoit bien 8c trop fuffir , mais ne mie un
mal entre telles gens, ne fine pas où il cortimance,
tpujours s’accroiit 5 ne demoura gueres, ; que ceux re-
■ vindrent, 8c fans fçavoir , ou demander qui etoit
l ’un ou l’autre , bâttoient, rompoient , chaffoient,
trebuchoient indifféremment tous mes fils les efeq-
liers'. Grand bruit, grand cris, 8c!grand clameur,
fè va élever, n’étoit pas de merveille f petits, 8cfoique
les adverfaires, ou malveillans de la fille du g blés enfans n’avoient autre manière de fe revangier,
JR? or\\yt , dellàa rmn#è*!*r#e» nquuii entre les îainuttrrMes miri’’üa nnmouurrrvy des rOl'S rrifir iiutP. csT mifprimrHf* . "/V ppüy''nnî /»ifTîXî-if
mon enfance, peuffent reproucher , qùè pour elle,
8c en fon affliéfion , on ne trouve en fes fils aucun
qui en ait pitié, 8c mifericorde, 8c qui én Veille, ou
fçache, ou veille parler. Ja Dieu ne véillé fouffrir
ce reprouche miferable advenir. Je ne defire ja tant
vivre que je voye un tel mefehief. Puis donc, Meffeigneurs
, que je vous ày expofé la caufe pour laquelle
un Théologien, au moins de nom, 8c depro-
felîîon, porte la parole, je veux plus à plain d.eçlarer,
pourquoy j ’ay au commancement prife telle parole,
tel theme. Ejlote mifericordcs. Mefleignéurs foyez
mifericords. Eflevés , .'je vous fupplie , les yeux
de voftre penféé , 8c les tournes à parfunde-
ment confiderèr 8c advifer , comment én la caufe
que j’entreprens, on vous demande, 8c doit demander
de touttes parts mifericorde. Premièrement la
fors crier aide 8c mifericorde , 8c cèUx: qui eùfleht
pü reboutter force, eurent cette attrempance, qu’ils
n e ' Vaürènt pas prendre à foy la vanjaiiée j mais la
laiifier au R oy 8c à Juftice. Les petits enfkns donc
Crioient mercy à eux 5 hélas ils favoiént mal à quels
gens ils avaient à fàiré car en leur CuéUf n’avoit quelconque
pitié, ou doülceur, ou compafîibn, ainçois
de plus en plus accroifloit leur felonnie perverfe , en
tant que ils allèrent qüerir glaives , ares, fàgettes
epées, pilles de Flandres, 8c aultres armes invafîves,
comme s’ils fe deuffent ( combattre . contre les ennemis
du Roy , 8c du Royaume ; je rie fçay s’ils euf-
fent été tarit hardis ebritre eulx : puis tràyoient faget-
tes à la volée, feroient à tort, 8c à [travers partout,
8c ça 8c là , tellement qu’il n’y avoit point de refuge,
8c de furété.
Bien eft ic y , Meflèigneurs, matière de pitié, &
fille du R o y , 8c toutte Clergie vous huchent mile- ^ d é compaflion j que vous en femble ? Eft ce fins
ricorde en leurdefolation. L e R o y , 8ctoutteChe-
vallerie voùs requièrent mifericorde en dôubte de perdition.
L e Peuple, 8c toutte Bourgeoifie vous crient
mifericorde en leur paour, 8c affliétion. Mais aufly
vous devez avoir mifericorde de fainte Eglife, 8c de
fa liberté 5 mifericorde des maufàéleurs , 8c de leur
damnation, ou infelicité -, mifericorde à la parfin de
vous mefme, 8c de voftre Cour, qui eft Cour de J ufti-
ce, 8c de équité, 8cjaçoit c e , Meflèigneurs, que ja
les plufieurs conçoivent affez ce que je veuil dire, 8c
plus paravanture, que je ne foray expofèr, ou expliquer
-, neantmoins feuftrez, je vous prie, que jearre-
fté ma parole fur chacun de ces fix points lefquels j ’ay
mis en ordre pour les mieulx entendre, 8c retenir. La
fille du R oy en efpecial, 8c toute Clergie en general,
huchent à prefent mifericorde eii leur defolation. Elle
crie Fim patior. Je fouffre force, dit la fille du R o y ,
8c violance, non mie en une dé mes parties, 8c de mes
caufe que je votfs dis , Soyés mifericords à qui mifericords?
à celle qui ainfy vous peut dire, à la fille du
R oy en fori oppreffion. Mais encore y a pis , car
jùfques à l’Eglifè vint cette fureur, 8c là fait feut du
lieu de fûreté lieu de battaille , 8c de cruauté. Et
vrayement paroles me défaillent à déclarer à fon droit
l’indignité de cette befogne: aidés moy5 penfespar
vous mefmes quelle horeeur c’é to it , 8c quelle con-
fufion, veoir tel nombre de jolis efeoliers , comme
agneaux innocens fuir 8c trébucher devant les leus
favifîables j 8c ne fçavoient où fe câchier , ils s’en
alloient à i’Eglifè comme à lieu de refuge, 8c de feu-
reté, comme les pouffins fuient fous les ailles de' leur
mere > mais rien n’y valoir , car en fin-montant la
cruauté des melcreans, 8c des Vandrèsqui prindrent
-Rome , ils n’epargnoient de rien ceux qui eftoiènt
en l’Eglife, ainçois trahioient à eux comme beftes,
en tant que plufieurs y furent navrés , 8c combien
membres., mais en tout, 8c par tbut mon corps j 8c j ) que ceux qui eftoient en l’Eglife s’enfouiffent ç à , 8c
chacun ja cecyfce ti ce fait deteftable eft tant notoire,
que fe je le vouloye celer, ou diflimuler, ce ne pourroit
eftre. Helas je fuis celle, qui en Adam fris premièrement
infpirée en fa nouvelle création. Jefuis celle
qui depuis par fucceflion feu fondée 8c renouvelée en
Egypte, par Abraham, 8c autres fils de N o ë j puis
fous tranfpofée à Athènes, 8c nommée Pallas, ou M inerve,
puis vins à Rome, quand la Chevàllerie y fei-
gnourifoit. Puis par Charles - Magne le grand feus
. plantée à grands labeifrs en Frahce en la cité, de Paris;
8c tant amée 8c chier tenue, que lés très riobfos Roys
de France ont voulu que je fois nommée la fille du
Roy par civile adoption.
la , où chacun pouvoit le mieulx. En tant que la
Melle ; qui etoit commandée folemnellement, cef-
fà , pour les chantres qui s’en partirent 8c fè finit a
grand paine , 8c à grand paour à baflè voix , 8c le
'Sermon cefla, 8c les bonnes Dames ,■ qui y etoient
venues, cachoient les enfans deflous leurs manteaux.
Mais encore ne pouvoient eulx avoir feurté. ' C ’e-
ftoit droitemént une perfèqution telle, comme vous
regardés en ces paintures, quand Herodes fit occire
les Innocens. Un efeolier fut navré d’une fagette
eri la mammellè affez près de l’autre , l’autre au
col, l’autre ot fa robe parcée. Etbriefvementquant
fu des perfequteiirs qui tiroienr à la volée, n’y avoir
quçf