chapitres du Qorân sont, p our eux, fort efficaces dans toutes les circonstances
de la vie ; quiconque porte su r soi ces caractères inestimables qui sont u n secret
merveilleux, est à l’abri de to u t danger.
Plusieurs mots ont un sens précis ou mystérieux, auquel les musulmans
attachent une grande injportancë e t avec lesquels ils c roient se mettre en
sûre té contre les puissances de la te rre et des enfers.
Les noms de Dieu et celui deMahomet forffiént souvent une espèce de chiffre.
Le mot Bedouh e st u n des termes que les musulmans emploient fréquemmen
t e t dont l’origine n ’e st pas connue. Les Arabes s’ëù servent comme d un
puissant talisman e t le reg a rd en t comme une source de bénédictions. Ou le
rencontre su r certaines maisons, su r les sabrés, su r lès casqués, e t Sur lés
cachets. Les Orientaux i’emploieiit pour le ^ Je ttres e t tout ce qiii doit co u rir les
risques d e la te rre e t de la mer.
Les sentences tirées du Qorân sont fréquemment employées. Celle, qui ouvre
le p rem ie r chapitre : Bism ’illah-el-Bahmân-el-Rahim — Au nom de Dieu,
clément e t miséricordieux » se lit su r tous les monuments. Ou la rencontre
quelquefois en caractères soulous, agencée de façon à former un ornement ou à
rep ré s en te r u n lion, u n épervier ou divers animaux (fig. 65).
Le koufique rectangulaire se prê te bien aux sentences représentées dans
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PARALLÈLE D'ÈCRIT-URES DE DIFFÉRENTES ÉPOQUES.
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