même des édifices publics, avaient leu r porte fortifiée p a r des mâchicoulis, des
m eurtrières e t des créneaux, de façon à se défendre d’u n coup de main de la
p a rt de la populace ou de la soldatesque toujours avides de pillage e t d ’émeutes,
quand elles sont sûres de l ’impunité. À l’appui de cette assertion nous citerons
u n petit moristan que l ’on voit près de la mosquée de Djanum e t dont, au milieu
de constructions modernes, il reste la porte d’entrée, parfaitement conservée,
défendue p a r des mâchicoulis ou des meurtrières, ornées de sculptures. Il en
était de même chez nous au Moyen âge.
ART ARABE