L’asserlion de M. Salzmann est aussi ingénieuse que probable: l ’in té rieu r
de la pastèque coupée longitudinalement et dégagée de ses.pépins (fig. 32 e t 33)
présente une série d ’alvéoles régulières dont la pa rtie inférieure é tant prolongée
(fig. 3h et 35) offre une grande ressemblance avec la disposition des encorbellements
sculptés dans les niches e t dans les portes arabes. Cette assertion
p a ra ît plus frappante encore, quand on met en parallèle, comme nous le
faisons ci-dessus, la section longitudinale d’une pastèque (fig. 36) e t le couronn
ement d ’une porte arabe (fig. 37). ' "
PENDENTIF