ÉCUREUIL NOIR.
, Noos trouvons dans Hernández ("Hist nat i . , „
çanus et Quauhtechalost ThUltic une I S“ “ 3 de Soiurus mexi'
d’un Écureuil qui était d’un noié fuligineux « une description incomplète
Écureuil commun, mais un peu moifs grand C ^ sh anUal)1® P°u r % ure à
• nom d’Écureuil noir la figure d’un individu qé’U ™ ^ * * S°US ‘6
qu’il avait un collier, le bout du museau et le b o u td e t ’ „ “ “ " S ParCe
que les taches blanches sont fréquentes dans cette espèce.^uffon (S u p pT l8 pT / fr )
dit aussi avoir vu dans le cabinet dp 1YT Anlvr.Tr « » j c • t . 9 P* * ' ■ ■ ■ i
■ » M i l i Í B 1 M B septentr onale (t. II, p. 5i de la trad. franc.), qu’il a trouvé un Écureuil dont le
pelage était entièrement d’un noir très-pur.
Peut-on croire que la même espèce se trouve dans des contrés si éloignées l’une
de 1 autre et sous des climats si différens ? Cela est douteux; d’autant plus que le
pelage des Écureuils parait etre généralement susceptible de plus grandes variations
et que la couleur noire, comme la couleur blanche, est une de celles que les in- '
fluences accidentelles peuvent le plus facilement produire. On sait d’ailleurs qÛ"l
ernste une autre espèce dÉcureuil, le Capistrate,'qui dans son pelage ne diffère
de 1 Écureil noir proprement dit, que par son museau et ses oreilles blancs. Or
ce Capistrate, accessible sans doute aux mêmes influences que les. autres Écu-
reui s , ne pourrait-il pas prendre un museau et des oreilles noirs, comme l’Écureuil
noir prend un museau et un collier blancs ? C’est ce que toutes les analogies
rendent vraisemblable, ffautant plus que ce Capistrate est quelquefois entièrement
gris II faudrait donc chercher les traits spécifiques;^ ces divers Écureuils'dans
dautres caracteres que ceux des couleurs; et j ’ai l ie d le présumer qu’on lestrou-
H H Ü 163 1 m la M t(~ P plus arrondies chez l’Écureuil noir que
chez le Capistrate. Mais ce qui est certain, c’est que ces animaux ont besoin d’être
etud.es plus en détail encore qu’ils ne l’ont été, et principalement l’Écureuil noir
, car les observations de M. Bosc sur le Capistrate laissent peu à désirer pour l’histoiré
cle cette espece.
L’individu que j ’ai fait représenter avait été amené en France de l’Amérique septentrionale
, mais j ’ignore de quelle partie ; ainsi je ne puis dire s i, sous ce rapport
U se rapproche davantage des individus dont parlent Hernández et Bartram que dé