J SOUSLIK.
Dans la captivité, ils creusent, lorsqu’ils le peuvent, et transportant dans le gîte
qu’ils se préparent ainsi tout ce qui est propre à leur faire un bon lit : du foin, du
papier, de la laine, etc., etc. Toute espèce de nourriture leur convient : le pain,
les herbes, les graisses, Îa viande, mais surtout le lait. Dans la faim ils mangent jusqu’à
leurs excrémcns et boivent leurs urines.
Pallas, dans sa planche vi, B., donne une figure passable d’un Souslik tacheté.
Celle de Bufibn (Supp. 3 , pl. xxxi) est beaucoup moins bonne et n’a été faite que
d’après une peau bourrée.
Ôn trouve les différentes espèces ou variétés de Sousliks désignées dans les catalogues
méthodiques par le nom latin de Citillus.
Novembre 1824.