„ „ c «eue .o i „ . , a " f'»' S™"^«
' " " r p e a . e , .les ,0« à c e „ , .. . i » . » „ « c , de
. . ^^ Mea». . . . , .e
d e 1. ¡e desi„ .. . « „ » „ e <le „, . , ,
c,„e celui „.'ont s. d „ „ e c u , , .on egab, , , U 1 ™
b î l i t c inaltérab . de son cav.etere. La seconde nuit, notre eu.sme cbo.la,
' : Lre .eneie. n,a... . . » i negn,a,i,„es , . e de. Mo.nhnan. , n » .
r i l n p a r . ™ . « d^illen,,. ce . » . d e n , . ceUe „ „ . o n
e n c o r e la .nedlenre « la pin. apparente dn ^ ^
D a n . cette partie de VEgvp.« >» " n . t r . c t . o n . .ont ^ ^
e t de paille haehéc euite a„ .oleil, le. escalie,,, l e . c ,nl , r . . . re. , le. ton,.,
I t r l , et le. a,nenble.ne„t. .ont de . „ . . e . a t . r . de „
.•il etoit po..il.lc V e ù , „n ehange.ncn, n.omentanee dan. l o . d r e qnc
n , a l i « i ,pen„,l,al,le„,ent en Egypte, .'il arrivoit, par c.en.ple,
; : : i : . . extraordinaire. arr. t a . . e „ t et . i , . ent dL. o n . ^ e n n d.» . r ^ p . .
n „ - . „ . „ne le vent du nord pons.e en été contre le. nrontagn . d.
I C Ï ^ I . ' l e s ville, et r i l la.e. .croient déla.é. et l i . .é. ié. en
l , e „ ; e . et l 'on poor roi t . eme r . n r Icnr c n p i a c emc n t : m a , . , grae an clunat,
: :..on bà, c d'»ne „.anlere an... IVéle dure la vie <1;".
, , „ i .ullit a celni dont le (il. doit racheter de .on .ouvcra.n le .ol <,» d
" t e W e n , a , n de „.on arrivée, nnc colonne de trois cent . l , o „ , „ ^ aU,.,
, c „ r /,. ,„,•„• o „ 11,„position territoriale, et „ n e ré,„,.,t,oa de chevan.
n o . . . s „ ' i o n . e„ cela les „,a„iere. des M » - ' » » ^
U. ,„é, . e objet la. . . .entcl . .e„„ d.,.. la prov.oee •„„ U.. c d P < ^
m e , „ e pr„,„e„ade .„dltaire. e„ ea„,pa„t a„-deva„t des „ l ie. v.llag s
: „o„;r„.a„t a l e . r . dépens l' a e . i n i t . c n e n t ^ ce „ „ d . avo.
r e c e v o i r Cela rappelle ec , „ e Diodorc de Sicile d,t des E o p t . c n s , ,„d.
: : : : ; „ . e „ . d u p " d» pa,er ee . p . l . devoient. avant d.'-tre bat tus po„r
c i r e contraints. Je pus remarquei' que, sans jamais refuser, il n \ avoil
s o r t e (le moyens ingénieux qu'ils n'employassent pour retarder de quel<|ues
h e u r e s le désaisissement de leur argent.
Les mouvements de cette colonne devenoient un moyen avantageux de
f a i r e des découvertes et d'observer les particularités de l 'intérieur du pays:
c e t t e premiere course m'approcha de la pyramide de Me d o u n , que j'avois
v u e de loin; j e n'en étois plus qu'à une demi-lieue, mais cet espace étoit
t r a v e r s é par le canal Jusei' et u n autre petit canal, et nous n'avions point
d e batean; avec une excellente lunette et le plus beau temps je pus en
o b s e r v e r les détails comme si j e î'avois touchée; bi.tie sur une plate-forme
s e c o n d a i r e de la chaîne libyque, sa,forme est de cinq gradins en retraite; la
p i e r r e calcaire dont elle est construi t e étant plus ou moins friable, sa base
e t son premier gradin sont phis dégradés que tous les autres, et, dans le
m i l i e u de l'élévation du second, il y a plusieurs assises qui ont éproiivé
la même dégradation ( vo/ez planche 26, 3 ). En passant du village de
M e d o u n à celui de Sapht j e fus dans le cas d'obsen-er tiois faces de cette
p y r a m i d e ; i! paroî t qu'on a tent é une fouille au second gradin du coté du
n o r d : les décombres, recouverts de sables, s'élèvent jusqu'à la hauteur
d e cette fouille, et ne laissent voir que les angles du premier gradin; la
r u i n e absolue commence au troisième, dont il reste à-peu-près le tiers:
k hauteur totale de c c qui existe de cette pyramide me parut être à-peup
r è s de deux cents pieds.
T o u t le pays que nous avions parcouru étoit abondant, semé, de bled,
d e sainfoin, d'orge, de fèves, de lentilles, et de dour a ou sorgo, qui est une
e s p e c e de mi l let dont la cul ture est p resque générale dans la liante Egypte.
P e n d a n t que le grain de cette plante est en lait, les paysans le fonl griller
c o m m e le maïs: ils en mâchent la canne verte comme celle du sucre; la
f e u i l l e nour r i t le bétail, la inoëlle seebe sert d'amadou; la canne remplace
l e bois pour cuire et chauffer le four; du grain on fait de la farine, et de
c e t t e farine on lait des gâteaux; et rien de tout cela n'est bon.
E n t r e Medoun et Sapht, je trouvai les ruines d'une mosquée parm. lesq
u e l l e s étoient de g randes colonnes de marbr e cipol in: seroient-ce des débris
d e l'ancienne NicopolisP au reste je ne trouvai aux environs aucun arrac
h e m e n t de mur qui indiquai l'existence d'aucune antiquité.
De Sapht nous allâmes à u n hameau, qui e n est tout près, et qui est une
e s p è c e de forteres.se d e boue; cette retrai t e féodale est formé e d 'une enceinte
t r a v e r s é e par quelques rues al ignées; dans cette enceint e est u n petit château
.È
"I
m
.5s
m