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di,o .le I. roi,>e forme «I ui. cnrrc long do .8 piedi"» P®»-
«» sut i5 l'Ws 8 poxieri ;sí l^uieur «tiuccrtiiiií, pateq»
r r ^ r ^ ^ p l . « . • «leoiro lino. e. lice d',.,, oi-p.Te,!
le pina e. h coupe d. ce«. eb.™bre, fl e. 5. A quo.
cli»ml>.e».wll=«''dcs<".ec' é»i.-e<-,«ur mrtlre u» coq«? D=ns
U p,ran,.de. bl.ic i. dr»eii> d'eu meure deux, n , p«
(ermec »une ,euU é,.c,i.e i e» en d'.«.r.,e. et que- cette ^
êL..épul.ur.fùleffec.iven.en>celleae le reine,!« .leu, bloe,
de grODU, dont j'« dqa porlé. el qui so„. i l eu.rée de, den, g--
1 „ L iuclinée., ..oieu, done rese.v« 4 clorrc deta.uvemen.
louveriurede,dcu.eb.n,b,«.e.de,êJe„e»ad,=ceo«.
ne-uons s,ir "M P"» 1= l'l"' • P"" ,
o», .u se h,.«n> de quelques pied., o,, irou.e eu bn duue
el m.6.iiCqüe r3ml,e, P Q. de .8o pieds de longueur,
« -» . ven. U ce,.in= de l'.di6=e, s. J^^.ur de
<i pie,l. li pone«, d.ní l.quelie il ftut eompreudro deux p^rl-
J s de .9 poucwdediam=lre, percé», p» espíe.-do 3 pi«ts
6 pouces, de ,rou, loug. de « , l.rge, de 3. Cette ran.pe é.o.t
„ns deule d»üuce 1 mouler le 5i.copU»Be; 1« irouí --.voient
.en-i 1 assurer pt.r quelque- m.chine le biaement de cello
uiesse íüt uu i>bu euss. inclmé: la niénie n.aeluue »vo.l m<s
dome neeessité des .nUillc-s ou-dessu» .le b ,«r.ie InieríU.. de
cLaeun de ce. liouí, qu. OUI tté reparé» ensuiie p.r u.. ragree-
„rol. Celle jnleri. .e ienne pru-S-peu ju«HU'í, son pl»foml par
Lu.l relr.il« de 6 pic-ds de b.uleur ; c. qu.. join. à qu. f .
d-eniailles nsM r.-si.l.cirs, ...íU modernes, on i^uye uue
neiite ubie-forme, puis uue «peco de coífre de gumi C, doot
L Mr^es klérJ«. soutenue, par 1> mosse générale de l'edifiee,
íloíe... dcslinées à recevoir d.u, le vide qu>L.S laissoieni des
bloc, de niíme maliere, qui, Uersés dan, d« fainures sa.lknu.:.
liraules, devoieul iasquer el defeudre i j ^ i . la por«
de I- priucipale sípuliurc (voy« le.tre C, u" 7 ct 8; 11 a follu
san, doule do, irovaux poor e„n,lruire d »bord «
délrnlre eusuile cello panie de l'ediSee i iei, lenlhou.iM.ne
su|«;r5lilieu» s'e,l irouvé mi-, prise, avec l'inJenle av«tice. et
U demiero l'a empane. Après la deslruetion de trelre pi.-Js d e-
,,ai,«„r de sr.u„,'o. a découvert ut« l»rto e.rree P, de 3 pie.U
3 pouces, qui fsi VeuK« de la piecc prinelp:.!. D. de fonce
„rnie. longue de ,Q píeds ,nr 3a de brgo, el de ,8 pied, de
liauleur i la i«tle el i. l'angle du gtjrui coK , eoniuie -i I.1
chambre d'en-bM. V.., lo rond, i.lroile cu on.rAni, e^t u.,«rco.
..ha« isolé, de Q ,..ed, . . pouco, de long .nr 3 p.cd, de large,
' I 7pied. I pouee- C ligne, d éleva.iou. Quand ou aura dit
ce tombeau es. d'un ,eul morceau do granit, que celle chn.ubre
n-est qu'un eo/T™ .le même mafere, avec ou d.m.-pol, dun
appareil a«« précieux pour qu'il n'ait point née«,.lé de ci-
„'ul dans .OUI sou appareil, on aura déerll c« élrango monumeni,
et donné l'idee de raustérlle de M mjguiicence.
Le lomiKau esl ouvert cl vide. ,.ns qu'il soit re,lé iuenn
veslige de »on converelc -, la seule dégradation dau» toute celle
cha.nbre est la tonlalivo d'une fouille S un do >ngle,, et deui
petiU trou, à-peu-pres ronds. 4 l.aul.ur d'sppui, auxquels de,
eurie... ont att^Ue trop d'imporiauce. C'e.i ,ei que se lermino
le vovage , comme c'est là qu'.l paroil qu'ail été le Lut de celte
immense entreprise, où les liomme, ,e.nbleut avoir voulu ,e
mesurer avec la naiurc.
. . base de 1« pyramide ..n^elée Cbefre.es e.« estimée par le
mémo auteur de 1355 pied», el »on éleval.on rte 59» picils, ,a couverte,
Le ciloven îogénieor, qui a M]OuiT.é au-i Pyr.m..t's,
qui 01. afin un plan en relief, que l'on voil avco inlérèt au Jardin
natioital de, planu-s, et une .-xplicalion dans un livre iniilule,
DiMripiion de. pyramide» de I>jy,.=li, delà ville du Caire e, de
»es cnviro.is, donne au f.lieop» 71B pieds de ko»;, cl évalue
sa hatitcuri <l.'i3 pieds, co comptant la base par L-, moyenne
proportionnelle de la longueur des pierres, el la hauteur par
l'addilion de la mesure de ebacuiu: des div.-r,« aisises. D'après
les cilciU du cilojen Grosbert ei de monsieur Maillet, la eli.-imbte
sépulcre esl à 160 pieds au deuu» du »1 do la pyramide.
.lout il existe encore quelque cl.e«àsaparKe supérieure.
e,i un enduit formé de gjps.-, de sable, el do cailloux. U M.-
srrinu, ou iroi.ieme pyramide, dit encore le ciloyen Gro,bcrl,
aaSo pi'eds de Ime, el .Ua d'élé>aliou : jo renverrai mes lecteur,
i cel aeri v.lin pour les planscl les détails quejen'a, ps» eu !e temps
de pictldre, el que ses conuoissance» dan. cette i«rUc onl uu,
da.., le cas de donner avec l'cxaeLlude que mémo I .mpor.auce
Je ces édifie«. Cl l'intérit qu'ils i,.,piroul.
P L A N C H E XX (bis).
N» ,. ProCI du .«plii.a, qui rend compte do son étal de
desirucrion. e. du caractère do «.te figure dans le. parités qu.
eu sont eonsertt-e.: les [».rsonnages vivant, servent deel.eUe
de proporttoni celle qui esl au-dessus .
«ide de la ma'
lète, et que l'on
étroite, terminée par
'a plu, que g pieds de profondeur,
n'es Äh'ancruivs taillée, d'cpace en e.paee dan, le» parties latérales
de oolU- exea.Mion y servent d'écbelons pour mouler
et de,cendre da^s ce treu, dont l'usage'e,. resie dan. la nu.t
du mystère; le mouumeni que l'on api^tr^n dcrricj; es. une
e,,,cce de tombeau daus le genre de. pet.le, pyramides, ma..
,i dégradé, qu'il r,l difCeile d'en rendre compte au.remen.que
i»ar Ifl tornte c*i»lanle <Ic u ruine.
s« a. Enl,é.de.salc,i«dcbpyramidedeCbcops;elu,que
pierre dessin.^- Mèlement peut don,.er une idée de I .pls-.re,l
^ celIc p-trüe de l'édiflec, qui «loi. recouvt-rte d un pare.uen.
semblable S la suj^rnrie généiTile de tout
citoyen B.go membre de Vinslitut du Caire, que
je dois celle planche intére»san,e ; de retour de l'cxi-^Ulion, il
a bien voulu me permettre do prt-ndro dan» son .nlcress-nnl
porle-feuille plusieur, ohjel», tek que celui-ci, el dé»costumes
que j'aiinoni:erai à leur, numéro.
P L A N C H E XXI-
u„c mosquée, avec: pplluussiieeuurrss ssaann.toonnss ou .orabeauï
situ.« au nord de Bosette; le mur à hauteur d'appui , qui est
dai.i le milieu de l'e»lampc, sert de chaussée, lors de I n
tiou, pour eoromu.liquer des h:
. Nil : dans le fond
" V a " Ir khalydgo ou canal qui conduit l'eau du f i l au
Caire, Unique l'.noDtlalion e,, arrivée à une certaine elévalio^n ;
l'ouv^^ure de c. canal es, une fi.e an,.uello, d'autant plu,
gaie qu'elle annonce l'abondane.-. puisque le manque d eau esl
lî seul fliau qu. puisse aroent-r la di,ctte en Egyp'e-
Le jour de celle , les beys éloieni placés dan. le
l,iosq..e que l'on voit dans celle planeLe. le canal y e»l repré-
,erdan, le moment où il .oric !c» bateaux du Nil au Cire ;
dans le fond esl Tiile de Ahaoudah t à gauel.c do l'e.iampe
son. des montagne, do décombr«, ei la prise d'eau du grand
anueduc. Tous les voyageuiïonl fait ia de^nplion do louvor-
ntre du kbalydgc, cl p.t aculitrtmen. .Sararí.
3. L'aqueduc qui
duil 1-eau du Si! au Cair.
Mlonues que l'on voit en avant
ruine» d'un édifice. don.l'in.li
ut me demanda un rapport,«
je vais rendre co.nput en cam le rapport I ' ' ' '
. fù.s de colonne» éloignée, d'env.r— ' ire, du
ninarcl d'u mosquée en ruioe , qui né bte
emeuls prolongés onl nécessairement engloW ce»
débris, doive., porter à croire qu'.b en faisoient partie : la
,iche«c d. la matière de ees fragmen,,, la perfccuon dune
parue de ce» colonna, l'inégalité absolue de leurs dnnensions,
l'rmprrinie .le» mains barbares marquée sur loules leurs r,.par^
lion., !c slyle, plus barbare encore, do tou, les dela.U qu on
V a aioulés, foni penser que s'.l existât .,uelques morceaux
Lliqie. d»;. cel «ifice, il, y -voient été empby« dans un
temps r,tpi.roche de ces époque, .nalL.urcuses, ou la glo.re
des arme, ne .'allioll poinl 4 la pl.ilosopbic et à l'amour des
ans où le caprice brutal, la barbare adulaiion en régloient
les délerminalion. polilique», fa.»oienl bi.ir une vtllc où Amtoun
svoil dressé sa lenle, la ûiisoient abandonner pour aller
la reWiir où Saladin aeuil vaincu le dernier des souverains
Mamelouks. Dan, Icm,«, les beau, reales de la noble anliquiu
etoienl groupé, avec d. lourde, iucplies, el formo.eul
de monsitucuse, maguificcnce,, ainsi qu on peut le remaixluer
dans «Ile .mmc-us» fabrique, appelée le Palai, de Joseph, construite,
comme celle-ci, de morceau, précieux c. ...égaux, e.
raccordés par les mêmes moyen, ; dan» ccs con,.ruction4, où
Ir. chapiteaux el te bises, avec loul» sorle de profils, vont
cbercher les colonnes quaud les culo.,ne, u'arriveni pas jusqu'l
ou»-liai, pour a„isner un siecleà ccs étlifice., ilfaudroit con-
„oilrc celui où onl régné le» prince, qui le» oni fail con,ltuire:
,«ul-ctre e,l-il réservé 4 l'aclivilé franiaise de rende, des annales
aux Arabes; plu» inslruits dan, leur langue, do dt^.-ouvrir
de, manuscrii. qui fix.nl des ciwques 1 but bisloire, cl de
joier de, luniiores ,ut b iénébreu,e antiquilé i>ar b beluro
.le, Liéroglypbe», de fixer le lemj« mojen par des reeUercLes
lillérair« sur le regno des lalifi», pat là laisstT la part qu.
•piiarlicnt aux »icelcs d'engourdisscmeni où 1
l'I^ptc, Cl de faire une nouveUc époque
tamenaul les
acieuces et le. ans dau, leur pays natal.
sonl le, uambeaux de, bej, en marbre, avec dé» ornemenu pcinu
cl dotés, 01 d'un goùl d'jrcLileeturo plu, agréable que régulier,
mai. dont le, niasses DlXrei.l uu aspect de magnificence cl de
gra.cc, qui dounetoit 9 qui arriveroit au Caire par eu côté une
idée de splendeur do celle ville, qui seroit bieu démenlie par
la réalité; toutes ce, riches».-. ,ut un sol irislo el 4pre donneni
i ce lieu calme el silencieux un caraelcre pariieulier, auiiucl
jo n'a. rien vu de comparable. A droite c t la mosquée de Cheroinéi
,ull une [lariie de l'aqueduc i|ni porM l'eau du Sil au
Cairei toul le re,le sonl de, loinbeaui de parliculiers 1 le pelil
groupe de figure» esi uu enterrement.
N» S. Boube, pelilc ville ..iiart^ du Caire, el que l'on pcul
regarder comme »on porl; c'est à ce ¡lorl que »0 rendout loules
les embarcation, de la basse Égyplc, el toute, le, provision»
et marcbaudises qui viennent de b haute. Uoulac, bilie dans
les première siceles de l'begire, « de» monuments arabe» d'une
La scène repréienle le marché aux bleds, que l'on voit c-iposés
en ta., et le marché aux poisson», qui se bil aussi dans ce
même lieu.
Sur le dernier plan, derrière les barques, on apperçoil Hmbabéb,
viLage devenu fameux par b bataille des pyramides,
P L A N C H E XXII.
S" 1. Tombeaux de» kalifes. Ces monuments du nouvlemo
sieclc son. hâ.i, bor, des mure du Caire, 4 l'es, de ce..e ville.
Ouoiqu'en ruines, .Is »ont encore U» témoignage» de l'irrégularité
et de l'éléga-cc do l'arebilecture arabe : la riclu»,e y esl
jointe 4 la légi-n:lé avec un goù. très délical, et forme de,
groupes qu'aucune autre m.tssc d'étlif.ce» de ce genre ne m'a
jamais oITorts.
Le bilimcw qu. occupe le mil.eu do l'cumpe éto.l uno ca-
.ernc do Mamelouk.; remplacement ,=n encore de clme.lcre.
roui ce que l'on apperçoit de ,«lit sur le premier plan sont
des sépultures moderne. ; les figure, represen
que l'on i«:ul voir d'une m
io3, 1.« ..
a. L-nc vuedurteuxCaircotiroralab, bili par Ainrou;
k gauche, une maison 4 l'usage du paj,, cl hltie ,ut la rtie;
les fenêtres grillées, les auvenis qui »ont .lans U partie supérieure
, sont tourne, au nord pour on recevoir l'air frais, et le
diriger dans un trou qui c t au b-ts, pour être do 11 d.itribué
dans toute, le partie, de la maison.
Dans le fond, l'islo de Raoïidhali, 4 la poinle de laquelle est
le îlekkias ou nilomelre; b [«lit mur m tond, que l'on voit
au piemier plan, au milieu de l'clampe, i-.l une bâtisse que
l'on élève autour d« jeunes palmiere el des sycomore», |K>ur
le. Migner et les arroser, jusqu'à ce qu'il, soient venus à un
certain degré de force pour se defendre eux-mêmes.
K° 3. Vue prise du vieux Caire, où l'on voit d'um; maniere
plus détaillée le Heklias, cl le palal. quiy eslattcnani, bit! dans
iomèmc lempsdel'cxpédiiioii deS-LouiscnEgyi.tei ou api«r;oil
le» pyramides dans le loinlain ; sur le devaiil, deux sycomon-» arec
leure formes surbaissée». On peut rem.-irquer dans ccttoeslanipe
l'usage que l'on fan <le l'ombre de col arbre, l'utilité dont .1
est daus un dimal.icl.aud, elle. élaWissen.enI» que l'on fait
sou» sc.i abri . tes vue, naive» de ce genre peuvent peul-élfo
suppléer J de longues descriptions.
P L A N C H E XXin.
S» 1. Tombe.-.ux musulmans en briques, en pierres ou en
marbre: le eoriis e»l Inlroduit par l'ouverlure cintrée, el re-
F„e »ur une terre douce ei tamisée; au-dessus du tombeau es.
figuré U.I lurban, el visi-vis esl une iuscriplion contenant le
nom, les litres, et quelquefois l'eloge du mon. L.s Pgnrei
pleuH'nl et prienli cerémonU- .|ui se renouv>.|le ebaque semaine,
et qui devieni le jour de fèlc i«ur le» fen.ii,«: tant leur régime
est dénué do loul re qui esl agrément, ptiisquc pleurer est compui
au nombre des pbisirs de leur vie.
Tt" J. Cimeliere dos Mamelouks, !• l'.-st du Ca.rc, du cité
de la porte d'Iil-Kcrasé. Les monuments les plus considéranos
P L A N C H E XXIV.
H° 1. Uno autre vue de» tombeaux
, mont Sinaî, qui apl^r.c au Caire du charbon
, de la gomme arahiqu. I de. meules de moulin, 4 bras.
.. Attaque d'.^rabes sous les .nurs du Caire, au soleil
levant, qui est le moment où le plus souveni ils viennent enlever
les passager» jusqu'aux portes de la vlllo. Dans l'eslanipo, ceux
qui lonr onl écl.api« s'enfuient a b nage, i>our éviter b poursuite
de» cl.e.aux;b.noulagneàgaucbe,formré de décombres,
esl maiutenai.i couroi.uéc du fort de l'insiituti le» jardins
q,io l'on vo.l dan, le fond éloieni ceux du palais de Ca«inlhe,,
qui éloieni devenus ceux de l'.i.,lilul.
P L A N C H E XXV.
>-° I. Vue du village de Zaouyel., ,utla rive gauche du Sil,
pri,e au sud de 00 village ; 4 dro.le, le ficuvo sur lequel deux
avisos arme» prou^geoieul le convo, qui »iiivoil l'armce.
S" a. Un arbre révéré, auquel on fait de» oITrand.-,. Voyes
le journal, page, gS 0195.
K° 3. Vue intérieure dn jatdm de Cassim-bey, d.ve..u le jardin
de l'iiuiilul du Caire. Je l'ai prise au .iomenl de l'inondaliou,
pendant laquelle ou ,»;ul également .'y promener à pied
st en toleau; Ira grands arhrc qui sonl au mifien sonl des
tqiine, d'Egyple, eipece de cassio, de la famille de» niimOMs,
quiproduil la gomme arabique, le peut monumcul r- ' -
sou. est un kiosque turc 4 jn-cudie du cafe, fumer el repoar
»aoullilé, faire de, calcul» rt'inléril personnel, ourdir de» Iraine.
en silence, prévoir ou concentrer b projet d'une conspiration,
et ne s'émouvoir que |»ur l'cxccuter. (Juelle dtlTcronee,
depuis qu'il étoit devenu le in,inl de raliieinei.l d.., membre»
rfcl'inslitlitl que de inouTe.nentsI que de rapide» d;»cus,ion»!
,| ue de franche commun ioal ion.l que de projel» projKMé.,
remplaces par de nouvellescomMpt
uveniutiles, etloujcur.
brillante ! L'étincelle naissoil du cUoc do b penvit-; la plaisanterie
icrminoil la dispute, el la gaielé nou, ramenoil Ion, au logis.
P L A N C H E XXVI.
Vue de la pyr: ide de d'Ellahcun, il l'enlMe de I
province du Fayoum , i l'extréinitó du bark Juset; o'étoil pculélre
la pyramidc do Mendcs, si le lac liatlieu éloit le Mo,ris 1
cettc suite do rocbers tailles 4 pie, que l'on voildaos le dcrnior
plan, recevoil pcut-circ les effott, duSil,,l amrefoi,, par b
Ucuvo san. eau , il alloit se jcicr 4 la mcr par k Maréotis. Cello
pjramido esl bàlio Oí. brique» non cuiUís; une construclion en
pie.res calcaircs lui «rvoil de noyau.
N-a. LapyramidodeMcWoum,priseduNil,eulrole.villagc
de lU-ga 4 Uroilc, el Cafr-él-Bycb a gaucbe.
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