( i,i )
t ^ 5 « 7, méinr plínclio , soni If s acu« côlft "pecf Jioints
ff ülsquc TOlit en picrix; Je- Mille ; tjuoiquo le lr."il n'cr. -
pM [.itù-icux , !<• »tjlc """W l'sniil^ii'i
K' G. Va -Me do verre J»
P L A K C H E V.
nefeuil!» que plai.cl.0 IV. ) Le. -c
les diillils el
1 l.i=J> <Ie prcfondtur, «i imposé de deux c1i3mbr«
, le pb", 3. " l'"''"^
.Vu..e picce 4 Vùulre Hoil m.irée ec .-lauUc-; la ¡.le«
B C0..«D0U k 01 tivis oicb» «rrers à liauleur d',p-
, d--.... I«q..clles aoici.. irois loriipei <lc Icrro ci. forme de
coquille, poKièrcment ud ytti, cipal pmcj^l
ctuc i>ice<-. 11 ï a trente ciit'or. a Jei> irouve une cbaii.Lre
de mrme Torme, p-iM-igéi: au», par ti
> même caual, dans l
,,uel il ae trou.. ..n m^lttscril pt.niqu
La ngure I ta h vue iKU,>eciive .• itii sarcophage . .
de [erre
eiiilf, (le six pied, de longueur sur trois de larçe, el d un «ul
nxa^t,^ . p r conséquent une des plus gr.n,lc! pieces de lerre
euile quiateul élé eieeulies; tu.e roulllun.. r.•ce^oil le cou'.eiele,
donl k n° » esl la f,5,tre•• les i.eiit. irous rouds qt.o,, peut reu,
arquer i h partU- supérieure de la bordt.rr dtl sareopliase
ètokul peul-rtt-e destines i scelIcT ce couvercle.
K" 4. Le fond du «rropliage, sur lequel posoiv le corj».
K° 5 et 6. l-i.'S Mupes de l'un cl l'autre c6lé du monu-
,tu de b jc^rapUie. Us noms des villages,
•i,, le ..lu^ wuvenl sous b dlrtie des uuinenelateurs. dont
prononça lion oITroil une grande variété, iloivent néecssain.„
t présenter .les erreur., que le teutps et une étude parulierc
<le ces objeu pourront seula recllQer.
P L A N C H E VI.
K' ,. U còte bassede l'Afrique, qui n'olTre au-le«us de
1., Îiirface des eaua <|u'ul.c ligne blanche, que l'on n'apperçoil
que ,1e très prés, et qui di.parolt d-rriere les vagues dès qu'il
) a du vent, ou dans la vapcir lorsque le eiel est bruineuj:
les Èbtiques qu'on voit at. rentre so... ce qu'on appelle U
lour CI le Ton des Arabes (voyei le journal, piges ai el a»V
N» a. La vue du fort du Marabou, où s'elteetoi la .leicettle
. ce non. de Marabou lui vient de la mosqutie sur le
minaret de bquelle fut deplojé le prender pavillo.. tricolor
' " / • ' ^ " u u e TU. d'Alexandrie, prise daus son développe.nent
de l'est i Voucst. A dro.tc, le <.eux l>or. EuMUIporlm, renferma.
« le l>elit 1«)" de Kilolm, et .lornetc, le Matcotls;
e.isuitela ville moder.ie, iu-<lessus de laquelle on volt la butte
Sa.ulo-CalLerinei les vaisscaui eontcnt.s dans le port neuf,
mag"^ po««, de>a.,. lequel s'avaure la jetée, et le cbàu»u
du l'barillo.., anciennement le Phare. D.-.ns le lointa.n, la colonne
de Po.npie, la ...osquéc de S.-Athanase, legr.iltd Mon.e,
l'obélisque de Clfo^tre, les ru...e8 du palais des Ptolo.iieee , et
eoC.l le l»til Pl.arillcrD.
ri» 4. Une autre vue d'Alexandrie, prise il l'est au moment
de l'attaque et de la prise de cette ville.
P L A N C H E TU,
Carte de l'Egypte i..ferie..re. où sont tracées les marches
décrite» dans le journal, et IfS bal.ulles et combats qui se sont
do.ines lors de la co.iquéte de cette partie de l'EgJpte. Celle
carte, qui ne (leut être comparée à relie qui sera le résultat des
operatiousdesi.isenieurs-geograpbesdel'.ustlimdu Caire, adéja
l'avantage de présenter la forme réelle du littoral de l'Eg>-ple, des
bouclirs par lesquelles le Nil arrire d.ln5 la Jléditeiranée, des
lacs Miulier, llrùlos el Menzaieh, d'après le« reconnoissances
failes par le général AndrCossy i elle a encore celui d'être dressée
d'après les observations astroiio.niq..es du citoyen Hoette,
qui ont lixé les hauteurs d'Alexandrie , du Caire, de Boselle ,
deDamietU!, des Iwuel.es de njbc-U. et d'Omm-tiredje; oiiér.v
l.on ([ui atlacte l'Afrique i. l'Asie, el fixe avec exac.itude d.s
P L A N C H E Vlir.
.. Vue génér.ile des isles de Malle, du Gose, de Culuino,
et de Cumiuoto. Celte vue peut donner uuc idée de b
forn.e générale de er groupa daus sa partie sud-est, el la mesure
de sa s..rface sur l'Iiorlzon marilime . la fu..iér du coup
de eanon a S'uel.c part du fort Sle-Oilberinc, à la pointe
orientale de l'isle de Malte i le cot.p de cinon du m.bcu est
tire du cblte.iu qui do.uiue la cilé Volette t ce que l'o.. apperau
reve.^ de la moutapic b plus elev« est le .om...rt des
fabriques de b cité DO.aUe, l .tucienne capitale, située au centre
de lisle • b partie i droile , .iiarquéc d'un oiseau, est le Cosej
celles marquees de deux et de trois oiseaux sont le Cu.nino
et le Cuminoto : l'aspect .b ces isle^ est aride, el la couleur
et. est bla..cl.e.
N» a. Un pbn figuré des ruines situées sur le l»rd de b
tnér da.is l'emplacement de l'ancienne ville tb Canopc; ces"
subs'lrue.io..s, ta.lkvs dans b t^c, doi>e,.t être lesn.i..es d'un
bani pris sur Vemplaci-.neitl du sol de b mer. el devant lequel
des blocs, des drbris d'arel.ileclt.re el de sc-ulpture, se...blent
avoir été placés pour ser-ir de jetée, et defcdr« cet étiilice
de l'elTorl des v.igucs de la .ner. Les parlies qu. excédent le
olïca.i de l'eat. conservent encore des canaux eu briques, reoouverls
eu cin.ent et pouiîolane, qui disiribuo.rnt sans doute
l'eau douce dans les pieces .narquées A,B. C.D.E. V. Voyci
le reste de b desc.iption da.is le jout..al, pages 53 et 54.
S= 3. u.ie Tt.edu grand port d'-\lei.ndrie.
depuis Icpelil Pborillou jusqu'4 bpbcedes Francs; à droite,
le ehSteau «lu petit Pliarillon, où l'on croit qu'éloil bilie
lu fameuse bibliothèque. Le soubassement du premier iiioiiament
que l'on reueoitlre eu sulv.int la ligne, el revenant
droite, raisoitiorliedi-aruiues du palais des Ptolomérs: près de
là, les deux aijutll« dites de CliopStrc, dont l'u.ie esl debout, el
l'autre renversée; derriereest la porte de llosctle, forln canopka.
Tout ce qui suit offre les ruines de b cireouvallalioD arabe;
Il plage où arrive doucemc.l b mer; uu Iwis de palmiers,
derrière lequel est le gr^inrt Mon.e, aujourd'liui fortifié; ensuite,
d'ancienne constn.eiions arabes, faites du temp des
kalifes; un palais arabi-, où sont établis aujourd'hui les Uiins
de vapeurs-, une mosquée, el une partir de b ville moderne;
„.r le pre.n.er plan , une espeee d'esplanade, qui serl de promraade
i la facKirer.e europêen.ie, el où sont r.-i>r.iwnlées
les premieres liutles que nos soldat, fabriquèrent en arriva..!
,,our se mc.lrir S l'abri du soleil, dr l'Ilu.nidite, el de la
fraîcheur des uuils, également incomn.ode» à Alexandrie.
U couleur géniralemeni bbocbe de ce site, les ruine», qui
en sont presque usées, oITre.il un aspect mélancolique, qui
formero.l un tableau élrange et piquant, <i on ,>ouvoil le
rendre avec sa couleur naturelle . les grands souvenirs d'ailleurs
qu'.l rappelleroilà l'imagination ajouteroientsans doute un
grand .nléréi à b sinp.brilé unique .le ce tableau.
P L A N C H E IX.
s» .. Aboufaqir, mendiant égyptien.
a. Vue d'une prinei,»le mosquw d'Alexandrie, co.inue
sou« b nom de !!.-Allianasc ; qualr.- rangs de colonnes antiques
de marbres de toute espece portent des ares qu. souliei.nent
un plancl.er. el forment un porlitjoe couverl, doi.l les Irois
murailles el le l<avc sont revêtus de mosaii|Ue en ini.rlire. avec
une fris.-où drs senlene.s du Coran eu grands caracirrcs sont
exécutées en mosaïque en émail. Ce portique ouven donne sur
une cour earree, pavée en marbre, ciourée d'une galerie
soutcuuc i-ar des eolo..nM de .néme nature que celles du
( iij )
poniqueívoyeí le plans'! 3, mSme planche;. I.e, plus misérable.
fabri,,ues son. ajoutées par le. Turc. .¡.X magnificences sarrasiues
que je vies de dArire. Da..s la eour, les plantes, rnsuile
les arbres, se sont fait jour, el oui soulevé le pavé de ...arbre;
les =boaleme..u. on. remplacé les voiMcs à l'e.idroil où elles se
son. crevées, et quelques planches de sycomore qui ne se joiguenl
,«int répircnl les défauts de coulinuité de la clùlure : le petit
édiûce octogone que l'on voit dans le milieu de celte vue (X» 6)
renferme le sarcoplnige antique dou. bS- a est b irait. Le
N» /i en esc le pbn. Vojea sa description dans le journal,
'"n» j. La colonne de Pompée. Cette colonne a été mesurée
d.vns ujus ses détails par b ciujjen Korry, qui a douue au public
le lisultat doses onéralionsi la dlssec.alion qu'il y ajoiule
ne laisse rien ii désirer i b curiosilé sur co monument. Le
simple trail que je donne ici pour (aire connoltre les principalis
dimeniions de cette colonne es. empruo.c des operalio.
is du ciloyeti Sorrj.
N» 3. C'est également uu simple Irait de l'obélisque de CléopStre,
d'après Ir. mesures prise, poslerieuremeul à b fouille
faite â sa base depuis uoire ~ijour en Egypte.
P L A N C H E X.
I. La vue de trois colonues que l'on renconire près de
b mosquée de S.-AlUanaset elles sont de ptinli. et d'un beau
tr,i.ail. Aucun voyageur n'a parb de cette ruine-. Il faudroil faire
di s fouilles pour s'.-uisurer de l'époque à laquelle elb appanient.
A en juger par la délicatesse du Irail de ces colonnes, on ne j.eut
meure eudoulequ'ellesnaientfailpariiedeqi.elquesmonuraenls
antinuesi mais bur rspacemenl exagéré doit faire croire qu'elles
ue sont pas placées à leur deslinatio.i primitive. Quoi qu'il
en soit, elles sont les restes d'u.i grand el magnifique édifice ;
leur diainelre à l'arasement du sol, qui doit itre 1-peu.prcs la
moitié île leur l.auleur, est de .(ualre pieds, six pouces; b
fabrique qui e.l derriere est un casin arab.- dai.s uu jardin .
daus le fond , on apperçoil le sommet de la cobnue de Pompée.
a. L'obélisque de Cléoi^lre. Le monument qui est der.
riere est moitié grec, moitié arabe ; on dislingue encore des
chapiteaux de c«lo.uiés engagées d'ordre dorique, do.i. les fûts
vont se perdre sous le niveau de b mer. Cette eircouslauee,
eoiDcidanl avec ce que Slrabon rappi.rle du palais des Plolomc«
battu par les vagues de la mer, a fail croire que cette fabrique
étoil une portio.t de ce palais . ce que les Arabes y ont ajouté
.t'es, » s dé..ué degoùt et de magnificence. Le petit .iiouu.nenl
qu'o.t voit 1 gauche est b jiorte de ilose.te ; oe qu'on voit au pied
de l'obélisque en est uu autre, qui c-sl renversé.
N» 3. U gra.id pliarillou. bill au bout d'une jeu»; cUi-
,eau lurc de quelque appareu ' - •
, loger une gar.iison qu i défo.idie la
appelé le Diamant. On croit qu 'éloit b .
anuerçoit .-.ucuci vestige; ce n'est plus ...a.ntei,a..t qu un ecue.l
ballu et couverl des v.^.u.-s de tous les ve.ils.
S» 1. Uue v-ue genérale ,1'Alexandrie, |,i.se .les galeries du
.ninaret do b mosquee ,b .S.-Athauase. ELe présente le gra.id
1 dév,-lopiieme.il, bs deux cliiieaux du gr.ind
pon dans i
« d u petit pbarillou,qmler.ni,
,cni les deux
cervie ; en se rapprocba... i dro.te, les ru.nes du pab.s des
Ptoloniées, le pabis des Arabes, ou sonil.-s ba.iis, lavile n.oder.
ie báüe sur le re.nbbie.netil qt.i a joiul Viale du pitare à
la ierre ferme, espaee appclé aulrefois H^pta siadiu«,, el a
gauche, une panie du i po. 1 sur b devant, Ics r s d'un
e de b . .-ilblion arabe, aulrefois b Seixpéu^.
P L A N C H E XL
Plan de la bataille des Pyramides.
J'y ai joint ceux do la ville d-. Caire, de Boula. , de Djyséh.
vieux Caire, el d'Embabé, des isles .b Baoudl.ah el de Boubc
des Pyiam.iles el du cours d.i Sii; j'
cette iropon
le général 11
ir arhever de dou.ter une eiilicre connoissance de
ole bataillc.J'emprunleiciles details qu'e.i a donnes
nhier dans S.-1 Beblion des campagues du général
Egypte, et eu Syrie.
Bappç'l da gérUral BeriUir.
marqué le ...ouvement
facileinlelligence.elj'ai
ilr.-,eueng.-.5.u.entdo
.. Mille souvc.iis se réveillent 4 la vue de ces pl.iines, où b
. son d.s armes a ta..t do fois changé la deslinde des empires.
. L'armée, i.np-ilienie d'en venir au» maïus, est aussitôt rangée
< 0.1 ordre de bataille. Lesdisjiosilions soni les .némcs qu'au com-
• bal de Cbebreisse. I.a lig.i. formée dans l'ordre par Ahelon.
;.e"l par divisions qui se flanquea refusoit .a droile i Bo.ia-
. |>arle 0"lo..ne S b ligne de s'ebranler : mais les Ma..ielouks ,
c qu. jusqu'alors avoient paru indécis, prévie....ent l'exécution
u dece mouvement, menaccni b ee.itre, ei se ptéeipiieni avec
.. impétl.os.té suc les divisions Desjix et Eeymer, qui formoient
ubdroilciils chargent intrépidement ces colonnes, qui, formes
» et immobiles, ue font usage de leur feu qu'i dcmi-i>orlée de
„ la mitraille 01 de la .itousqueterie. La valeur téméraire des
.. Ha...eloult5 css-iie en vai.i de re.iverscr ces muraJIles de feu,
.. ces remparts de balouiiettes ^ leurs rangs »ini éclaire!. j«r le
» grand no.nbre de .noits el de blessés qui ton.beul sur b
U elio.i.p de baiailb. cl bieulùl ils s'éloigueul en désordre ,
« sans oser .-ntreprendTe ui.e nouvelle charge.
.. Pendant que les divisions Desaiï et Iteynier r^poussoienl
.. avec taul de succès b c.ivabrie des Ma.nebuks, les divisions
u Bon el Menou, soutenues par la division Kl.-ber, eon.ma.uléo
-par le général Dugi.a, n.atchoient au ¡>a. de charge stu- le
village reira.iché .l'Embabé; deux bataillons des divisio.is Bon
„ et Slraou. commandés par les gé.iér.-.u< lla..ii>on et -Marmo.il,
.. sont délachés avec oi dre .b louluer ce villag.-, el de profiler
.. d'un fossé profond joeur se mettre à couvort de la cavalerie
..de l'enne.ni, el lui dérober leurs mouvemenls jusqu'au Nil.
„ Us divisions, [.réccdees de leurs ilanqueurs, continuenl de
e s'avanceraupasdecbarçedesMamelouksallaquenlsanssucei.
u les pelotons de fianqueurs; ils font jouer el démasque.il qua-
« caute .nauvaises picee'S d'artillerie -. les divisions se préeipileul
.. alors avec plus d'i.n|)éluosilé, el Le iaissenl [..i. à l'ennemi le
« lemi« de neharger ses e.iuo..s. I-e. retrancl.e.ne.iis so.il en-
. levés i b baïonnette; le camp cl le \illsge d'En.babé sont au
.. pouvoir des Français. Qui use cents -Ma.nebi.ks à cheval, et
. aulanl de fellabs. auxj|uels les généraux Mannonv el ll.impon
n oui COU|« toute loir.-iite e.l tournant Embabe, et en prena.it
. une ,K>5itlo.i retmucbée de. r.ere un fos»: qui joig.io.l b Nil,
.. fo.lt en va.n des prediges de vabur ; aucu.i d'eux ne veut se
« rendre, aucun d'eux n'échappe à b fureur du soldat; ils son!
lous passés au Cl de l'éi-ie, ou noyés dans le Nil. Quarante
« pieces de canon, quatre cenU chamea..x, les bagages .t les
.. vivres de l'ennemi, lombe.ilentre l.s mains du v.uuqueur.
,I Moural-bey. vojanl le village d'tmbabé emj.orlé, ne so..gc
. plus .¡u'aux .noye.is d'assurer s-t retraite. IXja les divi...ons
„ D.wix el Peynier .avoient forc-é S.1 cavalerie de se replier;
«l'.-...nee, quoiqu'elb maiv:l.ic depuis deux heures du matin,
« el qu'il en fût six du soir, le pouisuil encore jusqu'à Glieli.
.. Il n'y avoit plus de salut pour lui que dans une ¡.romple fuile ;
« il en doiiue le sigual, el l'arn.ée pre..d [«siliou à Gileb apris
.. dix-neuf heures de .narebe. ou tie combau.
u Jama.s victoire aussi imponaiileiie coùla moins de sang aux
.. rra..çais; ils n'eutenl i regretter dans celle jounieo que d.r
hom.nes tues, et .-nviron tre-nte blessé; jamais ava.ilage ne
« Si .uieuxse..lirb supériorité de ia lactique n.oderue des Eu-
11 ropeens sur celle d.-s orieiiUux, du courage discipliné sur la
n valeur desordon..ée. n
P L A N C H E XIL
Ce tableau reiirésenle le ..lomenlde U
orps de Ma.itelouk. font chacun une
sorlie: l'u.i sur les divisions Dugua, Desaix, et Beynier; l'autre
sur b bataillon commandé par le général B.i.npon i voyex dans b
journal le récil de la balaille p. MJ. J'ai ticlié dedon.ier l'..nage
d'une charge de Mamelouks, do.it j'ai clé plusieurs fois lemo.n,
I'
'!!!
I; t.