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P L A N C H E C.
iroin« M comlx-ai.j (!.•» i«is, 4 TLobcs; 1« oi-
QCUIMK ensoul J'ur goit cujuis, ol l'cxcciiiioi. [.«tiiu-i Ira
<lciis liicssonlcull« li'lsiset J'Osirisi cc dernitr, jous la (ipi™
dun cpcrvirr,! le bwvisc! l'ornement qui cjl tiu-de»oiis Ml Ij
phnle « !<• Wloni " lolus.
Un" 1 cil Ic drsiOus rte mime palerei les ove», de l'ordre
dorique, ae soul nuire dune que l'orncmiiit qui sen de bordure
i ce polit vm-.
Le u» 3 «l la coupe do ce tjsc , dont le mil csl aussi pur que
los oriiL-meuls en soul ngréahles.
B°ll. UporIrlitli<leled'uurQuleJliniaiiuscrilquoj'»ilrouvé
daashmaiud'uiie momie ;vojei le journal, juje i.\5)i d(;veloi>i>é,
il SCSI trouvé avoir pieds g pouces de longueur ; s.-i Iwjour el
M grosseur ivjul d'ôtro <léroule sont telles Je la figure de l'eslampe.
J'ai pniieré <le hire graver les in.niiserlls irouvrt depuis,
parccqu'lls soiilplus conservés, u'ayinlpasélécoii.primos comme
celui-ci i>ar la main île b momie, «loni 1» liqueur emUiuinjule
ivoii imbibé eloifgénedes iviriie5.!--\vi50cttetiuej'ai irouvce »
celui-ci represenle une momie suc un I» de re | ^, qui a h forme
el le corps d'iu; Viou ; au-dessus un vaulour, 1rs ailes déplorées,
à.|>eu-i.rès s.-robl.-.We à la figure planclu- C-XXVI, ii» i . . el audevaia
u.. homme iuvoquaiil une divinité qui lienl uu ttéau el
un erocliel; entre les «leuï Ofures esl un autel, sur l.ijiiel sonc
desvas.-se. de, fleurs d„ tous.
N° 5. Un rcsiJudo inalitre balsamique, auquel on a lionne
la fora.e d'une mon.ie. ei qui avait son enveloppe à i.arl: eeiie
figure estgnvée de grondeur iialurelle; je l'ai trouvée dans la
• m itoil le insnujerit. Celi
menienl soignée, ses enveloppes
: éloit oïlrêe
loile rose aussi line que du
(«líelas, se» handeleties oouveries de earacleres, et le ilessus
,K-int el doré- Il est i eroiio que e'étoieut les restes d'un personnage
intéressant : cette petite nujcnie inlcri>osee éloil, suivant
loute jppsrenee, le résidu de b liqueur erabsumaule. dans laquelle
«voient trem,Hi la cervelle el les entrailles, el qui, pouvant
en eonteuir quelque particule, éujit scrupuleusement ramassé
el rejoint à In masse, aCn qu'à 1« résurreclion il ne manquil
rienau personnage considérable qui avoji » ressusciter; de sorte
que uianquanl d'une p-irlie de leur existence les gens du peuple
éloient destinés 4 être aussi malh. iireul dans l'autre monde que
dans celui-ci. Ma présomption i l'éaard de eeiie momie est appujée
de la même observation tsilc sur l'embsumement des
ibis, et les fragments de plumes emi>aquetc« el adaplces su
niaillol (voyea planche XCIX, letlre IJ, et l'eiplicaüon do cette
planelie).
K»(i. l'rogmeut d'une momie, que j'ai trouve dsns les tombeaux
des rois, à Ttebes; il est ici des deux tiers de sa grsn.
deur naiureilei l'élégance, la délicatesse et 1« p-rfeclion de ses
fermes ne laissent pas douter que ce ne Kit le pied d'une jeune
Il Ile adulte; son pouce relevé, son premier doigt alongé, le peiil
doigt remonté, la courbure él.^ante du coude-pied, sa virginale
cons..-rvation, l'inlegrité de ses ongles, anuone>.-nl que celle i qui
loul «ela a appartenu étoit un i>ersonnj|e dislingue, dont le
pied o'avoit jamais été ni hligué par de longues marches, ni
froissé par aucuneebaussurei on peut s'appercevoir encore que
les ongles éioienl teints «vee le l.éné. de U mime maniere dont
Ira femmes rt'tfjpte se teignent encore aujounVIiui, non seulenjent
les ongles, mais le dessous dra pieds el le dedans des
P L A N C H E Cl .
S° 1. Un jeune Mamelouk en grand costume, Im mains .
chées par respect sous ses longues maitclies, comme lorsque s
maître lui «dresse b parole; le turbau de scbal, l'iiabit eu p.
tlr.ipde toules couleurs, le plus souTenl iaune ou pouirrei la
veste, qui a desi longues raanclies, eu velours uu salin, le plus souvonl
rajés ; une grande culotte en pauialoi. immensémenl amiJc;
des chaussettes de cuir jaune, el des s-nndjles de même couleur ;
uneeeinlure en seLal.un sabre, uncaugiard, un poignard , et
i gaucbe une giberne k cartoucbes; souveiil dans un sac de
même forme, îles reliques, des uUsmaus, delà vieille liuilejiour
les blessures, ou uu livre du loran, qu'ils croient tous rgalemeul
proj)reit ¡»révenir les accidents de la guerre ou à j remédier ; dans
le fond une fcmme du jieuple dans 1« rue.
li" ». Duo aimée ou bayadere d'lift-ple (vojet le Journal,
page 65, arlicle nielubis'i la robe en prlil dr«p, la clieniis.- en
gaae , le turban et la ceinture en setial- Dans le fonil une petite
vue d'une mosquée de Rosette.
N» 3. Un Mamelouk en lnl>it de guerre ; voyer le détail de
ses armes, planche XCV i dans le foud doux jeunes Mamelouks
aveed.s bitons, s'eserçant.'i espadoiiner ! le pawigc est celui où
sont situées les pyramides do-Saecara.
îl° i. Le costume d'un marchand i un turban de bine rouge
ou blanc, un gilet de drap, une culotte ISclie el coune de toile
Uanebe. ui> surtout de toile bleue, une ceinture île ujile des
Indes rayée bleu elblaue. quisert S envelopper lout ceqn'il veuttransporter.
Dans le fond une boutique d'un baianU un inarcliand
ej deux acheteurs qui disputent sur le prix, espece de récréation,
ou un moyen de ne rien faire, auquel le vendeur se prête avec
une exlrcme i-omplaisance.
5. i;ned3me ullanl 4 ¡lied dans la rue i plus l'ampleur cl
le nombre de ses habits lui (onl Jielxlre ses fonne» et rendeul sa
marclie ga ucheet noJlsnMsée.pIuseU.se croi t dans le e-as dépenser
qu'on doit la regarder eomiae une giinde dame; la derniere enveloppe
est d'onlinaire en taffetas noir qui lomix-jusqu'i terre, et
ne laisse pas même voir le boni des piols ; de loule h |>ersoune
on n'api>ertoi 1 que les yens, encore le plus souveul y sus|iendciitelles
un anneau devant, qui a la vertu de repousser les ciichautemejils
et Is mauvais sorts.
A droite, dans le fond, des psylles faisant .oirilesserpenlsetdrs
lésanls; i gauche, UD négociant musulman fumant sa pipe.
Je dois ces eiuq costumes au oilojen Iligo, membre de l'inslilul
du Caire, qui, de retour, a bien voulu me Ira communiquer.
H» 6. Un paysan de la liaule tgjYlc , inaugeaiilla premiere
pousse de la luaerue ( voyei le Journal, page ii5) ; à ilrolle, deux
saulons ; à gauehe, l'accouplement du cliameau(voyezi>.ige aaa).
S" Un saolon, espeee d'injbécille, doul ou a pilié pendant
qu'il vit, etquel'ou révéré «pressa mort, usage asseï général,
el aussi ancien que le monde ; derriere lui rat un cbien de
l'e«l>ecu des matins, celle qui est l'espece la plus nombreuse; i
droite est un vieillaixl aveugle conduit par son pelil eufaul,
groupe allendrissaui que l'on rencontre malheureuse meut Irop
souvenl en Egypte.
^ 3. Une femme noble dans l'habit qu'elle porte dans le
bareni, tenant uu ehasse-inouclie; evile à droite est dans l'acte
deinarcber, relevant ses lialuls |iour pouvoir avancer les pieils;
i gauehe, jeunes enfants barabras d'au-ilolà des cataractes ; une
femme pauvre, qui l)réfere employer oe qu'elle a de vêtement i
s'envelopper le vis-ige qu'i se cacher le derriere.
N» 9. Un liahllant de Darfour, un eondueleurde earavanra
qui amendes ucgres et les negresses en Égyple; loulson costume
consiste en une draperie de lame blanche qu'il pron^enc alternativement
sur loutes les parties de son corps; sa chevelure est
frisée en lire-!>ouchou, a la manière des anciens Egypliens. Dans
le fond esl une oooversalion élablie entre uu grand et un homme
du peuple.
P l .Aî r CHF . CH.
N° 1. Vue du désert, et d'un camp de Bedouins, avec ililïé.
rentes figures de bédouins et de Bédouines h pied et Achevai,
également maigres et décharnées: la grande Qgure à cheval est celle
d'un chef de hoi^e dans touto sa magniÛeence.
N° a. Maiiiere d'élever l'eau et d'arroser les terres après l'inondation
du Nil ; puisée (Ur des seaux de jonc, et versée dans un canal
qui la distribue dans les lenes par nombre de pcliles rigoles;
h: reste arrive dans un bassin d'où, jur la même opération , ou
l'éleve à quatre pieds de plus pour la faire eonler plus loin : cette
machine ressemble alisoliimeiil 4 celle des puits i bascule que
l'on Irouve dans nos vilbgesd'Euroi»; la manoeuvre s'en fatten
mesure, soit en chantant, soit en proiujnçanl des nombres, ou en
léeitanides hjuangesdeDieu ou des venus de .Mahomet; l'homme
assis el qui fumo esl le propriélaire qui f.iit travailler à l'arrosemcot
de ses terres , compte les jiouces d'eau qui règlent le pn>
duit de sa récolto 1 le groupe du milieu represente l'ablulioii el
b prière que les musulmans font 4 iajKiinledu jour, ease tournailla
l'orient, où est U Mekheel le tombeau du prophele; les
feninies viennent à celte même beure puiser de l'eau dans lel^il;
occupation qui fait l'objet de leur premier soin.
N" 3. Autre maehiue 4 élever l'eau ; les travailleurs sont disposés
de maniere qu'ils puisent en se baissant, élevenl l'cou on
se renversant en arriéré, et la versent en lichant une des cordes;
la même barmonie est r^lee partes mêmes moyens décrits en l'article
ci.dessus ; les joncs qui reçoiveùt le eboc de l'eau préviennent
la dt-radalion de ees foibles conslructions en lerrei sur le devant,
à gauelie, une jeune fiLe data le costume qui leur esl ordinaire
jusqu'au moment de la puberlé.
Des femmes viennenl au Ueuvo puiser de l'eau , eachant leur
visage, parcei|u'il n'y aqne cola qu'il leur soil ordonné de cacher ;
une autre porte son'enfanl i"b maniere du [«ys ; ta figure i
droite esl celle d'un porteur d'eau ; l'eau esl contenue dans une
outre de peau de bouc dans iaquelie il b |loite.
P L A N C H E c m .
'¡s'° t. Enterrement d'un iraunlman ; le corps rat suivi des
femmes de la maisou, auxquelles en soin ajoutées d'autres payées
pour déchirer leurs vêiemenls, s'arracher les cheveux, el pousser
dra cris lamralables; les parciils prêCident et suivenl, exprimant
leur douleur d'une maniere plus grave. Les tombeaux les plus
onhnaires sont dans b forme rte celui qu'on peul voir pl. XXIII,
u° I.o eorps esl déposé sur une ierre molle et lamisée; el chaque
semaine ou vient s'entretenir du défunt el prier sur son
S" a. Lrmomentoùlamariéevicnldequittcrbmaisoupa-
' icruello , et ]>a5sc dans celle de son époux; toutes les femmes,
párenles el amies, voilées comme elle, l'aecomiágnenl, el marchent
sous un dais; des musiciens el des saltimbanqura précedenl
le cortege; ee que l'on ap|«rçoità travers les ligures est la
vue de Ciseli, el de b maison de Mourat-bey, prise de l'isle de
Ilaoudali.
3. Ecole d'enfanls, encore plus bruyanie que ceUes d'Europe
; ils y apprennent à lire le koran, 01 S recevoir des coups
de bilou sous la plante des pieds. Les orientaux sont Irop cor.
rompus pour oser se permettre de donner le fouel aux eiifanls;
ils craindruient ou de les croire trop Cieileuieul coupables, ou
de le devenir eux-mêmes.
P L A N C H E C IV.
1. Serpents rtonlles |>s)ll.» se s.-rveul |>oui-leurs jongleries;
lorsqu'ils sonl irriies ils se dresseul, comme ou peul le
voir dans celle Cgurc, leur gorge se gonlle, se dilak-, s'appblil ;
du reste ils ne sont ni mechauls ni daugcieux : on peut voir
dans le journal, page 38, l'usage qu'en font les [sylles moderns.
l'line dit que le tombeau de leur roi Psyllus suleisloil encore
de son 11 nips ; il ajoule que les l^sjUes guérissoientde la morsure
avec leur simple s-alive ou par le seul altouehemenl, ilu moins
ils le ptiblidfent. Selon le même auteur era peuplra furcnl tailles
euplecra parles Sasamoas, leurs voisins, qui s'emparerenl de
leurs liemeiires ; mats il en échappa quelques uns à b débile
générale; et de son temps llyenivoil enci»o qui deseendoienl de
ees anciens idylles.
S" a. Trois lélra d'Arabes. J'ai i>ousê qu'une suilo de letra
des difféi enli-s nations qui habilenl l'Egypte pouvoit intéresser
la curiosité lira ubservaleurs ; ces lên-s, dessinées rapidement et
sans avoir fait poser les peisonnages, onl conservé la naivelé du
earactere, qu'elU-s auroienl peul-iue penlu en acquérant ¡1Ius
de fini ; la dilTirullé rte lire dans de si (égeres csijuisse-s, i qui
n'a pas vu les modèles, m'a délerininé a graver moi-méroe ces
têtes avee la même libene avec laquelle ellrs ont élé dessinérs.
Ces trois personnages étcùent freres, dra plus riclies et des
plus puissants de Kéné, fort raisonnables el ton inlclligents ; ils
s'éloient fort altaeliés i nous, el venoicul continuellement nous
communiquer leurs idées sur leur conduite personnelle, el nous
aviser sut ce qui pouvoit nous être plus av.inlagcux : j'allois journellement
dans leur maison, elj'yai mange plusieurs fois famiétions
ixtrvcnus (I nous entendre, et à établir entre nous gaité et
cordialité ; celui du indien, que j'aiinoisdavantage, me dilque |«>ur
être plus libres ensemble il falloit que nous établissions une |>arente
; je lui proposai d'êlrc son perc ; il accepta avec aUeiidrissemcnl,
cl, se rangeanl dès-lors i son devoir, il en prit le prétexte
de m'envoyer à u>ut moment quelques galanterira, comme
drafruiU uni qu'ils éloient rarra, des parfums, du café exquis
ft qu'on ne ponvoit trouver ailleurs; llacceptoil en retour avec
beaucoup de grâce de» choses de auLo valeur', me dbant ujujours
que je ne lui devois que protection el lendresse. L'esprit
delioal dicte le bon ton et Ira mêmes manières en Afrique comme
dans les cours les plus recherchées de rEuro|>e.
N" 3. T^les de négociants ile la ^!ekke, que j'ai dessinées 1
Cosséir ; lents turbins en soie jaune et rouge, avec de longues
franges, les eoifTenl d'une manière ¡ulriarcliale, cl leur donnent
uu air toul-à.&il imposant; ils ajoutent a l'habit ordinaire de musulman
une brge et longue béniche en laine àlargra bandes noires
et blanches. ' •
P L A N C H E CV.
N° t. Adroite, n' 1 el a, deux membresdu goueorncmenl
d'Alexandrie, dessim^s le jour <lc notre entrée dans celte ville.
La lèle vue de face, n° 3 , est celle d'un Arabe ; son caraclcleile
dignité rappelle ce|ui d'e» télés de Raphael et du Poussin 1 era
deux grands ariistra avaient sans doute fait dessiner les âgurra
ou bien le besoin de rendre ce qu'ils vouloicnt exprimer leur
en avoil foil deviner Ira belles formes el b noble gravité. J j
lèle n" .1 esl celle de Koraim, schérif d'Alexandrie, qui eomman.
doit dans cette ville lorsque nous y aTTiv.to«.;voye2 le journal,
luge a5 cn8 ) ; cc fut l'avaiice qui lromi>a son esprit naturel;
il nous trahit par la crainte de compromettre sa fortune; il quitta
noire i>arii qu'il ivoit embrassé, il devint criminel, 01 fui puni
eoninie traître.
î," a. 1. Une tête rte Copine, a. Un esclave de la SIekke
(voyes le journal, ji-ige 1 Sa) ; je l'ai dessiné lorsque,rtouloureusemenl
affecté, il regardoil son maître qu'il eroyoit au nioineal
d'expirer; je regr>:ne de ne l'avoir pas dc-ssme lorsqu'il apprit
qu'il ne mouroitpas, poui- foire Mnnollre à quel degré le phy.
siquo d'un êire sensible i>cul «Ire changé par la différence do ses
afteelioas.elcommenl celle physionomie si longue, si sévere, et
si iristc, iiouvoii devenii aimable ei gaie. 3. Vn Arabe. .1. Un
liomnie de loi.
3. 1. Un Arabe qui aune fluxion sur l'ceil 1 dans ces cas
fréquents ils baissenl leurs lurbans sur la |>arlic afUigéc, el
cunlinucill i veiller i leurs inlérêu. a. Un cheiHt de village.
3. Un jeune homme marié do l'année , auquel jiar cela il vionl
d'etre permis de potier la barbe ; cello figure, naive et douce ,
est peut-être l'expression elle caraclerc le plus général des jeunes
gens de cetlge. EnËgyplclescnfonusont laids et débiles, cl presque
tous les vicilUrds sont beaux. Les trois titra qui suivent sont
ti«is vieux Mamelouks ; celu 1 n» .i étoil un kiachefd'Osinan.bey que
nous avions £iii prisonnier; il éloit d'origine allemande, ce qu'on
voit tout d'abord, cinquante ans d'expatriation, et la barl>e n'avoit
l»inl encorechangéenluiiccaracierenalional.S.Un grave .\5ialique.
Mamelouk réformé, cl vivautd'unc pension de son niailre,
comme il arrive lorsque, faute de lalenis ou do circonslances
lieUKîUses, un Mamelouk n'« jamais été dans le cas d'élivj avancé
en grade; nue paie de retraite cl quelques graliCcalions assurenl
a ses derniers jours une douce tranquillité, soil d.ins la maison
du bey auquel il a apparte oit dansb maison d'un|iaysan,
auquel il paiepension. 6. Vieux Mamelouk de race maure. 7. Un
Mamelouk eu activilc, der^ee esjiagnolc.
I l '
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