U t r é .
( 'iviij )
„„id h leur; et l» Grec c'on. qa'.jo,,.^ d« fcbW
),„r on. foiu. Ici It cali« d ut,^ llcot, d fii.sce^u d»
„ a fo,.r,.i cabai.c, de « « .U:
„»„„ : le lo...» l.ur a donni le l-remirr ...odelc ; cc..o pWlc
L,.„.oi. chez »P» VM,oadaüou i olio í.oit l'rmblíme de I cmr.c
,l„ Sil d->i.s l» annus, il'iin e""''
i ; " « il l t r r L .^.ror ä L la de leur .e^plc
c^mme uo l.wnuingo de líut recoonoiMW« i Isis, qui pti^ido.l
4 ce l)lsDf.i.i comme Jcesc de h Ierre, iU luí en on. dédie u>u.«
les ,,rodueli»as, d.s de lavus, .le joue, de paim.e», de
"ft'lc^-'^i^ dT«ii.c ees niembt.» d'arcl...ce.ur. que pour m'en
.^ndto eomple, e. sidcr me» gn.veu.ï djns l u..ellÍ5ence rie mes
vu« piuoresqursi raa.s « rW à Paris, le ri.oyen Logrand. .rel,
i.rce , Vanii des .ru e. le mion, télé pour .ou. ce qu,
peu. é.e..dre le do.n.i-c de Inrebi.ce.ure, « yrcfngcr le» eo-
!,oi»»nee», m'eninrdi. /. donner axi publie et n.rs pbn. e. les
dil^iU arel>i,ec.ur,ls qu. pou.oi«.! ajouUT de hC.re. 6 moo
u v . ^ : la crs>n.e que le eiloyoa Pere ne pu. faire ou ne pul
r.,ppoT.cr ics opéro.lor.s qui lui «oicu. e.é ...ribucto la eomsfoiUcs
moveos; mais, eu n..eudnnl
uverneniou.,n.onuroi.iil
snls qu'il prósrntera , le
de» formes aus»
sous i n jeus <out ce qui cons.i.ue le genre egjp.iei,, et le
style de sou architecture de sa »eulp.ure mouumonnle^
K» 3- Une colonne des galerie» <iu temple qu, es. pres de
H<tdinet-a-Bou STliebos.
5 One drs colonne» d.t u-mple .le Visle ,l£lepl«ll.inr
de cnep. d,n. Vi»l. d^éd
e f ^ t i e » . . p . de
Thebes à Karnak; elle res.en.ble tellemen. »a .lunerj^on
e. sa canoelure i la colonne dorique, qu'cHe pen. en dtre lor,-
gine.
la toible esjuisse de .
l'imtnor.el o.l^Tn|e entrepris p>r I
aussi mIomjI que 1rs colossals mo
lee.eur sera birn-aise de voir uno petite i .
parieuses que «rie« de lous c« si6nifioa.,fs ob.p.toaux qm
^ e n t d'une .„aniore cplieauve le cul.e du dieu .lont ils décoren,
le .eD.ple. Le n- • , sur un 8<,lbc tiè» pur »eul.eeut .res
,íre.ble,nont les feuilles e. le» üge, du jonc; le a - i , compose
.le l.ra.,cl.ri et do feuilles du ,.almier e. du r..gime de son /rtil.,
p^^l-i.™ le plus élégan. .le .ous le» el;api.eau, connus^ e.,
" s l i r ici le même In.írít qu'en %r l c . il fe-^i. encore Li
Toraiiou .a plus fastueuse d'une salle de Ce i le n- 3 es.
eon.1«« de plusieurs caliee» de la Heur du lo.us srou,rf» areo
fludles di ee..e plante, le u» 4 . faisceau de .oulT,, de .
Ktlraier», lorsqu'au pr.u.emps les branches et U-s feuille» ne
SnTi^is^nco^déploiies. " "" ' ""
bou.on de neur ; le n» 5 r»t composé ingeni.usemen. du culot
.1, la plante du lo.us, de »a i.ge , et de sa Reur alternati-rmeDi
<p»nouie et en bouton ;-n»9, le» pampre» de v.gne mêles i
dos palmiers, etc., etc. Ce..e «ariéui de cliapileaus si rieUement
coiiiposi.i peut taire ermre au» pompeuse» descriptions
qui nou» on. Cle .ransntisos de eeu. du .emple de Sa omon
données dans l'éerilure comme des cbapueiu* conntliiens í
feuille» de paluiiers.
P L A S C H E l-X.
Ce..,- estampo es. une conlinu-aliou de la planche précédente.
Il est fade de ..uiarquer dans le n" 3 l'origine de 1. volute
ionique, les eaulicoles du ebapiOTu eorintüiea, et le» joutle» de
renublemeu. dorique i u* 4.5 et 6, que je crois pouvoir assurer
é.re les plus anciens cliapileaux
PiDiage de la' .oulTe du palmier avant d'être développa, ma,s e».
en cl; le ehapi.eau .lor.que alongé; le fû., 5, est un fiusceau
eordé de la tije tria.i-ulaire du ,«p)rns, au.re plante du ^.l;
le u»8 , la tète d'ioe, .«ce .ou» ses ...ribuU couronnai.t les
colouue» du .emple dcTintyra, dédié i cette d ^ e ; dans le n 7 ,
tous les attribut» de ce.w divini.é ajou.es à 1 einbleme du débordement;
le n° 0 « . tiré d'un .emj.le qui parolt avoir été déd.e
» Typhon, dont on voit la figure sur un de, qui n'es, qu'un
nroionaemont de la colonne; ce membre d'arehitee.ure que je
ñ'ai vu que dans la colonne égrp.ienno, .lésaje le ehapi.eau,
l'e.ni.èche dr |>.-iTOl.re écrasé par l'architrave, e. produi. un si
bon elTe. lorsque l'on est près de la coloDce, que je suis étonné
qu'ilirai.jam>isé.éimi.é;len»iocs. une cspcee de terme ne
portant rien; fen ai trouvé six eomme oelui-U placé»par .rois au.
deux cités de la porf .l'un des tombeaui des rois àlhebcs; |ii
trouvé le .a dans une des galeries du grand temple de KarnaJ.
a Figures .le prêtres ou de divinités, employttes comme
ornement d^s divei^ édifie«, e. particulièrement à celui qu'il
es. convenu d'appeler le Meinnoniunt S TlieW : le» e^-'""-«
n'en srtoientH^lles pas • . . -
" 5 = ' , , . &,louneslenninée»par.ineti.edeb«uf;ils'cnlrouve
de ce genre . la porte d'un des tombeau, des rois i Thebes.
S- í. Dne des pyramides dépouillée de sa couverte, e.
troiiquéc comme le Chéops.
K» 3. Un pe.it temidc 11
enfermé» les oiseaux sacrés.
7. \jn obélisque.
K» 0 Deux figure» colossales, dont il est convenu d appeler
une, la « « « áe Afem~n ,• sur le premier plan , une »tatue
enfouie • e'e»l une des deux figure» ¡Jaeíe» la i>orie du village
d. Luxor; le pied qui es. a.ipri» est celui de la sui.ue qui e».
devant le Memnonium, e. qui .voit 75 pieds de proportion;
L A N C H E LXl.
Réunion de frajmen»
rapprociiemen. me. .0
imitation ?( vojcï pl. XLV,
onolite, sanetuaire oh Voi
a tèled'oiseauqui est devant. t le couvercle d'un vase eanopite.
.. .. Plan du temple d'Apollinopolis magna.
Delix grsnd» miles de forraes pyramidales, reun,s i>ar uno
-r.n.de .»rle A, dont le» hatun.s veuoient poser sur les dorniants
du umbour B1 los ba..ants de cos por.os avoient euviron
HS i 50 picls d'eldvalion,elrouloienlsur desgon.ls don. on ne
. plus que l'enlaillo dani Ijqn •lie ils ítoieat fixes ; en-dehurs
il est testé deux pierres saillan.e»,
que venoient appuyer deux statues
le genre de cilles que l'on vm. à la porto du Muséum l^ementinum
• S eité sont deux niches LI., longue» et étToî.es, devant
lesquelles étoien. sans doute des obélisques, tels que j en at ru
deux dans la même si.uation » cSte de la porte du mile du
princinal temple de Phiioé.
La distribution IntcTieurc de ces deux m6le» les pam.
geoit ég,tlement en trois parties; II, le Umbour d'un escalier
tournant, de foulee» douces, qui amene à des paliers qu.
,lo.ment d espace en espace dans deux tris.rs chambres, Il et K ,
dont d est bien diifioilo d'imaginer l'usage, sinon pour cclairer
et aérer l'escalier, all.^or h masse de l'édifice, et empSeher
nue.commeàThebcs, il ne s'écrasSl de son propre IWI.U: ce»
e»:diei, aboutissent à deu, plate-forme», qui pouvoieut servir
d'observaUMrcs ou de véde.tes militaires pour éclairer .out le
pap. U coure es. Întouric de trois c4.é. d'un, galerie faisan,
terrtiss. K . portée par des eolonn« d'un diametre et d'uiie élc-
„.icn moindres que ceiles du |H)r.ique D, et qui semblen. en
rebausser la majes.é ; ce..e belle cour e». encombrée de méebants
pe.i,.l.abi.acle», qu, écroulcn. e. se rebStissen. depuis bien de.
siècles, Clhaussen. le»ol. ont déjà enfoui les belle» colonne» du portique
jusqu'au deux.ieis de leur liau.eur, et ferment .•.ctnellement
iuMu'à lasimaisela porte qui en.roi. dans le» différentes p.ece»
1 de la nef du temple ; cette partie de l'édifie« sert
1 partie . leur maison
momenuci de magasins i ceux qui
»ur le comble; nvalblion forme un couloir Ü,
qui armine 4 deux fausses por.es ; moins élevé et
U.U. aus^ couvert de sailpture» que le reste de l édiflce, semble
êlr..->ur sa décoration extérieure ii.i magnifique souba»emen.
fvovca planche XLVI, n° i.)i ce mur d'encein.c est termine par
une coroiclie, et «uvert d'hiéroglyphes en-dcdai.s comme eadehor
»! enCi. ce monument, qui a plus de 5oo pie.ls de longueur,
construit avec un g .« qui a Vt^ali.éet presque la linosse
du marbre, est couver. d'l..éro(!l)Thes, sculptés d une maniere »,
ferme e. « précieuse, que le .ravail a plut6. l'air d'être coule
en bronae et ciselé que d é.re sculp.é.
C 2cix )
P L A N C H E LXTI.
» d'un c i revêtu, près Etiu t esciliei
desccndoient au îiil; uulles autres ruines u'accompagncu. ce
fragmeoi, qui indique ce|>eudaut l'aniique voisinage d une ville,
puisque 1rs escaliers annonceut que et- quai avoiteiicorc un autre
usage .lue celui de retenir le» eaux 1 lelleuvcadecbaussé la culée
cc..e cons.ruc.iou, cl passe ac.nellement derrière. Ce fragment
in.cr(.ssan. en I ui-Diême, mais offrait, des formes jk-u pit lores.pies,
j'ai cru devoir y ajouter un groui>e de jeune» |>eraonajje! appelés
Gouilion ¿•au-JcIà, ou Barabra, qui es. le uoin générique
de ton» les peuple» de l'Égjpte qui sont d'au-deli des cataracte»;
leur cos.ume, pour les lio.nmes, es. la nudité absolue, à quoi
il» ajoulcnt un morceau de drap ou de toile de co.ou qu'ils
promenenc h voloii.é sur ce qu'ils veulent couvrir de leur ¡,crsouile;
leurs cheveux, asscs longs, quoique crépus,sont encore
friws c. boudes eu long à la manière des ane.enues ligiiro»
egjp.ieiines ! ils oignent leur elievelure avec de l'huile Je ce.<tre,
don. il» aiment l'oileur,e. qui pri\ieiii en même U!m|>sl'inconvcnient
de la vermine, qui sans cela »'éuibliroi. d'une nijniere iudes.
ruc.ible dans dos cheveux imiiossible» i peigner. U» femmes
clIeseiiCmwpor.eDldeuxbouelesàeliaquo oreille, l'une au-dessus,
l'autre au-dessous, des colliers avec des [rangea formé« de petites
lanieres de cuir, .erminées l>ar dra grains de verre colorés ; une
cejn.uredemémeé.oife, terminée de même, et qui leur arrive
jusqu'à la moitié des cuisses, suffi, pour tranquilliser leur pudeur,
jusqu'au momon.où elle.» de. ieiltioii. ijubjlos. I.es femmes
»ont bien faite», ont les iiiuseles ron.ls e. fermes, on.
la peau fine, le contact frais, e. par cela out un mérite particulier
très apprécié par des liommes dont l'amour est palpable, CI k
volupté toute ma.érielle, qui calculent et évaluent les qualitis
physiques, et aehctentdau» le» reinnios d'au-delà desjouiss.mces
nos vétemenu; les Russes làtissent leur» maisons pour l'hiver,
1rs Italiens pour l'été, las Orieiilaux, comme le» Kamcbadals.
croient avoir besoin d'une ballla.iou d'hiver et d'une babiu.ion
pour le »mps des grandes chalcuis.
N« a. Vue vue de hi derniere de» pyramide», à Céll. .ren.e
lieiirs de celle» de Gizeli, pré» d'un village bjti .lans le déser.,
au.deli d'E.fui cette pyraini.lc, infiniment plu» |>e.i.e que les
•lu.ies, oons.rui.c de masses plus diviser», u'a pas oj)posé la
même résistauce au .emps, ou bien appat.ien. à uue é|,oqnc
aii.érieure; écroulée dans tou.e. ses parties, elle no |)aroil plus
qu'un .as de moellons, que l'on voit cependau. qui ou. été façonnés
Cl pose» »ur de» ai»ises reguberes. Pour donner quehîue
inténit à cetu vue si seclie par elle-même, j'y ai ajou.é l'babitation,
prise aussi d'après nature, d'une familb d'Arabes cultivateurs
sur le bord du (léser.-, j'ai voulu donner l'image de ce..c
tmcquillilé moao.one qui u'est dis.rai.e par le choc d'aucune
nouveau.é, de ce calme qui laisse uii long-lemj,s enire chaque
évènemen. de la vie; de cel.e .ranquillité où .oui se suceesie'
pai»i)>lemeut dans l'-ime, où ),eu.à-|)eu une vino.ion de-vient
un sen.imeol, où une liabi.udc devient un principe, où enQII
la plus h-gere impression est analysée; de .elh; sorte qu'en eoiiversan.
aveccetteesi»ece d'hommes, on est tout étounéde trouver
en lui le» distinctious les plus déLcates, et le sentiment le plus
ûu à c4.é de l'ignorance la [Jus absolue.
- Quelques pans de murailles de terre, auxquels ilsajouteul une
couverture de paille, suffisen. pour leur liabi.alion. La fabrique
soleil; elL eit divisée enpetile» cisci dans l'ijitérieurpour ebaque
fauiiUe de pigeou; Il porte e». ronde; c'e»t ce qu'on voit audessou
» du colonibicr; il j a au milieu unei>e.iieouver.urepour
laisser laisser l'air; on l'applique ebaque nu i. pou r iiiCre la colonie
en »ÙKté contra les clijkals. A droite es. le poulailler, moins
élevé, plus petit, (ttireequ'il n'a [».int .le division intérieure;
à gauche l'op|>ar.einenc principal, celui des femmes, cl où l'on
se ictire lorsqu'on craint une nuit froide; au-dessus sont des
eliiens, qui i.e sont de rien .lans la société amiealc , et qui
vivent.. I>ar. comme allies défensifs, une g.-ueilc, uu <nilan, qui
sont aussi de*, associés libres; les iwulc.sel les pigeons sont le»
âeul» domestique»; le» barelaks, qui son. les pois 4 boire, les
laaiiasses ou jarres 4 éclaircir l'eau, et quelque» écuelles, sou.
!i-pcu-pri-a tous les us.eniiles du ménage ; la planw que l'on voi t e»l
une coloquiu.e, qui croit dans le désert, germe e. »e développe
jH-nilaii. la »aison des iiuiU fralclies qui sueccdent i l'inondation,
e. lorsque quel(|ucâ jiluies daus les niontrgoe» ameuent un peu
d'eau liiiii s la plaine ; CC..C pla n te »'étend ) les melons qu'elle produit
se fo.uien.; une partie des feuilles est mangée |iar le» glrelles, le
rcs.c est dévoré par bsecbcresie; défendus i>ar leur aiuerlumc,
le»fruiu res.cn. isolés jusqu'il l'année d'ensuite, que b graine ensemence
et perpétue celle végétation, la plus marquante du jiéliE
nombre de celles qui croissent dan» le désert; un des bommescst
occupé i tricoter un turban de la laine de ses inoulons ; l'aulre
jouit par cela seul qu'il ne liil rien; calme, il révc, il vi.i
P L A N C H E LXIII.
N» r. Vue .le C o n . r a - » < l c u x milles d'Eleplian.inee.
de ••yene, sur la rive-gaucIlL-du Nil. A nii-ci.c de la mon.agne,
à droite de i'esiaiu|ie, est un couvent cophte, au-dessus une
guérite il placer une védette, il'oii on découvre tout le pays;
dan» h.-troisième plan, à gauche .lu Kil, une foret de ¡lalmiers
par laquelle ou aitive i .Sycne; e. .ou. au fond la ruine d'un
château ambei, cuninie il y en a beaucoup sur .ou.e ce..e fronûere
de VEgyp.e; sur le devant à droite une touffe de palmiers,
le» uiis portant de» fiuits, le» autres <laus leur preinu^re croissauce;
au milieu un |)alraier-douQi, avec se» braiicbe» bifuurcltues,
e. se» feuille» secTies qui penden. sous le» nouvelles.
s. L'n des .omjilos d'iilcpliantiiie vu de l'est k l'ouest,
avec las habitation» tnodernes telles qu'elles cxis.eni, et qui eon-
Irastcnt si pi t tore sqiienien 1 avec le» mon umen ts, qu on ne lou rroit
les grouper avec plus .le goût.
K* 3. Vue de Pbibé de l'ouest I. l'est au soleil levant ; cette
isle est si pittoresque, que j'ai cberciié 4 la présenti.r sous Mus
SCS aspects et S tou» le» instants tlu jour (voyei le» autres numéros
où il en est question, i,h-inclu» LXXI et LXXJ! ).
P L A N C H ' E LXIV.
I. L'enirce duTiil dans l'Egypte ; cette vue es. une cs;>ece
de car.e qui presenie tout ii la foi» l'aspcc. d'un site ex.raordinaire,
dans le-quel on voit la situa.ion de uoiubre de points
banc de granit, dont il déchausse h-s rOches, et dont sou cours
est déchu-é ; diverse» oppositions rendent ce paysage aussi varie
qu'é.range; les deux chaînes lljay.iuc et arabique, nues , jaune»,
brùlcee, et sablonneuses, contrasten. merveilleusement avec le»
aiguilles noire» et aiguë» de» rûelies de grtinil ; ces rocLers,
baigné» parle courant du fienve, formani des isles que le» allugraiids
arbres v. île cliamiu de verdure, .1 .ravers desquels
on apper^i. des tuines de .eus les .emj,s. Ce que l'on voit
i drai.e de l'estam|H., sur le premier plan, es. ce qui reste d'un
nionastere de» premiers »iecles .le la catlioliei.é; au-dessus
e»t la védette dite des quatre ven.», d'où j'ai fiit cetu: vue.
Ces. au bas th: ce |itennerpUn qu'ctoi. l'antique Ointra-Sycne,
à présent Garhi-.\ssuan ou Cssueu-oeeidcntale; la grande isle,
au milieu du Nil es. rEléplianaue,aujourd'huiCeaircl4l«ag, l'isie
rleuric; au milieu le vilUgc inodcrne; la panie supérieure de
l'isie couverte des ruine» de» monumenis égyptiens ; sur la rive
droite du Nil un monument romain qui arrive jusque dans le
fleuve, et arésisté 4 son courant; c'étoient des .lierines,ot nous
en avions fait une batterie ; sur le» receler», au-de»»us de ce
ino.iumen., sou. le» ruiues de la ville aitibe du .ouips .les kalifs;
dan» le loin.ain des châteaux sur des poiii.es de rochers; sur
la plus grande platc-forine le fort que nous avons construit;
dans la , : et à I 1 de» ..beaux, l'un les
reste» de la roule antique qui passoit .le Syene au-deli de» calai
actes, et servoitde communicalion pour te transport de» marcliandiiosde
l'Egy|ile eu Ethiopie; au-devaulde tout cela Assuan
ou la Sjene moderne, ses jardins, et »on mauvais château
Ture.
a. La vue pittoresque e. perspective du pays, dont le