'•il
( xx'^iij )
e,, eolui ; on en voi. encore le .or« e. les eui^e. ; il j- » ...r 1.
-XXVII, hr^. ..ne irionp.ioi. hlÎK-sb ('°>'«P' '"X*"' ' " ' ''
„ : , ; 1« e., e'é.oi, là 1> =.3tne Memne,., pui^Velle
<o,<io>.™ Hct mftnc .I.CU,.
et de U «gincrMio,. r.XXV I,
„••lol, rtiv.uili ioni on icoiivi l'image rfpfti^ 'l'"» i»"'"
.lu lomnlt- o.fc IM mimcj nltrilniis loujoilis au», pro-
L k » : le l.l>fond Cl peint 01. bl»u ^
porto Jt ce 1 «t précéda- d'une auuc porte doul 1«
irouve dev,nd'edif.M c[u'!léro<lo.ee. Sll^bon on. .rdiq..» çon.n.e
¿„M le Memnoniun,, pulque l'on = une grrnKe volon.e à
S.ipjiojc i.n projol dt <lic®umr ..n myslerc
formé» d. trois .Igcs de iotu^ .«mine« ,.»r
leur, lleurs, e.- <p.e l'on . pris pour de, colonnes aceouplcc-.
leura ch^pif^^us. De H,.que c4.e .
.p|<.«eF.en
„s,no.n=ir<. !l,»dei»;li.s
I.L, el .lorrie.x> «,nt d'.ulre. pieceiMM, dr.»i.t lesquelles
son. des porliqu.» eo colouues SM, qni don.tent 5..r ,.„e
iLense eourO, W é e de g-.leries VP,et .ermiuee p.r une
lu.ru nui Kl ouverte Q, wrie.- pdr des eolonn.-^ e. Hes p.bstrM
.vee cl.n.i-"« e. «..s Cl..l.i.e3". ( «.ïe^ pUnel.e LX, n» et
.ilinel.e LX"il. n° : 1 ) ; la eorniel.e, .rfs s.-iillaiile de ee..» jaleric,
L™e.,.,ees,^ d'auvent, une ,utre,mlmes,pnr.llele hisse nn
espace ouvert eu.re e.lle Q une sni.. de eell.ile. R -, »"lonr de
ton. eeU es. .m rour de ci^^onv«IU.ion eouver.d'l..eroslypl.es ende,
Uns e. .n.del.ors ; p.r-deU e. en dro,.e ligne est k por.e de
l'es. S. cnc-orc ir^s conservé.! toutes le» lijne, «rel.iteeluriles e..
«,nt «ritc^e»; n.nis k, orue.nenis e. le. I.iiroglyphes n y son.
sc,dp.is qu'i s, p,«.e »nperieure , ee qui fci. voir t. m.rehe. e
ces 113 i»r.e du nord U, é.oit sans dou.e pricMée ,1e
spliinxs dont on ne voit plus que te suhs.ruclions de, <t>elw
qni le, i»noieu. ; le eUemin qui y =n-euoit i.oU p»ve en l.rjes
pierres; i l»
, g.lrr,e eouve.le eu
grand .empie on .ro.iv. Je» rui.
. de» eoloniies .pu f.n--
n porHqnej.u sud-esl dn
, eparsc», des e.pi>es, des
i brisées ou renversé.-s , des »rrachements de murs snnonçintdescons.
ruc.ions de j.ius i>etiies proi^rtion» : ilo..-ef
Il lurtiede» i.abitn.ions des roi», de. grands, de. pri.re»? En
ee,en.nt i loue»., on .rouve de gtauds n.ôi« ébouKs, entre
;:,uels «n. des por,es ruine.»; en.U.l.ns e. en,le„ors. H y .
encore .les .orses de liiçi.res colossiles en marljre blune e. en
grès rouge; de» galeries .U'.ruilei tom.o,enl une eour .erminie
par d'autre» n.61e. deeor.is .le mf n>e ; la por.e qu. un,s»û,< eous-ei
es. .o.ubee; 1« cl.aral>ra.iles qui son. r,-,.es en plaee son. en
gn.ni. couver. d'l,iérogl>pLes d'u..e e«eu..ou e«<raord,na.re
pour la CrtineUise de k .aille et le G... préeieu. d.-s Ggurei. 1 «
L,-l,.iens « o i e . sans Jou.r que^ue lren>iK- p.niei.l.ere po..e
les ou,«» avec lesq..el» ils Ir^vailloieu. le gr.ui.- Une autre cour
Z, amenoi. » uu saneluairo; ee..e par.ie est telle,„en. detrut.e
nne le plan en est eflicé : l'extérieur de ee rao,n„nen. eli>,t
p r , ^ é .l'une de ce» ee^iebres allée» de .pl.it.« ; eeui-ci éio.ent
1 „>te ,î= taureau , il. .rrivoien. S .... en.branel.en,en. dune
a.,tre allée, b; de «pllinxs i télc bumaine; ee..e seconde allée
. ew,l>er h granile s
U ren>ers«ri
eélebre.ou détruire un objet de c lK, e. paeeeqt.ei.e est «.-uie
»u l.ru J u de.,« iplancbe XLIV), <). l'une desquelles on seM
oU.iné 4 fain^ la s ' « " ' '1' M™"»" ^ "" second môle
qui atecun an.re au.si dé.nlit, for,noil une seeonde en.rée i.
.„,e'coi,r bordée d'une g-alerie de colonnes el de pilastres, deeanl
lesquel. e.oien. de» r.g,.re» de prftre.ou divinités, lesdent ,«inii
earl.» ,n.rqnen. la plaee de dru« s.atue. en gran,t noir d'un
.ravail rccbercl.é ; elles sou. re.,»ersées e. brisée», le» déia,ls np.
por.és auroien.pudonuer une idéede laperfeclion de i. senlp.u,^
^ . i e m . e , la lettre E é.oi. ».-.ns donu; un port.q.,
du .en.ple de Ksn,ok ; l,i par.ies
desl.-uclion í ne pouvoir <1
" ''r,n„,uln,.n en,ou., de ,on, ee quM ain-e-, assis à
l'ombre, «veo sa p,pe, ->n café, son ebat, se oisen.,«. .1 e..
,our„,eu.<, e. ¡.mais i.npor.uué par se. pe,i.» enfan,, qu
de jouissances si douces,
-celui
. son. dans un ê.a, de
<lonner aucune .dée de ce que pouvoien.
PTloi. '.re bon el
;e. il le scroi.sa,.s l'orgueil
Cl, Inil'.n.irét.quigMen.l
aparei.e, qu
siennes qualités.
eufan.ent
P L A N C H E XC1V.
L'swnsiles .^púcns de .roU ordreí , les premiers sont
u,le,.»les de terre grossiere ¡»ur re,iu; 1« seco,ld., ceux de
fer ba..u e. ét.mé ¡Hiur la c.isine et ¡«ur porter en voyage;
le. .roisien.«, les bijoux et meubles de l..xe: les pr.-n,iere. q.te
l'oo noa.n.e en geneial bardad., «rven, 4 oonte-uir leau, el
».c-c lesqurU on boi. 1 lucrae; iU son. tous fabriqué dans la
l.autc Egypt., entre Diudera, Keüo, et Tbobes , el plus par.iculiíre...
e.i, i HalUsse, tillage qui a donné le nom on« jarres .lu
cen™ de cellc qui es. dans le niil.eu, n" í , de .en,¡,s i.nmémorial
elle es. d'un usage gcnéral ,lan» ,oute l'ii|yp,e poue elorifier
e. rateiobir l'eau du Kil. Tai TU le. mé>nes va»es, dans
le. tinture» anliques.cuplovésuj mOn.e. usa|e»(TOyeaplaíicLe
CSXXVI); la mont-agne oú se preud la .no.i.re premien
de ce» vase. es. de rocl.e argillcse i
qui »c pftn. en n,é,l.« temp» q.' '
partie» g
posées pour l'usage desire; i
50 ilurell d'al>o.iJ i l'ombre
, l'inonde; ses
• reço
venue, d , qui, depuis le letuple .le
eenol. abou.ir i la i»r.c ,lu »ud , d ;
ecux-ci eloicn. i té.e .le Wl.et, tena,,. entre U» pattes de Je.au.
de pelits sanctuaires où son. drs llgur-s .Ils,»; les corps Itouque.
Je ces spl.,.,x», s.,r leurs p,édcs.ait. enfouis. ,uél« i .lespal-
.niers, offrent encore nn aspec. auguste e, „«¡«saut ; voyez la
porte, d, pl.lucbe XLIII, n» 3. qui e.t en ligne directe des deux
„4!es;respacequi«.en,r«laporlcetce.m6Ieséloi,encoresamide
s.,l,ii.xs ; il n'en re».e que quelque» uns. ee. deux môles précèdent
un portique ouvert de ving.-bui. colonnes, qui iurmoi. une cour
iu.erleg.-e d'un style pins grave encore que tout ce que nousasoii»
décrit, un per.»lylo elun s..nc.uairc plus n.y.lericux que tout ce
que nous avons rcueon.ré.uneeneeintedau»une enceinte; .ou.
J eôtél-, un .autretcnple; n.n.n,, une ence.n.e générale, don.
b ruine forme une p.-.itecl.ai.u; de montagnes enfermai., .leux
lacs XX, et d'autres mines sans fnrn.es. O.. es. fa.igue de décria,
on es. fa.iguè de lire, on est épouvanté ,1e la pensée
d'une telle conception! ou ue peut croire. ,nfme apré. l'avoir
vu. I. la .éaliti de l'existence .le tan. de cons.rurtions réunies
sur ,.n même point, à lenr dimension, A b con.tanee obs.inée
qu'a exigée leur fabrication, aux dépenses incalculables de uni. de
somptuosité.
3. Plan du monastereWanr; voyelle lournal, page .»o,
N" 5. PlanduMcrononiun.,q.lieWitunlen.pleo..unpaIais!
lel.rcA. un môle,do..t un pare.l Jé.rui. formo.t la premiere
entrée de l'ckliBce; H, b s.atue la plus colossale de l'Egjpteivoyra
,defeudep-.ille,et se vend i
la .nanufacture à si bo„ con.p.e que le. l.abllanls de. euv.rons
ont meilleur marché de., faire Je. ma.sons el des n.u.-a.L.s
d'enclos, que d'employer le piaet et la briq..c.
I j .lalure spong.euse .le cet.e terro fait traussuder l'eau, ee
qui lui donne un .nouvem.nt .[ul a..lte la partie fang.-u»e aux
parois du vase , e. la i.arlle extérieure se trouvant toujours
.„ouillée de Utranssudation, pour peu que l'air frapl.e sur le
vase, l'ra.t en dcvieut presque aussi fraîche que par l'usage de la
glace, don. M e». absolument privé par rabsence des l.aulcs
inoalarnesetla do..eeurdesl,.ver5; à rélran|lemei.l .lesbarfaclt!
qui seceut pour boire il y a de petites grille, de même ma,le«
qui empécbcn. d'arriver l'eau avec .rop d'al«ndance ; on le. ,»rfumc
souvent de fu.n.gatlon de benjoin, ou J'aulresaroraale., ou
d'eau Je fleur d oouge, i»ur varier la saveur in»ip.de .le l eau,
qui .lu reste, en sortant do c.-s vases, est la moilleuri-qui cx.s.e
«u ...onde; dan, ...e» voyage. a..x environs ,1e Kéné, ,a. «0
nlus.e.,rs fois i Ballasse, j'en ai vu les manufac.res et les char-
L„en,s im.nei.se. qui s'en ton. sur de. bateaux, ou s,.r Je.
.ralns C0n,p05és des ¡.ou inil|„e., oomn.e nos .ra.,is de 1».«,
qui appor.ent leur .nareband 4 l'cndro,. pour lequel le eltargemcn.
est destiné.
U forme des bardacbs et de» ballades est d'un a«et bon
style; ayant constamment été d'un usage générsl e. absolu,
ces ustensiles se sont conservés d un gallw ¡u.r: j'ai f";' 'y«'
marque que tout c. qui e»l d'usage de prem.p- - '
a ruine, plane. l,ii°5,etpl.XLV :;eUea ;Sp.cdsde les pays . existe de boune. forme, i «rla.nes époque.
S
riiïl
véo par .uccession d'itnilat.o
d'usage.
Les ustensles eu fer sont d'uu tout autre genre; .Is ont le.
for.nes iudienn.» : 00 q..e l'on voit ici est ce qui comiKie le néecMair.
du militaire, du.voyageur, c. qui, répété, formo la
vaisMlle plite des gens ordn.aires; le n° 8 est l'ass.eue, le
p°g'le plat, le n° lo la'gamelle i làire bouillir b vbnde i>oue
(air. 1. bouillon ; le «auvetclc, en se .«lournaut, devient, n° t3,
uu plat creux 4 drosser b vbodo : j'ai vu pare.llc for.iic en torre
parn.i les jattes dius étrusques; le n° . i est b bouilloire, qui se»
Ò tout J.i.u touws I.s oceasio.is oit l'eau cLaude est employée',
pourlerii, le bouillon, le café, etc.; lo n° i a a aussi nombre
il'usages ; on j preparo tous les breuv.ages frais et sgcrcs, tous
tasse à boire u>..i ce
. platea., pour présenter avec
...age auquel on veut
ll,a,,iucr du respect; ce plateau .st d'argent ou il'or. el mi,na
quelquefois garni de pierrerie. ; on ne ¡e sert pl. de soucou|»:
en Orioni, mai., «fin quo U .asse nebii',lcpa5 la main, on mei
celle do i>orcclaine, dans laquelle es. lo café ¡dans la liguro n°i7,
qui est d'arge,.. o., d'or, la Dgure n° |6 est ..n aspersoir, avec
lequel on jclle de l'eau Je rose sur ceux qu'on veut bien traiter,
apri-s lo repas, ou i. la fin d'une visitó, loraju'on paroìt vouloir
prendre ou do....cr congé; U l3 es. l'aigulere et sa jatte pour
bver les mains et la figi,ro, avant, perubul, e. après le relias,
el e,. génér.ll .Du.es l,s fois qu'o,. a loucbé quclq.,e cl.ose : it la
jatU! il y a uu ,louble fon,l percé do trous, a .raves les,iueis (lassc
l'eau, et qui emjiêci.e que celle qui lu, .uecede|>ui»sel'aiix*ix Jaillir
)a premiere, et dérobe l'asp.ot de l'eau salie qui a Uve; le n^ 19
est un profumatoire sue son plateau, il s'ouvre par le milieu,
et l'on y fait brûler .ur de. ebarbon» des parfun.s «le bcM d'alo«,
dç benjoin, ou pastille, composées; le» gra..<ls jirofu.naloirc»,
de a it } pieds dr l.aulci.r, sont conslarauienl au .uilieu .le la
elian.bre; le» petit»».-portenti la ro..de, et chacun avec b inai.t
eu attire la fumée sur sa barbe ou sur ses bab.ts, li: superflu,
dont nous ne no..s so.nmes pas ccore avisés, couvic.l aux
..alio..s qui cbercbent iks jouissance. Mn. agitations, qui écoutent
¡losémenl leurs sensations, n'aiment poiul 4 parler, ettrouvonl
Jaiu ces sortes ,1'usages un hommage de plus 1 présenter 4
celui qu'il, veulent fêler e. distinguer . c. sont les esclaves qui
agirent; uu signe de la main sufCt pour
de sorte que dans u,« visite d'intérêt ou de irspsel, les conûlures,
le sorbet, le café, la jiii»! permanente, l'eau de rose et
le. parfums, rempliswn. à-peu-jires le .r;„|i5 ; ajou.C! i cela quel-
<|ues adages, tels que, Vous vous i>ortó£ bien. Dieu est grand,
. très grand, et autres pro|»s qui ne les compromettent jm da.
vantaggi on se sépare sans grand desir de se revoir, eliacuu
trouve ebea soi le bcubeur ineffable d'être à son aise, de ne rien
faire, dose reposer. Cette mollesse, .1 douee en apparence, est
eepcndantb source de tous les vices dont le oaracleredes orientaux
est flétri; e'rsl |K>ur arriv.-r à ce but cliéri qu'il, soni cupide.,
égoisles, avares, cruels, Ijraus, alroces eilûu.
P L A N C H E XCV.
K= u . Un bouclier de cuir de rhinocéros
sabre; celui-ci esl d'un Iravailexquis : ou doil croire
arme vieni de l'Inde au vernis qui couvre le cuir et i
des ornementa ; le petit cou»inet de la ixirlic du revej
garde la main du contre-coup frappe sur le dessus.
a défensive, qui u
bras»ar<l avec son ganlclcl. Les Jlan.eloucks n'e,i pon
bras gauche, dont ils .ienneni la bri.le du cheval; la
combat n'a qu'ui. ganKie bu Ole dans la fo,
la fourbissureesl de l'ancien Damas; les omcmctlse,. reliefs.
,nodernes, en argeal el d'un travail luédlocro; le gaulekt 1
'l'une double maille goupillée d'un travail ...i.iutieux cl inCni,
tout est inalelassé d'u,.e do.lblure en salin rouge.
Le ,1" a J est u,i carquois, coutenail, trois javelots, qu
n.eloncks ont conlumc de bncer avant d'en venir au s
son, tri-sadroilsJce.tosortc d'exercice,et leurs domestlt
ont so,n de le raraaMer
ilio ar,Do a la politic en f
ats cnargcitd'un Iravail ,n.
battu, l'ha.t en bois, et les 01
derne, d'uu aSMi bon goût
, et fait au Caire;
quols esl eu velours.
U n» a4 , un j'avelol bora du carquois.
Le 4 « l une mcMe ou bJlon Je eo„m..tn,icmeot, en fer dan.
asqui,iéenlamo, d'un boo goût el d'un Iravail précieux; ccilo
marque de dignité pcit devenir une armo dan.b inéléc, et peut
servir à briser les bouclier.,
de fer de deux pi.«rs n° 6; la parlic
infériourcervan. de gaine à la partie supérieure, le .oulda,uas.
quiné en argent, et d'un travail rccherclic,
Lo u° a esl une Itache de fer da,nas(|u.nÉe en or, avec inscriptlou
[lerac qui indique le pays où elle a élo Invoillée ; lo
.nanel,e, en argent et en cuir, e.t de ,nanufjclure du Caire,
La lelire I! tsl une cafeliero da.ts un récbaud portatif, pour
remettre du eafé bouilbnl dai.s 1rs lasses où l'on en a ,lejapris;
ces d,rux us.ensllc» en argcu., ,na..ufac.urés au Caire, sont du
e que ceux de b |il.mchc XCIV.
X» II. Unaroen baleined'uutrav.iilj.arfai.; augenred'orneme...,
el 4 sa dorure on do,
de l'In.ic; » corde es. un faisceau de fil des
a ¡,lus Je force que le boyau le [ilus gros et l
Les n" et li eo,>i Jeux ustensiles qu, dependenl do l'arme
n» i t ; l'uneslu,.e.^nuredauslaquelle s'introduit b Ûeebe; il
s'ailapis au poignet qui tient l'arc, pour servir de dlreclion i
L, Ueche au mon,eut de son départ.
Len» .3 esl un tnoreeau d'iTo,ro, que le tireur d'arc pas»c à
son i>ouce J.our pouvoir tirer ia eor<lu a.ec plus de force, cl
n'être im ble^e lie la vibnetiou 4 l'uistanl lie l'échai,peme,.l.
Lelire A, un prof.imatoire; c'est un ouvrage en filigrane, «l'une
forme étrange, mais dot.l chaque ornement i part est d'.in
Lcltre C, est un as^ïsuir; eo morceau d'orfèvrerie esl Irès
recherché par son travail, i|ui pjroit êire indien 1 en général les
Egypiions moilcrnes, quwqu'il. aicnl un goût 1 eux , n'ayant
que qutlques ouvriers et pol,.l de manufac.uies , admetwnl
de chaque pays tout ce qui jieul co,ive,.ir i leur usage; et l'on
a trouvé dans des dépouille» de Mameloucks des lro,ublons anglois',
des pis.olcu françois du dernier siècle, dcss3]>re.don. le.
arme., dontlc rassemblements. vo,t4bljgure,plauchcCI. n''3-
P L A N C H E XCVL
La collection do ce que
h ' l. Kigtiredepi êt.
en jiàtc verte, avec de petit» poi ni. jaunes, .emblable un fieu aux
Émaux que l'on fait à lievcrs; celle-ci trouvé« 4 l'inlyra, j'ai du
! qu'elle y avoit été fabriquée, ¡,ar la quantlle que J'en ai
ufaelurcqu, u'avoient jamais é.o [wrtées
ni achevées de réparer, et q.ii sembloicn. n,ê„,c sor.ir du
fourneau où elle, avoienté.é fon,lues,
N° a. Cnépervler, mèmepi.e,mên,c nuuuf3c.,.rc. Presque
.ou. ces morceaux son. gravés de b grandeur de l'original,
N" 3. Un lion en porcelaine.
K" /¡. Uusphin»,manufac.urrdcTi,ityra.
ii® 5. Un ovnocéphale en porcelaine,
a» 0. WledeTtntjra.
S" 7. Unerapeaucn,orre,noir.
8. 1;,. hip|>opota,nc e,i porcelaine verte.
N« g. Le dieu Loupe
Sn pierre J„reja.pc'e, couleur
Un Typhon en pite.
Uneynocépb