( xliv )
rtioi. dAn, lour, mil..» qu'llí remcoloo.; iU ordorroieût
,lc lo l«lx et <1.- U giurro; citoii .lu icmplr que panoli le
pour 111,0 cxpidalon ! c'cloll <l>i.s lo (cmplequ'll
rrophícs.
noli Ics
P L A N C H E CXXXrV.
K» 1. Tr,oirpho(I'unroi<vegyplc,de.<!í»o.MrÍ5,.ro»iri:.r.rin<i,
deJteranoii, d'un des roU e-inquirjuis .jui oiil ríf[T.Ó )i Tli.bcsi
o,. |«..relk-f historique Oit ículplí sur Ir mur Iniónour d une do»
g>loriM d'une oour du temple, ou du p>bis de U psnlc sud^iue«
de ThebM, près lo lM>urgde Médlnel-j-«ou ¡vojei lepl>it, u» .i ,
plílirhe XLVI.leltteZ;.
K" j. Cu bjs-relief commenre à la lettre V; le* trois premieres
fisu.-es de h ligne supérieure soul -loé soMau por<»ul
Ifurs Ittncps't leurs boiieliers; d.i préIres, nvec des liahils longs,
eules pjunelies, nutchenl devint eu», lennnt ds longues palmes;
dru, aulres tieiinenl dos u-vblettes. el des bítons S Qoursde
lolusi deus autres semUeiil faire de» pcoolanullou».
3. Quatre porsonrag" potleM des sradins, i>our momer
sansdotiteàlaeliaisc triompliale eteri desceuiire.
S" 1. n'iiulres prtlr.s lienneitl des ptuiries. et som eouverts
de luniques Irauspa roules.
N" S. Deux onfciils tlennenl des bàlons uvee des fleurs de
lolüs.
S° 0. Douze persounagos jwrlent siir uu brancard le Irlompl.
Jleui , Msis sur uulrôue,eou>erld'unl»iaac,uiuilo lion , le
spliiut, l'Épervler, le.'^riH^nl.soul loi emWiroesdrIa force, Hu
mj-stcro, de la viloeilè, et deb prudence, ijui ear.acicrisent le
héros; le c.iluutet et les I>.al.u« «ou. ceui<le 1. ».etoire et tie Ij
i)ii-(r ,le|ilusp«ilsei>fanu que les premiers marchent i cAií du
siege, porl.aul lesarii.r. du licios; le triontpliateur est depredes
allribuudclasran''''''i"'>i""'«T"^«: ila u.icollier, 01 sur sou
i;-leiuerit esl uno luniquo transparente comme eelle des priires
ou des iniliés; sou nom ou sos vicloircs sont peul éiro inscrits n
c4li de sa (Igiire.
Cnptitrconl,jul,unautree..ba5luiprésenlelei.cens.
10. Dent autres en grand eosUline lisent cl pioelaraeni
ses Ticloires, et liuil .ulrestienncnldegr.aurfcspluraeii coun'rli
de tulilqucs, ils marelientdev.inl luii ils arrivenl au torople de 11
grande divinité; elle esl sous un jiorliiiuc formé de deux tiges
de loin, lermlnéespar lourdeur, sur lesquelles pose unecornicLe,
comi>osée do serpcul; 1« héros, en habil degucrre. rccou^crld'uce
tuuiquesacordotJe.pfcsenu- d'une m.aiu l'encens à lu dirinilé, et
del'aulro fail uno liUiiioii sur los ptépjratíft d'un saerifico, composé
Jo vases, d'eau, drearars etd.Tuissesdeviclimes,« dofleun
do lotus ; rusuitc la tnarelic rocommonee ; deui personnages, n° a i,
porleut uno .-speco d'auicl, sor lequel b.>iil elnq v.asos renversés;
flgure .lue )"ai souxeni trouvée i còli- de 1« grande divinité.
°\u.dcssu5,11° ao, deux autres personnages porleni une sranilo
lablolle, sur laquelle etoient peut clre éeriies les victoirts du
l.éros; eiuuilc la grandi- diviniW porté.' par vingt-quatrr personn.
isesi .tenloui^edr loulr la pompcdes ciréraonies, dopaoacLes,
do eiluniols, de tropl.éos, de Honrs; le triomphateur rairclie
lievanl, coiffé d'un autre bonnet, rt toujours aecompasue do son
génie luléLairo; il est precidé du boeuf Apis, décore de bandolones,
poitant Ir disque d'Isis eniro SCS romes-, un enfant lui píaseme
l'eocons; vingt-une figures tiennent ehacune une divinité
ou l'attribut d'une divinité, ou des oiseaux, et autres animaux
saerés; arrivés 4 nue csi>cee d'autiJ, un prêtre pároli être au mo.
mont du saeiilior .levant ce triomphateur uno jeune victime huiraine;
iinautrvlai-,soallcr un oiseau, qui semble être l'emblème
do l'amo qui se séi>are du eorps do la vielime; ce qtti altcstero.t
l'usage, que les r.rc« nous iLsont . t o P " ' " . a p r o , une
victoire leplusjouned.se.ll.lifsdel'unoudc l'autre s e«: l'inscription
qui y est jointe on est peut-être h consécraUoni le (lersonnage
qui est au-dessus, n" 36, et qui tient une tige do lotus
rompue dont la nour n'est ¡u» épanouie, est pent-itre l'emblème
de U mort prématurée do la victime.
Vieni après, n" Cio, un saerifice moins liarloro, fait par le héros
lui-même, d'un faisceau d'épis au di.'U Apis, porté sur les épaule»
.\es prêtres.
Dans une proportion plus pelile, n'.l i, lo même hitos tient uno
chainc, supporté.- par neuf li-ures, qui pourroienl bien élr
l'emblème dos nalioi.s vaincues par luit son génie prote-olcur tien
le signo de la victoire; un persounage lui présente l'encens; 1 a
maiyjug semblo inscrire ou proclan
Si je me perracis de pronon
poruants et 1
( xlv )
n'est pas par
conquèK
wuUaneo sur des objets
perdus dons 11 nuit dos temps, ee
utiou de convainere mou Icotour de mes
l'arrêter un moment l opmioiis ; mais . or lies idées qiielconques,
pour exciler sa curiosité, mime sa concnidiciion ; lo
voyageur observe, («ireequ'il n'est occupé que de ce eju'il est
venu cWb e r , de ee qu'il a p y é de tant de peines ol deswns;
le dessinateur, obligé de se tr.tiner lentement sur les objeu,
est contraint d'eu considér.T tous les détails; le curiou«, qui le
reçoit si commodément tout rédigé, gliss.' facilement sur eut,
s'il n'y 1.1 ramoné par des obscn ations mi.iulious.'s, pir des observations
mémo qui le blessent, cl lui ou font souvent oufantcr
d'autres qui anienenl des découvertes. C'est dans l'eiivio de satisfaire
les qiiralioDS do l'homme qtio tout inlércue que j'ai dessiné
tant d'objets; c'est pour aller au-devant de s.i curio«lc .|uo j'ai
encore fait^part.otdans uno proporllou plusgtauHc,n°ila,la t.He
du triompliatour, qui est sans doute portrait, puisqu'elle ost toujonrs
la mémo dans toutes se? répétitions; si c'est cello de Sésostris,
il est assez piquant d'rn ronnoitro les formes , et «le s'assurer
non seulement qu'il n'avoit rien du eirat^ore africain, mais
qu'il avoit loutr la noblesse et l'élégance des ngurosgri-cques.
ipres cette longue bande de bas-reliefs sans intorruption, et
qniappartieutpa<-consr,,uentau uirme sujet, suivent do grandes
pages d'insciiptions, qui sont sans doute l'eaplieation do cette
cérémonie, ou l'histoire du héros qui en a été l'objet.
Après crt i nsrriplioiB vif n non Ides tablea uxfractun's, qui repcésentent
des faitsd armes, des combats; à travers les dégnulations
j'ai ]iu roconnoHre le mémo liéros poursuivaul des cuncmii qui
fuient h la nage, n*4G; dans le fragment que j'ai pu dessiner j'ai
rendu compte de la maniere d'atteUr les obevaui;, d'eu attocbor
les rénrs i la ceinture pour bisser les dcu« mains libres, et les
conserver pour combatiré ; j'ai fait conuoitre la forme des clxtrs,
lours («lites proportions, Il minière d'y ilrc placé, les carquois
et b maniere d'en faire usage.
Dans le lableiu qui suit et qui lermine cotto plauebe, le Itéros,
après labaiaille, assU en arriéré de son char, dont ses ¡lages ou
archers tien neni les cbevaux, fail compter devant luile nombre des
morls par celui des mains qu'on leur » coupees ; lo persounage qui
les compte lient oucoro le coutelas sous son bms, un autre les üisorit,
uiiautre, en grand Libit, semble en proclamer lo nombre;
derrière lui soni des prisonnieiîè longues cbevelurcs, qui servent
quel.|iie(i>Í5Íi loue lier les bras; leur coiffure, leur barbe, et leur
coslume,sontabsolument étrangers à l'Esyp to i une longue suilo
de ces derniers so peH dins les ilogradalions occasionnées par les
ditfvrenls usiges que l'on a faits de ces temples 1 diveraes époque»
(voyeale journal, page aiü'.
P L A N C H E CKXXVCelle
plancLe ne contienl que des objets peints pour la plupart
dans les tombeaux desrois, à Thebes, et particulièrement dans
quatre i~'lito» chambres ( voyea le plan, n°3, planche XLII,
IrtlrcD); chacune de cespolilts cbambrgs est décorée d'objets
pirticuh'rrs; l'une étoit consacrée i b musique, l'autre aux armes,
l'autre aua uslonsilrs et raoublos, une antre à l'agriculture.
Dans celle des armes j< dessinai, d" i, un carquois, qui contonoit
d'autres armes quo le. flèches, et qui dan. les combats
s'attaeboit cn-debois .les cLars ( voy« pl. CXXXIll, n» 3, ci
rl.CXXXlV.n- ÎO).
V a . Une dos armes
et dont je n'ai pu deviner l'usage.
S" 3. Un Iwurlier ; on peut voir dans los Egures du bas-rchof
(planche CXXXIV, n° i;,bmauierodontiléloitportóil'ouvetlurc
qui est i sa l>arlie supéneui
laisser voir i celui qu'il cor
lc|ucl il ivoiUcombattre.
Cnsabre.i b poignéo duquel est un cordon:
gland on cuir.
K" Un autro sabre.
! dans le earquois ci-dessus ,
3. UnI ¡iw»Iiggtiiiaannll ddaannss Il a môme forme des poignards do
ceinture doni ou se sert généralement encore dans tout l'orieiit
(%'0yc2 pbucbeXCV, n® ta),
î f 9. Une masse d'arme, avec uncpoignee i cicLer la main.
Un fouet,
t u casquo.
lame do laquelle ost
uni, el partant plus
s poignées ¡»ur
! bacljo d'arme, dcrriore
uue masso, i>our en ronilte lo coup plu.
pénéirant.
¡«••a. tncait,ucisù floches.
«• .li. Pliant n,aiol,lssé.
S°iS. Meubleiitiroirolàcouverclo
lever l'uu cl tirer l'autre.
iG. Un ùuteuil, d'uiu, si excollento forme, qu'il n'en e.isto
qui soit d'un meilleur goût; il est tapisse de la manière la
plus commode.
17. Lit dont nous avons admis b formo depuis que les
arcLitectes président à l'ameublement, comme k b décoration
dos inténour» des appartomenis.
S" |3. La eb;iise du Îauteuii n" 16 : dans la lieintiirc ou dislingno
très bion que l'étoffe qui le couvre esl à llairs , par convoquent
brochée, peinte, ou brodc^; le bois est do couleur de
bois des Indes, et b sculpture est dorec.
K'tg. Un coffre i couvercle.
H' ao. Un pliani à trois mateU.
N»ai- DnpolJI'e,iu,cluneaisu:ere.
N°aa. Une espece d'armoire.
N- a3. Une cliarrue qui reaemblo i celles dont on se sert
encore à prosenl; derriere celui qui laboure est un bommo qui
seme enjôlant le grain par-dessus sa ti-tei j'ai ilossiué lUux autres
charrues ( vojea plancbe CXXV, n° ifi, « leiire E même pl. ).
tCa-l. Un tahouretcoulour de bois des Indes, el dore.
H° aS. l.'necorb.-illod'osicrd'uiiej'olie/ornie,eltressectrés
agroablomenl.
H°a6. Une harpe à vinst-nnocordes; le vclemoni de in ligure
qui en joue est élrangc et désagréaMe, mais il y a dans b pose
do l'eutLoiisi.tsme et de b vértlc.
a7, a8, 19. J'ai trouvé ce groupe peint dans dès lomWius
sur b montagne i l'ouest do Thehes; li carnation des inusicienues
est rongo; e-elle u° a, a une tunique juste, don. les manches
sonl amples; les tuniques dos luires ne se dislinguenl qu'à la
couleur, qui esl blancbe, el dovioni rose on ce qu'elle |>ailicipo de
la teinte de b chair que l'on voit i Invors; la goige de ces feminis
est de la même forme que la gorge des Egyplicnnos d'à pnrsoni ; b
figure 11° a; piuce d'une espoce do Ibéoriie; celle n» a8, m mouvemenl,
luco,,»,dob,êtc,etdesbras,joued'uninsiruu,e„Ui-eut;
il est4 rogretterqu'une lésion de Icnduil l'ait fait disparoi Ire, car
UOUJ auvoil lionne un troUiomc instnuneul de la musique des
Egrjjtiens; j'ai consulté les plus petits fragmenu au bas du mur,
je n'ai rien trouvé qui ait pu m'en rendre coniplt.
La ,,ose do celle u- aa „ t très souplo et Iris vraie; tout bont
p,,rallolemonl que sont j-^^-os ce, trois figures,
tun sentiment très délicat et très juste dans celui
loesiou peut yvoi rb différence do style que les
s par le conellesanu
s a dossi
itemcnl après u® 3o.
Elle est sculptée sur 1
du l>orliquc du temple do lint;
K'3l. Cettequat
est sculptée dans la troisième eliambre du
est sur le comble .le 11 uif du templo dcTinljTl
K° 3a, Cette figure, et celle 36, sont [«inlos dans des toin.
beaux qui sonl creusés dans la nionlague qui borde Thebes au
sud.ouest; ces porte-urs il'eau, do pain, et d'au Iros vietuailles.
sonl si sonn-ut lépclés tlaiis ces sortes de moiiumems, qu'il ost
i croire que l'on portoit des comestibles dans les cércinonios
funèbres avec le. vases, l e trophées d'armes, et les .mages des
dieux, et que c^s espe.xs de fonctions se faisoieui avec lo faste ot
iîoiU'o'C" ' " -
S"33. Ce vase, ainsi que les deux qui suivent, sent pris dans
la reprc^scnuitioi, peiule des fonctions dont j'ai parlé à l'article
nsemeul corajKisec,
arpailemcul qui
c, dossus,o. cop,ésdanslemóme lombeau-co premier es. peint
on couleur d'or; céioit sans doute de l'o,.fó.,.;ie, 01 de b plos
magnifique; s, on a quelque chose à reprocher J la maigreur
de b forme de ce vaso, on admiroe'si n.agnifioencc cl b
acbesse de si décoration ; ce sont des pbnio, aquatiques qui en
sont les principaux oriieineuts, une fleur de lotus lui «rt do
couvercle; ee cheval passant, ec-s tôles .leelievres el de eluivrc-aux
bXciTiu'::.'" "" "
N° 3Í. Un autre vaso d'or, d'une lornui ingralect d'un stylo
corrompu, cominc celui dont nous faisions usage dans l'autre
siecle avant quo le, vase, étrusques fussent venus redr«sor
notre gout en ce genre do magnificeoco ; les branches de lotus
"«liquent que ee vase étoit destiné 4 contonir de l eaudu Nil, de
celle du debor,lemeni. et le globe aile, que sou usage étoil saciî.
^ 3j. Ce vase d'uno belle forme oslpeiu. dans bmème tombeau
, et de couleur d'argent ; li richesse .-si distribuée avec'une
uoblo siniplicilé; b Dguro i g^-noux. cela léte de Jupiter qui lui
sert do couvorele, aanoneent qu'il deroil contenir quelques liqueur,
Bcrc^, el son gouleau qu'il senoil à des libations.
^ 30. Celtcman,oredcponereslcneoiïenu»,a8ei..nEsvplei
les vase, sont parfaitemoni composés.
' L A N C H E CXXXVI
é dans l'ei veloppc d'une momie.
La premie-ro obsen-atiou que l'on i>eut faire sur c
c'osi que le [upyrus en es. preparé do la même maniere quo celui
quont employé los ürc-cs et Us Romains, c'.-st-i-dire de doux
couche, de II ,no,-IIo de cette plante collées l'une sur l'autre, lo
Ci do Ja moelle se erois.anr, 01 par cela donnant plus de consistance
4 la feuille ; ou peut y voir aussi que l'écriture va de droite
à gauche, eu eommeuçaul par le d.«us de lawgci ce oui est
constaté par l'alinéa do b sixième page, qui termine » la moitié de
b ligne, et qui est suivi d'uu post-scrijitum.
Li prc.miortabieauSdroilerepre.enleuns..crifiee4qi,nr.-divinités,
dont la pmnieiv> est celb de l'abond.inec, tonaut un fléau
tel qu'on l'a roncontré dans tous les temples de rhebes, el panicuUeromonl
dans lo grand temple de Karnak, 4laquclle c-o temple
étoit dédié ; la seconde, une figure il'Isis, coiffeo dc-s cornes de la
vache, du disque ,le la lune, el d'un serpent qui les traveise; ello
lienl en main U.-S clefs des canaux du >il ; la troisiomo est Usiris,
tenant d'une main le Wlon 4 tête ilo liuppe, el de l'autre une cloO
une quatrième divinité est eoifToe d'un loinple, tenant aussi uno
olof. A la partie droite un gran.i-pivitre velu de blanc, avec une
fourrure, ol de. nmc je los ai décri ts à l'cxpli.
do la planche CXXI, n°j et giilosldans l'icto de faite uue oITrande;
devant lui est un autel en forme de libL, sur lequel ost un faisceau,
que l'on peut croire olrc de fleurs de lotus; le rostc do ce
qui esl sur la tahle esl Gguré ,l'une maniéré troj. informe pour
lui donner un nom ; sous celle lablo sonl doux jarres 4 deux ans.»
tormmws en |.oinle, d'une forme assez .agréablo, et »>u-
Unuos sur des espece. do Irepidsi ce qu'il y 1 de remarquable â
cet oganl, cestquo b forme dosjaircs el b manic-ro de les is-
^ i r est b mémo que celloqui se pratique enco.ro en % p t e i uni
I .tsage de ee qu, esl d uni- absolue cl continuelio nécessité francliil
lossiecle. sans éprouver d'altoration!
Tout lo lablwu est onc.Kiré d'un porliiiuo, coinijose do doux
colounos de formo bisarrr, ressemblant au balustre, ¡lotlaotuno
courbe qui tiont lieu d'architrave ot de corniclie ; tableau, dont
les couleurs cl le conlour rcssemUent loul d'abord 4 nos carti-s 4
jouor, n'a que quatre leiuws de couleurs cnlieres; une LIouo, rcssemblani
à celle de l'azur, du rouge brun, du jaune, coulourdcgrainc
.l'avignon, et un vert triste, qui sont iosseules couleursquo
j'aie trouvées emiiloyées dans le. ¡.eiuture. les plus recherchées,
dans les tombeaux des rois, 01 .ur U.-s hioroglypiie. sculiiies. Le
irailde ce Uibloau.quoiqu infinimonl négligé, avoilcoi>endant été
tracé d'abord avec 111,0 couleur rouge4tro claire, comme une
première c-squisse donl on voit encore quelque repentir ; b tête
d'épervicr a un stvb et une fermclé qui prouvent qu'il yavoii des
modeios bien faits de ces copies médiocres, et qu'en suivanl ibs
convenlions reçues elles ont été mal dcssinees dans des icmps nui
n'etoicnt iléja plus barbare.
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