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La p:>rli<
le nord duitii icmplc.
i jott, poi.r fj.te connoUrc
ire, du lundwu, du collior ;
r ca ualiire; il ap|>3rlcuoii i
• ,lii h.W i.riíc
1« dél.ill« .l<i coslumc, .le la coIlTi
j'ai vu un 5í"l fnginciil de ce collit
l'i,iliuil^nl-gtûénlMora."i;>l «oite
dei bracckis, une «iniure, AVÎC .
têlc scfint J rrisvor le lonnelul, une ctiictie, qui eioii une marque
ie dignité. Chiiuo fcnrlion d'une imirne cirdnioni« avoit
jor. Iialit parlicl.er, comme on peui le ren.aivi.ier mémepl»"-
clie, n' 1. el mieux encore phnelie CXXXIVi quelquefois [OTde
»us l'ijjbit, a, il f.i une i-raiule robe bbnclie de Totie iriujpareni,
ii Iravers (»quelle on distingue les forme, el mime les
couleurs (les v.'temeiils qui sont dessous, comme on peut voir
« Ij Cjure a (Iroile dans k bas-relief n' S ; une e.pece de
frangeqiiipartoildela ceinlure etoil wrminêe i«r sept ligure» de
serpen l;Iebro<lequinéloil,commeoiileToit.ejlriincmeiil5iroplo-
K" 3. Uu des JH-Iits eiilfs des piliersqui soulieuiient la gnlerie
extérieure qui est nmoiirdu sincuinire du lemple.
N°ii. Un des gnnit eilrt des mîmes pilier».
N" 5. Un grand ubleiiu eù Wrelief. qui tierii lo.it un ciié
de l'intérieur du sanctuaire du letnpio; llreprésenle un sacrifice
d'iniiua.ix domestiques, d'animauj sauvages, d'oiseaux, de poisson
» , de fleurs, lie fruils; le liéros qui présente le» ofronOo«
lieiild'uneinsiu Vcnceus, de Vautre Veati lustrale.
Sur tin grand autel rst un Inttau, clati» lequel est un ujriplc qui
paroil ne potivoir pas gonleuir re qui y est Mnsaeré.
A ^u.'Jie, »oua uueespeecde table de promission, soncdes fjeur»
de lolus, def p.ilmea. or d» ûf^ures emblematjques HTsis; et le
groupe 4 droite, l'.ipotbeosc ou la proteetion lecordie au l.eros
par le» deu'gr.md.-s divinité Ueiableauquiftisoit face àceltii-ei
n'a (le didereneeque dan» la ligure qui oITre le sarriflce, er qui, ati
lieu de tenir un vase d'eau lustrale, tient un groupe de pigeons
|>.ir le» ailes. J'ai pris touUs lesinieriptioiu liierojlj-pbiques avec
une scrupuleuse exactitude.
P L A N C H E CXXIX.
genie, qui menacr U.s, assise sur des Heurs
pas encore ipanoiiiis : ne »eroit.ee |)as le
enacr la récolte avant sa maturité? Ce las
l'ilitcrieur du temple d'IIermontis, qui
e h cette divinité mal-faisan te.
uomiques sculptés sur le plafond de la partie
vent du desert qu
bleau est sculpté
m'a paru (itre con
X-a. Signes a;
sacrc^ du umplc d'IIermontis I vovei le plan, planebr I.T, n= a,
chiffre ; I sur uu fond d'étoiles , qui est le firmament, une
grande figure, quf je erois être celle de Tannée. enveloppe I'eîcliptiq.
te; le soleil, sous l'eroblétne de l'épervier, a un de ses
solstices 3.1 signe du .vorpiou, et l'autre à eel.ii du taureau ; la
figure sur un bateau peut deVgner la marche du soieil, ou le
raotivemenl lies astrw.
N» 3. Tableau sculpté sur une des areiiib^.es du portique
du grand len.jile d'ApolUnopoli! magna.
Ce bas relieffail partie du même plafond où est sculpte
le planispLerc céleste, iluis la seconde ehanijiie de l'apportemeut
qui est sur le temple de Tinijra ( voyes planelu- CXXX , n" r,
lettre II); ce doit rtrc eucorc ini tableau astroiiotuique: ces quatorze
barques poruuit une lioule ou un disque seroient-fllesles
mois lunaires? rajisi)ourquoi quatorze' le nombre «(uatone étoit
consacré, comme on peut le voir, planclie CXXXI, n°aet3.
Quel est ce glob.'ailé devant la bouche de la grande ligure? J'ai
retro.né le même embteme dans le même temple à ime lîgure
i-peu-prês pareille'n® i et a, planche CXXXll,». £st<e le drjort
du soleil en eouim.'uçant son voyage pour parcourir tes plauettes?
N'5. Tableau peint sur !e plafond (lu portique du grand temjile
de Plillée. Sur un fond bleu les trois figures eu couleur naturelle:
est-ce l'espace dans lequel le soleil el la lune pi,..lopi>cnl la terre,
jiréseulés sous les ligures d'Oslris, iVIus, y d'Orus?
îi°l>. Tableau qui occupe la moitié du plafond de la troisième
chambre de l'appartement qui est sur le comble du grand temple
de T.ntjra (planche CXXX, 11« 1, lettre II est dilicile d'imaginer
ce que ce ¡leut être que ces trois ligures de femmes dans
de si singulières attitudes, et qui éteiideut si étrangement leurs
bra» pour atleiodre à eetle petite figure d'Osiris i M que l'on peut
remarquer de plus jiositif c'éSt que les bras cjui partent du cerveau
prouvent bien évidetiiracnt que les %ptiens avoient des
conventions pour exprimer certaines choses, .luxqttelles ils faisoientcéiIerU
sloislesplussaerécs de l'art et même de la n.iture;
qu'il ne faut doue ¡.as juger de l'art dira eux d'après les figures
cmblemaiiqties ; qu'ils avoient un art A part, eomme je l'ai fait
voir oilleut». mais qu'il étoit retenti dans des limites, et astreint
i lies us.-iges consirrés par lies riglemeiits sévères| ee q.ùfaitquu
les proiluetions du genre gracieux sont si rares, qu'avant notre
expedition on ne savait pas s'il en existoit.
K"?. Cette flguresans pieds est la seule que j'aie vue: ers figures,
qui reparoissrnt si rarement, d.-voieiit apporter de grandes
difficultés à la lecture des liiérogljplies , et introduire dans cette
éei iture tous les inconvénients do celle des CUmois, si nombreuse
et si jxiuvre.
Cetteligurc-eiestsurla frise dti portique du grand temple de
Tint) m;une aulpu, q.ii lui ressemble, est dans le eodiaquc qui est
sur le plafond du même portique.
K° 8. Ce tableau est sculpté sur le plafond de la seconde cliambrc
d'un second appartement, parallele it celui dont nous avons
si souvent parli, biti sur le comble du grand temple deTiutjra;
celte vaste plate-forme, entourée de la corniche de l'édifice qui
lui servoit de parapet, contenoit dans la seule i>artii- de la nef
un pet.t temple ouvert i l'oue»t; et S l'est, en serapproeltaut du
portique, l'appartement o.i est lo ao<liaipio, cl celui dont il est
q.i.-slion ici 1 ce dernier est si enconibni des ruines des mauvaises
maisons qu'on» bStiej i«»téri'euteiiiem sue.-e temple, qu'il faut
le clierclier pour le trouver, et que ec n'est qu'après plusieurs
voj.iges queje l'ai découvert. Ce tableau, qui couvre tout le plafond
de cette cltambrc, donne 3o pieilsde pm|ionion 4 lagiaoïlc
figure de femme: c'estjieut-i-trocelle de l'année; toutci lesiietites
figures qui sont sur son bras et sursoncoqe peuvent le fairejiettser:
ee glolie qui a des jambes pourroit être la marche de la terre
dan» la révolutiou de l'année; le même globe jmsant delà figure
du soleil J une autre figure pourroit bien être l.i terre entre le
jour et la nuit; dans le globe la figure pliée entre un homme et
une femme ne scroit-ellc pas celle de la tene, qui présente un
càie au jour, taudis qu'elle offro la partie contraire à la nuit;
Isis et Osiris, qui veillent sur elle, la gouvernent, en regleiit les
mouvements: peut-être rien de tout cela, et peut-être tome autre
eLoseie'.-st ce quo totit-S-co'updécidera la découvert e de l'écriture.
c-estcequiserviraii«ut-êtreaussiàiafairedéchiffreriji.croiroisli
figure qui est dessous, eel led'Orus ou de la lerre,dcnl le mouvement
estonrondetsurelle-mfmci les figures d'Osiris aux extrémit.i de
sesbms. le soieil au tropique, s'approciiant de chaque pole dans
le cours de l'an néei tous ces rayons, des divisions do l>n née, ses influences
sur la terre. Il ne esj>erod'almanacll'. caril ne fnutjias.s'elotgner
de l'astronomie dans le» explioatioil» livi^jtliéliquM que l'on
cherclie à donner i ee» sortes défigurés, qui etoien tsins doute d.-s
signes et des systèmes astronomiques- J'ai relevé avec esaetitudc
toutes les divisions et toutes les figures caractérisées qui y restent
tracées; ce qiu en manquea otó enil>orté par une transsudation
saline qui adétruit la mosse ,1e gris dans laquelle ils etoient pris.
P L A N C H E CXXX.
Le u= t est le plan du petit app.-.rtemenlqui est sur le comble
du grand temple deTmtjrai il est bien difficile de dire quel eu a été
l'usage: eloit.ceun oratoire, uu observatoire, un sanctuaire, un
appartement'S en jug.-r par les sujets <|ui y sont seul¡ilés, on
pourroit croire que c'étoit un lieu (Tetude, un lieu eoiiiacré il
l'astronomie, ou consacre put-étre tout entier à la sépultur,-d'un
personnage recommandablf qui y auroit inscrit des dérotircrtes,
le ié»ultat des études de sa vie; on y entroit par une petite [lorte.
n°.i; la premiere piece, f., est sans plafond, eta l'air d'tuie jK^tiie
courfermée,d<corecaveclemêmesotnquelesau(rcs])iece»;contre
le mur latéral de droite est representi^o une momie coucliée, sous
laqucHo estime longue inscrijitioii ; uuejiOrte, nCa, fntroit dansia
piece n, cclairée de deux grande»eroisees ; »ur le |>lafon(l de cette
picce est sculpté le |.Ianispliere céleste, même pianelle n'a ¡une
grande figure, planche CXVIII, n" 5, et un autre bas-relief,
planche CXXIX , n'.l ; la piece A , presque absolument obseuro,
ne recoil d'air et de lumiere que parla porw n" i ; son plafond
( ^liij )
est décoré do deux ba8.roüe&, dunt on peut voir le dessin d'une
panic, planche CXXIX, n»fl; je n'ai pas eu lo temps de dessiner
l'autre il pan -, il étoit nujins iutiiressant ec très fruste i cette esquisse
en petit en est ia masse sans ilétail.
K" a. Lorsque j'ai fait le dessin do ce planispllerc, je n'ai pas
..però on donner l'explication, mais a¡,,>orter uue preuve que let
Égyptiens ont eu un système pbnétairo, que leur counoissance
du eiel étoit réduite en principes, que la soulo imago de lours
signes prouïoit évuleminem que U's Grces avoient pris ces signes
cbeaeux,etqiiepar lesBomain» iUétoient arrives jusqu'il nous;
j'ai cru enfin me mettre dans le ca» d'offrir aux savants ot aux aittiquaires
de l'Euroj« un luMiimago digne d'eux, et mériter leur
P L A N C H E CXXXL
I. Ce bas-rel.cf est »culpté sur une des plates-Umde» du
jiortique du grand temple de 'Ilntyra (voyez le plan, plancl.eXI,,
u° e Entre les deux bandes, n" i, il y a.oit des caractère, hiéroglypyqnes,
que je n'ai eu le tem|is de copier; tous les cartels
qui accompagnent les figures sont exaetsi ceux que l'on ne
peut distinguer dans la gravure sont tle nièine inintelligibles dans
b vérité, soit qu'ils aient étc rompus pai lim|)ression îles halies
de fusil que l'on a tirées dans ce plafond, soit jur des stalactites
qui on ont couvert le relief : il eu est de même de quelques
figures que j'ai données dans le mime étal oi. je U-s ai tiou.ccs ;
les étoiles qui accompagnent chaque figure et chaque cartel annoncent
que l'objet do ces bas-reliefs est relatif à l'astronomie;
tonte la prentiere bande .-si oecuiHie pat d.-s figures de sei penis,
comme au plafond du ionique du temple do Latopolis, a Esscné.
Une Iiartieularité do la seconde bande est la figure du soleil
sous l'emblème de l'êpervier, au milieu de figures acconipagnéc»
d'étoile», dont le nombre augineii te progressivement d'un à domo,
excepté la demiere à laquelle il eu manqueroildeiix, qui auront
sans doute oté dctruite». Seroit-ee l'anmie ot le soleil au milieu
de sa couree?
K" a. Cotte suite de divinités égyptiennes est sculptée tians
eetordre »ur b trise do la porte qui «t sous le portique d'.ipol-
Unopolis magna, i Etfu; j'y ai joint avec utu: sévère exactitude tous
les caractorre, qui paroissent être les noms, attributs ott qualités
de chacune de ces figures i il est a remarq.icr que .[uatorze d'elles
sont piètes j monter quatorie marckcs vuides qui ahoutisseut i
un signe, qui est un oîil sur une proue de vaisseau dans un
disque delà lune, porté sur un support, tenuinépar une Heur de
lotus, derrière laquelle est une petite divinité : que le même nom brc
de marches, lo mémo nombre de divinités, le même signe, 01 le
métue l>etit dieu, sont sculptés sur chaque marche du plafond du
portique (lo Tinlj-ra ; même phm, u»3) i j'ai encore une foi» tiouvé
la même chose le long des mareb« de l'eacalicr qui monte de la
plaie-forme de la n e t l a (ilatc-fomie du portique du même teuiple,
ot lo même nombre qualotie dans le i»jtit appartement »ur
lecou.blodulempleó-ojeíleplau, planche CXXX, n=i, lettre 11,
etla figure, pbiiehc CXXIX, u'.i,. Dans le bas-re-lief d'.ipolliuolH>
lisios ligures ont les jambes engagées; dan» celui de Tiiilyra
il y a alternativement une figure d'Iiomme, une figure de femme:
j'ai cru devoir indiquer ce» rapprochements 01 ces différences
matérielles ¿ ceux qui sautout y attacher des idées abstraites.
3. Je préviens ie lecteur que tous les signes des petits cartels
intérieurs attachés aux figures sont exacts, mais que toute
la bordure ne l'est que d.uisla forme des inscriptions, queje n'ai
pas eu le len.i>s de prendre, et qu'avec du temps je n'aurois pu
donner que très imparfaitement, soit [lac b petitesse des caracteres,
soit par rêloigi.enienlo.i ils sont pbces,soit enfin prieur
état do vétusté, acceléréo par In filtration des eauvi l'usage de ceux
qui ont bjbité dans des temps plus rapproeb.^s sur le comble de
ce teiuple, et y ontbdti des maisons, dont les murailles en briques
P L A N C H E CXXXIL
Les deux parlies d'un sadiaq.ic sur les deux phtes-bandes les
plus opposécs du plafoud du portiquo du leinplc do Tintjm
(voyezleplan , planche XL, u°8J: le» deux grandes figures cuvelopiK.
nlcsparoissentélK.collesdel'année.Lesigneailtíqtiiesldevaut
bur bouche .-St celui de I'clernitc ou lci)issagedu soleil aux
süistiecs: le disquo qui est S la jointure des cuisses de b figure 11» 1,
le soleil, d'où il pan un fais».-ju de lumicre qui tomhe sur une
tête ,1'Isis, qui reprisenlo on la tet ro ou la lune; le soleil, placi
au signe du oncer, peut servir d'époque 1 l'érection du temple
: les figures jointes aux sigue., les étoiles fixes; celles dans
les bateaux, les étoiles mouvantes, les pianelcs, et les comètes,
l'ins les objets lie ces tableaux sont importants, plus ils me paroissent
devoir être laisstjs aux savants à qui ils apparlienneut;
mes observatiousJoi veut porter plus ¡larticulièremcnt sur les Jictils
objets isol«, aux.|uels les localités, les rapproeliements, les
cireonstances, donnent de l'intét^t, auxquels les détails de mes
oUervations lieu vent quelquefois .lonner de l'existence.
Ces grandes plates handes sont sculptées et i^inles; les i>oreonnagoseu
couleurs naturelles sur un fond hleu semé d'etoiles jauue
»i je n'ai marqué que celles qui sont on relief, le» autres étant
en nombre indéfini, et ayanidisparu pour la plupart par b dégradation.
. Les inscription» sont oiaaes;
les endroits où la dégradation t
les figures; un grand éclat iie|)i(
plusieurs de b seconde bande.
i marque par de petits traiu
n'a pas permis de distinguoi
a qui est tombe on a emporte
P L A N C H E CXXXIIL
Fragments de bas-reUe& historiques repixisentant divers.-s circonsuinces
de l'expédition glorieuse d'un même héros; dans le
fr.igmenl a ' I, il saisit par le bras son adversaire, déjà blessé el
terrassé; il est |)rêt j le Jicrcer d'un coup do lance; un et,
signe de victoire ou de i).iix, est i eôté de lui ; ces bas.tcllefs,
sc:ilptéssurlesmurskl'cxtéricurduten.plcdeKariiok,sontmoin3
détruits par le tem|>5 que p r des démoliüons; c'en est une qui
nousprive delatólo du héros, dont il eût été curieux de voir l'expression.
Si ces bas-refieli sont les plus aiieieiis de ceux qui sont
arrivés jusqu'il nous, .i coup sûr il y avoit long-tcm|)s qu'on eu
faisoit lorsque ceux-ci ont été sculpt«, n y a une noble simplieité
dans l'agencement des figures , du stjb, ot de l'expression;
dan» la pose <Ls deux personnages; on pourroit plus soigner bs
détails, mais on no pourroit pas uiieux composer un groupe.
a» a. Lclu:ros,remontcsursonehjr,poursuill'cnnemi,dcja
en pleine déroute, fuyant dans les bois et dans les marais pêlemêle
avec les habitanu du pays, et les animaux de la campagne;
jilusiours, réfugiés dans uue forteresse, sont presque aussi effrayés
que les autres, et jiaroissont même atteints des trails du vainqueur;
ee bas-lelief-ci, plus barbare que l'autre, púelie absolument
|iarb composition, el plus encore parla perspective; mais
la 1«)5C de eluquc figure il part est vraie et expressive, elles sont
toutes en fuite, blcsat« , effrayées, ou bien mortes; les animaux
en sont beaux et pleins de style ; les cltevaux pleins de feu, «le
simplicité, et de noblesse: les Giccs n'ont p.i» fait autre choso
pour ceux qu'ib ont mis sur leurs médailles.
La foneresse n'a l'air que d'un enclos paiissedé; l'inseription
qui est dessus, SI nous savions la I ire, nous e n apprendroii peut être
ie nom ; La foret est representee par quelques branches, et lo marai»
par quelques fieur» de loin».
3. Levainqueur5ursoncbar,eouduisantsesehevoux,donl
U^s tètes son t paiiachéeson signe de triomplie ; il est enUiu ré lie toutes
scsarm<>s. de sabnce, de son javelot, do sa haciie, de son carquois,
de ses llcches, et de ses masses d'arme»; deux génies protecteurs
raccomi)agneut et locouvrentde leurs ailes; il ramené des captifs
attachés ensemble par l.-s bras et dans dilTérenlcs attitudes; ces
captifs portout une barbe cutiere, un habit long, une plume suc
leur e.tsque, et ont tout une autre physionomie que les Égyptiens:
l'une des iuseriptioosestpout-ctrelo nom du héros, et l'antre celui
des peuples vaincus; un calumet iii.irque bpaix ou Ea victoire.
.l- Le même héros presen tant ses captifs aux dieux il inscription
est l>eut-être le nom des divinités; le génie protecteur
est. encore là.
!)an» d'autres bas-iclieù du même genre le héros reçoit les
armes des mains de la divinité, ou du pn-tre i|ui la représente;
ces ruis, CCS héros elüicnt Ires pieux, et jamais les jirêtres il'étoieut
étranget» à leur fonction; ilsreccvoicnt U*s armes d'eux.