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Tuc empreint d'nnc leinle jiur.', ddcompose le verd des arbres, les
t pOTtor IM balcons sont fort iilraorrlm^ir«, it IcsJtulj-pic
j'ai« TU» de ciHe c'tsl I» ptnser ijuc «11« des
ciriilido» Mine aulrt siofubti« »m d« pircmenU crioeléi,
que loo Toil »u milieu de toumpe, que ji-n'ai reirouvis uullu
pin ^llours, et ,lor.t je n'ai pii sut 1« )icii> imaginer l'uBgc.
On <«1 Jspuii que piiin: les Uis-rtlie6 il y on . qui repreieolenl
d««cncî liccneicoi«; iU m'oiii cchappf: toi^qu'oi.
aborde ties monuments «l'une anliquili auui rJlraordinîiire M
d'unt foroir « parlieuUi«. on éprouve Ulio lellepréoccliKiHon,
line euriosiK si i«!"». 1"'®" 1"°
plus »U7îni on le» quille avec luiaol d'inqüiíludeel de tegicu
fail piroilre bleus, met ainsi en combustion l'ordre tonuu de
Ui nïture , el en cbingo toii» les rftcls. C'est ordinairement dans
le lemp» du kamcin que m pWnomene» <
que d'enll
P L A N C H E XLYIK"
I. Vuegeueraledcstempleselpalaissituiisprèsle'ilbgè
de MMinet-a-Bou a Thrhc» i les plans qui sonl aii-desioiis peuvent
en donner l'incelligencc; la partie en avant est »lie marqOM
Oporepremiere -, ellen'ajimiisélé lerminee, ei l'on y voit oncorc
en bossage eequi iloic destine à ètiescuiple en bas-relief; derriere.
dgauohe, mjrqui dans le pbu ligure 3, est 11 ruiue du petit
palais, doul I. Tue est ibiu: i p.ul, pbnciie XLV , i ; h
droile est le lemple, figure a ; le gnntl nuînumcm qui est sons II
montagne, est celui rjui dans le pian csl marque figure .i ; une
parue .lu villijc do Medinel-a-Bou est bJtie sur Ir comble de la
panichde ce leinflo.
iu-dreions soiii les plans des moniimenu de Médinel-a-Dou, dans
loure iilnalions Cl i leurs distances reipcclives; celui figure pteraierc
na jeiuais éld termine, la cour n devoit-elie èiieeulource
de colonnes engage.'» comme on en »oit * 1« parrie D; devoil-eile
rornicr un Icmple i U maniéré de celui de ?li ilée, on cr» six
colonne» .Icvoienl-elles fermer un portique devant les deu» luùl.»
ipii llanquoient 11 porte? c'est ee qu'il est dilBcilc de r.>»oudre;
les deui autres moles F, F, sont plu» ineicns et pres-iue on
ruine.
Le lemple, figure a, est entouré d'une glleric de pilastres; se»
chanibr.» sout très obscures, et son sanctuaire absolument privd
de lumicre.
Le plan. Bgurt 3 , est celui dont la vne est doonic plinelie
XLV.n»
figure 4. Plan d'un grand édifice, dont il est bien dilScile
d'assigner l'usage, et dont uue grande partie Ii est enfouie, et
couvetlede maisons actuellement habilées; le» deux galeries de
la cour T sout portée», l'une»urd.-s colonnes, l'autre par .le»
pilastres î la cour i rtt bonk^c He deux c^lcs par des piLiitres
- Jerant lesquels sont de» terme»; Il galerie V est celle où est
le grand has relief, pUncLe CXXXIV; la catliolicité y avoit élevé
dans cette cour une église, dont il n'y a plus que les colonnes qui
soutenoieut lanef. Les pieces i, 5 el3sonl absolument oliscnres ;
Il dernicrc a on soubassement creux; tout l'exterieur du mur.
marqiiêJ, est couvert de bls-relie£<liisloriques, repr^srntanl des
batailles entre des égyptiens et ries nation» «nngeres, coiitêes
d'espcces de mitre», comme les ancien» Perses.
P L . \ i S C H E XLVII
S» I- Une Ti.e lie Kamak et Luxor. prise . a rive gauche
du Kil, à la prcmlere pointe du jour-
\ ma seconde Irlvrrséc de Thrb«, biTOuaequant dan» l'.-nccinte
de cette ville, sans pouvoir approcher d'aucun de ses
ujonuments, ne saelixitt pas si j'y rcvicniirois jamais, je fis
ce d.isiu, de d.;8c»poir ; c'est sur le» isles bisses, comme celle
qtiî est dans cette vue, que l'on voit le plus soutcui l.-s erooaddcs.
K" a. Vue du lemjilc de I.uxor , cl du quai bSti pour le
défendre des invasions du fleuve; j'y ii joint l'3S|ieci il'un tourbillon
de poussière, comme je l'ai vu dans le moment nù je
fînissois mon dessin. Ce plicnometie, p.nrliculier & ces rentrées,
offriroit i la peinture une couleur et des effet» nouveau* i tout
ce qui est ordinairement dîapliine, comme le ciel et l'eau,
prend uue teinte tcroe et opaque ; tous les corpssolides et durs, se
rcilnlrnl du peu de rayons qui traversenl la jmulsierc , piroissenl
brillanis, cl offrent l'image de b transparence; l'atmosplicre,
lieu. Privée du
! de la couleur, la graTure ne peut qu'en indiquer Iré»
imparCiitenant le ràulDt. Ce que l'on voit du monument en
est la parue sud, voyea le plan n" a, planche XI.VIII, depuis la
leltre L jusqu'à X.
P L A N C H E XLVin.
1. Vue générale de Tliebes , prise du sud-est au nordouest.
il la rive drcJle du neuve, d'où l'on appcrçoit tous les
monument» de cette ville, excepté celui du village de Dambout;
il commencer à droile, 01^ on voit six oiseaux, le village de
Kamali, avec ses ruines; voyes les vues prises de près, n'ael l ,
pbnclie XLIII, et le plan n'a.plaoebe XClU ; au milieu, sur
une cipece de promontoire formé par un coude du fieuve, celui
deLusor, vor« le plan au-dessous de cette vuc-ei, n° a , et les
vue» n" I et 1 i pbnche XLIX, et n-1 et a, pl. L; immédiatement
après, sur le treisieiuc plan, et j l'aulre rive du ileu>e. Kournou ;
voyci b roe du monument, planche XLI, n° 6 ; rn suivant. sur
la mime ligne, leMemnonium , Toyei pWi e XLH.n» 5. et
pLanrbe XLV, n= 1, les deux statues coloisalc», voyez pl. Xl-lV,
n° I , cl a , et Mcdinct-.i-Ilou , plaoclie Xl-\1, n» i , le lout
couronné par les moni.ignes de la eliaine libj'.|ue ; l'endroit où
l'on ippcr^oit deui oiseaux est celui ouest la vallée qui conduit
aux Ioml)eauxdcsrois;àgnurhe, iineistecultivée, et au milieu ,
sur le premier plan , de ces isles Kisses sur lesquelles on voit
sonvenl les crocodiles; celle vtlc, qui se trouve itre une espece
dccarlecopograpliiqiie de quai relieur» quarrces. outre l'erlrême
intérêt de ses mrmumenls, offre un aspect piuoresquc par
ses formes, par le mouvement du sol, et par la viricto de ses
couieursa.
Plan du lemple du Luxor.
On est étonné d'abord de voir 11 ligne centnle de eel édiiicc
faussée 4 plusieuiî reprises ; on peut trouver trois causes 4 cet
effet; la premiere, c'est que, ronsiriiil a diverse»éjioqu.-», comme
presque tous les temple» d'Egypte, ou a bSti dabord la partie
du sancmaire qui est ou sud, lettre T, agrandie des (larties R.
X, V; on aura bit le quai, revêtu pour enipécl;er que le
courant, qui appuyoit sur la droile, ne vînt dégrader le ninnumcnt
; on a même 4 plusieurs fois augmenté celle construction ;
car l'épaulement, Klti en brique, est postérieur au quai revêtu;
et, maigri! ces différentes précaution», le llenve menace encore
de tourner ces opérations, et lie les détruire en l.-s prenant au
revers ; U cour , les galeries ÎIM, et l'avenue de colonnr.
colossalesL, conslrtiiles ensuite, ont eliangé de direction, parcequ'on
acte oblijéde suivre le plateau «levé , et le roelier calcaire,
qui ponvoil seul Servir de fondement i des masses si lourdes ;
•I est possible aussi que ce» parties L, M, H, n'aient été faite»
que pour raccorder ci unir les deux edilice»C,£, G, a l>, R, T,
et y I ce qui appuieroit celte dernicre opinion, c'est que ces deux
parties paroissent plus anciennes, soit parleitjle, soit |iar la
couleur rie» pierres; la troisième opioiou, qui est sans doute la
plus hvl)Otheiique, est que les Égyptiens, ayant toujour» paru
»acriCerb rceliludegéométiiipicet b tymctric régulière, ont pu
préférer les effets de iierspective ; ce qu'il y a de certain, c'est
que l'clcndue de ces édifices einpécbe d'en distinguer dabord
lesirTégularitésdupbn,etque le faussement de la ligne ce ntr.ile
prwluit desefrcu plus riches et plus piqnanls que le seul l>oint
de vuegéomêtraletqucne tenant point aux pel itcs considerations,
les Égyptiens n'ont lendu qu'aux grands effets. On peut eitcr|)our
exemple la principale porte de ce monument, planche L; il n'y
a pas de pitis licHc conception architccuirale, composée de moin!
de ligne», et qui produisent un effet plus grand; et cependant
les.leux obélisques A A ne sontpas alajluinent égaux ; lesdeux
statues lin ne sont pas tout-i-fait les mêmes; les sculptures qui
cotivrent les moles DD ne sont pas symitriqun; mais tout cela
est trop grand, trop magnifique pour qu'on ose clmrcher 4
quereller »ut des regies; on est étonne, et l'on admire. Cr qui
par la reflexion doit surprendre encore, c'est qu'on ait su ajouter,
d'une maniéré si graiJ^oii, des embellissements i de» édilices
déjà anciens. A la comparaison du travail et au style de la
sculpture il est évident que les oU^lisques et les salues eut été
ajoutée» postcirieuremcul devant 11 («rie, déjà aueieuiiemcnt
l)Jticiilyoiouu;prol>id)ihléqu'uue avenue de sphiuxs amvoildu
temple de Karuak jusqu'i celle porle; j'ai suivi celle allée dan»
celte direction, t plu» de la moitié de l'es^tace qu'il y a cuire ces
deuk uiouumenls qui est au moins .l'un inillu .le elieniiu. Uc
pareil les constructions sein bleui des l èves ou des eon te» de géaiiis,
La |iarlieE,b jiliis voisine des miles, sert eucoïc aujourd'hui
de mosquée au village de Luxor, et en fail b plus belle mosquée
de la baule ligyple. La i>.irlieP, parallele i celle E, étoit sans
douU! syinélrique; elle est délruite, et couvcrlc d'kabitalious;
G, II, I.étoit un sanctuaire particulier, dédie, suivaut loule
ap[>3rcnee, à quelque divinité jiarlieulicrc. .•oiiiiue elici nous
ou voit b cliapellc de saint ïhoma» dans l'eglisc de siinl lem.
La panie T a serti !< une église catholique ; il n'eu reste que
lies niches cintrées, Liillées dans I'lneieuuc construction. Les
couloirs Q, ue me semblent avoir élé conservés que pour y
établir'des escaliers pour monlei sur les combles, où je crois
qu'il y avoil d.'s tenus cl des abri» qui devenoicnt agréabbs i
liabiier à cause de b vue'cl de lair; les liabilanu aciuels en
onlscnti l'avanlage, el y ont construit des maison.. Il csl !l croire
que les pinicXZZ ont été les premieres eutréesdecetemplc,
que Y et Xen éloient les pêrUtylrs et portique»; le corridor V ,
qui tourne atitour du sanctuaire, et qui l'isole, lui doiuu.- le
sentiment niyslérienx et sacré d'un tabernacle; les onieinenis
en son! tr.-» soignés; c'est la i>arlie la plus enrichie .le setili>-
lure, celle où l'.archiKcIure .-si Ij jdus ricbe de details; c'est
la picce b plus petite, la plus magnifique, et celle qui a le
plus de caraclere ; c'est le saint des saints. 1 « anisles êgypiicns
enlcudoient parlaiuunent celle partie d.-s plans, cette iii.agie
de l'art agissant stir l'ame i>ar les sens, ce dc^ elopjipmeiil de
magulGcence, cet aceroisscuirnl .rinltrêt par le mystère d'une
lumiere sourde et presque éleiule, celle progression pour ainsi
dire dramatique, faite pour produire le. sensalioiis les plus profondes,
les plus analogues ii la religion, au gouvemeineul des
Égyptiens, à seconder cuCu l'empire du mystère. I l que l'on
P L A N C H E XLIX.
1. Une vue du vilbge de Lusor et de" ses inonuiuents,
prise de l'ouest à l'est, coinine il a¡ii>jrüitcn iraversani le fleuve,
et eoinme les vu^vtgrurs l'ont apperçu lorsqu'il» n'ont pas eu b
liberté d'y descendre.
a. U influe uionuni.'Ul, vu de l'e»l à l'oue»l, cl pris de
plus près; ce mouument, le plus conservé de uau» ceux de
Thebes, est aussi un des pUl» considérables de l'ÉgypIe; il conlieiil
encore une nombreuse population, log.^- dans des cabanes,
conslruiles ou sur le comble du monument, ou dan» les einhrasnrcs
des colonne», comme 1rs m.iisoiis d'été cl lis maisons
d'hiver des liablUnls du Kaiulcbjtla ; au resle c'est la ruine de
Tbebes ilunt on a lire le plus de pjrli sans l'endommager, et qui
offre l'aspect le plus singulier «laus son i ntélieur. par le mélange
et l'opiiosilion de tout ce que l'arehiteelure a .le plus fasluetix,
el loul ce que l'industrie humaine a île plus misérable.
On peut se rendre complc des détails de ce nionumenl en
jcilaiii uii eoup-d'oiil sur le plan n" a, planche XLV 111; ce
hcau développemeiii de la même ruine, b plus riche, la plus
imjiosanie, la plus conservée que nous aienl laissé les slecles le»
plus reculés, se délaeUe sur le fond iU< paysage le plus lirillanl
d'elTel et le plus favorable ) b peinture; le de\anl csl aride,
d'un jaune traniiuiLe, sur lequel les groupes des figures se delaelieiii
d'une maniere [luiss-anle; b couleur dorée de celte nohie
architeelure, ses belles forin.-s , ».-s larges ombres, se» grande!
lignes inlercoinpue» |>ar ces jiilloresque» cousiruclious aralus,
ce heau lleuvi rellecbiss.-uil l'azur du plus beau ciel, auimé du
mouvement des barques ii grandes voile», euculant à Iravers des
ish-s eiilii.ées ou sablonneuses, au-delà une ¡.leine verle etahundanle.
parsemêedegcoupes d'arbres CL de» plus imi>osauu mouumenl
», enfin riiorjzou»ur lequel se découpe line chaîne de munlagncs
de la plus be-llc forme ; tel csl le sublime uhicau que je u'ai
pu rendre par une gravure , mais auquel b i
pinceau joindroil tout le cbarme de la nii
riehcsscs des souvenirs .le l'imagi n.tlion.
P L A N C H E LJeur
d'un sav
•e et de Varl j
S" 1. L'entrée du village de Luxor: quel mebuge de mesquioerie
et Je magnlCcenec ! quelle eclu;lle des siccics pour
l'Égypte! quelle grandeur el quelle simplicité d-ans ee ~.-ul
détail I U me |KirnI u>ul j b fois le tabb.<au le plus pilloce»<iuc
et la piece comi>ar3live la plus probante de l'histoire des
temps; jamais mon imaginadoii et mes yeux n'ont Lté plus
vivenu.'iil frai>pê»que parla vue de ce mouuineill- Je sui» venu
plusieurs fois rêver i celle |ilace, y jouir du |ii!«e, du prissent,
y conii>aref Ira bbriqu.-s pour en pouvoir comparer les babitanis,
et J euUssci-da. volumes de souvenir» cl .le rélleKiou» ; le eheikli
ilu village, ra'abordani une fois dans celle préoccupation, me demando
si c'éloicn lie» Français ou lesAuglai» qui avoirnl élevé toul
ceb; el celle noie acheva mes mémoiirs. Les deuxoboIis.iues, de'
gr.iiiil rose, ont encore 70 ¡licls bon il u sol ; .'1 en juger jwr l'eufouisienieiii
des figures, il dolly avoir 3o pieds de tecouverts, ce
faite; l'arrête et le fuselé eu est d'une puretc on peut diKi iiiouie;
le» biéroglyplies, protonds el eu celiet dau» le fond, sout d'uuc
touche fraucbe el d'un ûni précieux : quelle irempe pour les
outils d'une pareille sculpture sur une telle maliere 1 «jue de temps
l>our Ictnivail! quelli s m.ieliines ¡.our tirer de si énormes blocs
de la carriere, pour le» lraiisi>orler, |>our les .Iiessir! tout fails,
ils coiitcroienl des millions pour les changer de ¡)kce. Les deux
colosses du rocine granit soncdejrailcs , mais l.-s prties conservc.
s annoncent .[u'elles oui été lermiuée» de b miniere b
plus soignée ; on y pcul temarquer que l'usage de [H-rcer les
treilles éUiit connu des Ivgypiiens; celles de ces figures en ont
l'empreinte. L.-3 deux grami» inól.'s .pii formoienl b [«ne sont
couverts de sculpture, r..préscntanldes combáis avec des eharicils
en lignes, montés de deux chevaux et d'uu seul cooducteur.
Tout le reste de ce que l'on voil dans l'estampe sont de» fabriques
moderne». ISniro le» deux môU.-s est la i>oruj moderne
du village, et derrière celle porte les principales maisons, surmonlccs
de colombiers.
a. Vue de Luxor, prise de .lessus le ûeuve, «lu nordoucsllu
sud-es.;ibparticopiio»éeabvue, u° a , planche XLIX,
i droile, à b [loinle .[ue forine le couis du Nil, le pelli port;
dans le secon.l plan la live gauche du llcuvr. au fond de la
plaine ou apperçoit 5Iédiucl-a-Boo , et la chaîne libyquc.
P L A N C H E LI.
Celle planche conlieni le ¡ilan nple du er.
montis , i piésenl Eriiienle ; la
n» 1, est .
bterile, jinsc .l'un bassni antique, qui reçoit ('eau .tu >|I au
UMii|is.lel'nion<laiioii, el la relient encore malgré l'éLit.le destruction
où il est arrivé; quaUe escaliers dcscenilent <lans ce
hassin.'c'etoit sans ilouie au inilieii qu'cloil le nilonietrc dont
parle Arislidi ir sophiste; il ne rcsle rien de la colonne où ondil
qu'éuiieul marqués les degrés de l'inon.Ution ; au-dessus de ce
bassin est un escalier à ilécouverr et très bien conservé, .loin
les marches soul très basses, taillces dan» uii Moc degrés énorme;
CCI escaber monloit (1 une plate Tonne dont on voil eucorc de
chaque côte quelque arrachement .le levclissemeiil. Suivant toute
apparence , cette plalc-fonne servait de terrasse au lemjilc qui
estdcrrieie; le sanctuaire en csl complètement consei-<c; ce que
l'on y avoil ajouté, cl qui u'i jamais été fini, a éprouvé plu^ .le
destruction : ce qui csl i gauclic, ])ic« .(c la colonne isolée, est
un tombeau mcKlerne.
a. U jilau de tout ce qui compose la vue n° 1 ; ce qui
n'esl marqué .(ue d'une Uaille.csl détruil jusqu'à rase .lu sol;
la partie du portique n'a jamais élé ragreée; b scul|>iure des
ebapileaux u'aïusélé terminée, el l'on ne voil que leinasiifdans
le.|uel devoit cire pris le relief .les hiérogly|ilies .jui dévoient
couvrir les ¡,anneaux de loul l'.-.hncc; le sanclua ire, |.lns anciennement
conslruil, a été complètement aclicvc 1 d étoil divisé eu
icois loriies ; la première ouvre pai-une porlc Ulcrale sur un
iS