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P L A N C H E XXXIV.
,rjv.i.soray. Vojet I cplic.tion que j'»i dotiiKc loul c- qui Its obslr
e(lui.iímf8riirr41.planch^XXVII,ii- i. Le iioii.bnt que
S» I. Uo lo . .
d'un autre (Wifice «lu niímf jnirr 4 lo plancha
pjliiiier .louiii, liínó, ct le [».ilmier douicr, join« ou style
ocolicdí l'ídifKC, duiini-iil icetto csUmpf-ci uii as|iccl oriratal,
dont j'oi p.n« •l" oi" S'U'oi' ercd'olTrir le tíbleoti.
D.liis uii po). où loul " t cxlraonlinoirr, U- locleiir üimc à
stirprcnilre quolquefoi» le vojogeur tlniis les cirroiist.iucej qui
lui poraaeni I.-Í i)lus vroir», par ccb mimo quelles soul les
moins iiuporlMiles elle» jilus iiuprevues i ce son. <l.-s |»nr»its
hits ranirtemenl, nil! qu'on on fuil poser le luodele : ils froppiil
de venu, el ils en oui totijouis loiiU la grace. Cost dans
il incuic|ienséequfjai dessillé, m.'iue l>l=ucli.: u» 1, un quartier
delavill.- il. üirge, où j'oi mU, coiuiue je Toi .u par hosard,
unkiíiebefcillouré du füsle llosa lUjison ; des Mionu.cis
a pi.-d, des bJioniti.-ra à chc\al. rajrclieiii dcom lui pour
icjiler ceux qui s'en .ipproclietolenl ; il est suivi île ses Jbmrloiiks.
Cesout ce:, sones de scona, avec le porir.il du lieu où elles
se p.isseill, qui foui coiinoitrela plijsiouoraie d'un pajs. Pour
qu'uii Ircteur cilleo<le liion un vojogeur, il foui qu'il marclie
avec lui. que b vovogeur puisse lui dire, Quand j clois 1». »oili
ct que je vojois; voilà I cspr™ il'arlre sous lequel j'etois ossis;
<oili une maison di- lel |).-iys. Le coin d uue rue pris au liawrd
.lonuc plus l'id« d une IcIW vUW (|ue le dessin a prélonlioit de
innoilre nn prr-
,renarlie, qu'en
s le masse tu le 11V1...1.. -..v m.lin gantée «l uo pcU.
• pluelio de bino ; friclion qui OUTre II« por», el en onlere
gneiirs le masse tu le froiloiil
tie ue utinoi iut.<iuii y-.
h:s obsiruoil. et prépr.- i uue 11 onS|i
• b l.ive
0 facile ;
ilo l'eau eiiaudc sur If corps du Ijjignc i un tïoisieiiie foil uoe
rumigo.ioii o<toriferonlei le qtialrienie .|il>otte Ju colc, qui resloureelrelsblill'iquilibre.
01 prévientl'afr.iiss.-liieul que fenjil
eprouver celle espeee de friclion dans une almospbere Ui'.ilive.
P L A N C H E XXXVI.
s» I. Pbu el éiCTalion géometl^le du naour.ih ou niacliine
á êloer Veau.
A. A'e lie b roue tlenU^e borisoilUlc. .
11. Brtis .lu levier, i l'exlremilti duquel agit l.i puissance.
C. Lo eilptne.
D. U roue à godel.
?.. I.a roue dciiuv.
F. La loue iiiolrice du ntouvemenl.
SOTE .SUR I.A ROVli A GODET.
Le inéeouiînede la roue est sUlmple, que lo srtiie i.ispeelioii
<lu i>bn sufTii iiour le birc concevoir, il y aseulcmenl uu
molàdirestir b cliariienlc de b grond.-roue.
Qualre c.rronft-renees d'cn.irou quinje lignes d equarrissoge
cLoeune formenl les areles; elle» «ont soutenues par de petilc»
pieees de bois Ju même cquorrissage, plaeies perpendiculairemem
au plan de lo roue, et dislnules l'une lie l'aulre de b longueur
d'un goilet : elles ser>0iii eniii.'nie lemps ct ù soutenir les
arètw, et .'iappu>er les petites plauel.es qui forment la sijaralion
II« godeu. Cet assembbge est corsoliile par huit Iro.ei-se.
elouiM sur le plan de b roue. el quelquefois liées en«-uible ¡lor
leur« e.xtréniii.i, prolongées au-delà do lo oireonfertnc« de la
roue, avec une conle ou une peiile piecedc licis; ces traverses
se^^enlí o.«semUer brouo ïTccson axe . quoire pieces île bois,
«lotices obliquenielil sur les trai-ersei, ellilées intcricuremcul i
broue, ausincniim encore b solidité.
Cette ebarpenie «si recouverte île iilinolira d'environ quatre
lignes d epsisseur. Il pároli que les Egypüetis ue su,veut point
de mcihocle Jiour la coupe<le ces planches; ils les emploient de
maniere qu'il n'y oil rieu de perdu. sans avoir éprd à la forme;
deux rangs de irlugles, appliquées sur chaque face, servent eiiecre
J Sxer ces planches, il'oiLeure elouées sur les nrèlc-s.
L'ouverture de cLlque godet 1 Irois pouct«quarrésdc surface:
celle qui Ml destinée faciliter i'enlree du lluidc 0 quiiiac iigoes
de largeur,« pour longueur i'epaisseur de la roue.
Si l'ou fait abslraciioi) du ftotlenieiil dans cello mscliine, on
irouve que, dans le cas <Vé<|>lilil>le, la puissance esl à b résistance
comme le produll du rayon <le la roue princii»le (.ar le
rayon do la roue horizonlali- est au produit du rajon de la roue
déniée verticale |>ar le bras de levier : on peut dooc mettre b
SCS principaus .yiCces; ou fait souvent m
siiuuase en citant do hii uu uiotsenlluiini
en faisan, uu long et fastueux paudgyrjqu
P L A N C H E XXXV.
N= I. l'Ian des bains chauds en %ple. C C. une gak-rie
élroile, onieuant au couloir D, qui sert d'eiiln-e au hain ; b lento
t csl le comptoir de celui qui y commandé, el qui reçoit Icpaieniei.
l en sortant; f , grande piece oclogoue à-lemi chauftce, au
milieu de laquelle est uue piece d eouG entourée d'une rotonde
ou colonne; Il. eslroJes sur l.-squelles soni d.-s bu de repo.. Cesl
dans celte pleco où l'on se rasseniWo, et où particulièrement les
fimmespassen. unepartiedeb journée qu'elles cousacrenl 4 celle
jouissance, où elles se parfunionl, se font iresscr les cheveux,
étalent leur msgnilicmce, preiirteri. des rafralchissoiueiiU 1 c'est
aussi dans eette piece qu'on laisse ses babils de 11 on est conduit
iiar 1« couloirs 1 K et 1) à la piece-j-. où, ass.> sur une
dalle, ou j i-st mondé d'eau bri'ilaote prise dans le bassin s.
Lu ou ileui baigneurs, les mains dans des petits sacs de
Ibiielle, conimenecm une friction avec de b mo.issc de savon,
qui dégagé les ,»r.-s de b pc.m de lent ce qui [»ml les oUtluer;
après cette operation, on esl conduit à la piece V, qui est excessivement
chaude, el totijotirs remplie irunc vAi»ur liumide,
dont la Jicau est imbibée eu peu d'insLiiiU; on monte sur une
petite plati-forioe x, où b cbaleur esl étoulTanlei on descend
d.llis un bain L', tiont l'eau esl brùbnle, el ou ou ne
reste que quelques inslanls. Aj.ris toutes ces épreuves, on est
ramené dotiee-nient il b grande piece F, OÙ , étendu sur les liu
de repos li, un autre baigtjetir ¡dus adroit vieul avec deitériié
couper les ongles, rompre toutes les joiuturrs, briser b roideur
lie toutes les articula nous, et procur.-r une de.ctitu.u si volui»
tueuse. qu'on est tenté do le e de.cti.u
la sensation douloureuse
qu'il vous a faite en faveur de celle dans laquelle li vous
laisse. Le» pleccs d, C, O, S el T.sont des pieces parlieulicres
que l'on u'.sl jamais en droii d'esigcr que lorsqu'on les 1 retenues
d'avance ; h li sont deux fourneaux extérieurs |>ar on l'on
en Irene ni le feu qui échauffe les hains, une cour où se tienl la
provision de bois el défaille de maïs pourchaufferles fourneauj ;
F, pieee.i séeber el étendre le linge; 0 , magasin i lesitrer.
Ces edifices, construits .avec nia^iiillce&ce, pavis en marbre,
décore» en mosaïque de même ualure, enlrnenus avec de grands
frais, sont ordiniiitemeul les propriétés des principaux babilants
du jajs, qui les font|érer par des êtres 4 eut, ou les afferment
1 des gens «n soui-ordre.
fi® 2 esl un personnoge distingue dan.* une cLamhre par.ieuliere,
assis sur une dalle a coté d'uue baignoire; un des baiivec
une force très médiocre en
aujmcnlant
ra^-ou de la roue dentce verltcale
eulement de ces deux diraensioiu
sufÛsarome.
bras de levier, ou l'i
encore en diminuant le ra)ou de la roue horijonlsle; mais dans
louioesdiffereniseas onperilrasur le lem|is ce que l'on gapiors
sur la foree. 1« dimensions de la niseinne doivent être tletorminees
par la consideration de la force qu'oil esl en ital d'employer
Il esl probable que les Esplienssonl parvenus, |>.ir un
litonncmenl, à se procurer les dimensions les plus ronveinbles,
eu égard 4 b force des animaux dont ils se serveiil; ce sont
onlinairement deux buflles nu deux Ixrufs atteles i la Courclio
qui forme l'exlrémile du levier. Quand les dimensions de Ij macliine
sont peliUîs, comme de iloute jiieils ou environ (wur le
iliamelre de la grande roue, un seul de ces animaux suffit; iU
emlJoienl encore quelquefois un cbev.il ou un ehamesn : quel-
.(uefois un ine lire en avant, lanilis qu'un homme ou unefeinnie
pousse derrière le levier; quelHuefois les l>ajsan5 fatigues s'assejenl
sur la fourclie, el se promcnenl ainsi eu cbassanl leurs
buflles devaul eux.
Ce plan, fan par un inginieur, ainsi que la noW er|Jiealivo,
m'a eié douné i«r b généra! Uugua.
Le n- a esl le tableau d'une anecióte, dont le récit esl ds
le journal. poprioS.
P L A K C H E XXXVII.
Bataille rie Sjjnauhoul. Tojea, lians le journal, le rédl de cette
habille, page i3a.
Sur le premier pion, lo demi-brig.ide la vingt-unierae, commanáiie
par le général Belliard ; la quatre-vingt-huitième,
commandée par le général Friand ; el la cavalerie, par le general
Davoust, formées en Irois bataillons carrés, marcbanl sur
le village de Sam aniioul, derricrv! lequel éloitposlc Mou ral-bey; à
gauche, les volontoiresde la Mecque,relranchés dans uu fossé, incommodent
noire marche 1 l'aide-d^comp Ciémenl esten voyé avec
un détacliemeol d'infanterie pour les déloger; l'oidc<leiamp Bapp
avec un délachemenl de cavalerie pour leur couper b relroile.
Vn iroisiemc délacliement est envoyé contre ceux qui occupent
le village. ol les en chasse. Dans lo fond , derrière Samanhout,
est le camp de Moural-bey, qui effcclue s-i relr.iilc sur
Forschoiit. La longue ligne de cavolerie esl compos..^! des Hfamelouls
des différents beys, qui paradent, nous euveloppeni, et
font des mouvemenls incertains pour découvrir sur quel point
ils peuvent plus avanlageusement tenter une cliargo sur nous:
iigauelic, un de leurs chefe. blessé parunboulel. ne peut ni
être secouru par les siens, ni reproudre son eboval pour nous
ecliappei. Dans lo dernier plan a droite, la e6te sur laqu.-lle
U-s Jlamelouks (irenl leur retraite, el où noire cavalerie les
poursuivit. .V gauche, dans b plaine, les rissemblements d'inranlerie.
qui, vopnl l.t mauvais!
persent 01 dispai
( )
sedis-
. . . . dessinée pendant l'aolion. peul donner «ne idée
irèsexacle de l'évinemenl, et de notre maniere de combailre dans
eepajs. Si bb-noillc des Pyramides offre le lobleau de la charge
des Mamelouks ..notre disjiosition dons celle-ci foil voir notre
maniere de nous former pour ia recevoir: l'ortiLerie, en avant
et aux angles tanl que l'ennemi éloilloin, étoil rentrée dans le
babiUon au momonl de la charge.
P L A N C H E XXXVin-
>'° t. VucgénéraleileTimyrn, qui faitconnoitre l'ensemble
de ses monuments, leurs positions respectives, tels qu'on les
voit en y arrivant du còlè de l'est, l'éminence formée pir les
décombres de la ville, et derrioro, b ebaine libyquc.Le d.«ert
arrive jusqu'au sol qui termine la pbnchc. Les piLoicrs que l'on
voit sont les dernieres productions du dernier champ atteint par
l'inondation.
S° I.. Lu petit monumoul carré-long, de quatre colonnes
dr face, sur cinq de profondeur, devant porter un entablement
et une cornicile; les colonnes engagées jusqu'au llers{voye2 le
plan, pl. XL, 11" 7). Cet édifice n'a jamais été fini; les chapiteaux
n'offrent .|ue la masse dans laquelle ils dévoient être travaillés;
isolé il se trotivc situé totit vis-à-vis la jwrlc du grand temple.
3. Un autre édifice eu ruine, qui, d.ins la vue géliersie,
se trouve ¡1 droite du grand temple 1 le sancluairc i-st précédé
de deux grandes pieces couvertes de Uis-rehefe ; les plafonds
décoTxis d'une suite de globes ail«. Celle partie fermée est
enujurée d'une galerie ouverte et d'uu péristyle, dont on n'.ipperçoil
ici qu'un chapiteau très dégradé { vojei le plan n»6,
ploneUe XL); Vexléricur en est tK-s enfoui, ce qui fait qu'il
est difSeile de se rendre compte de b galerie, ct qu'il m'a élé
¡mi»sslble d'avoir connoissance de b colonne enliere.
S° .',. Une vue delà panie sud du temple ; à droite, dans
le loinlaia. le petit monumeul a, qni est vis-k-vis la grande
porte, contn: laquelle s'appnyoit sans doute l'enceiute qui fermoit
le temple ; cette porte ouvre vis-i-vis le centre du porliqiio
i elle esl cotiverle d'hiéroglyphes en dedans el en dehors.
Lo porliquc esl plus élevé que lo celb ou uefi une ausiere
simplicilé dans l'arelnleclure esl enrichie d'une innombrable
quaniiic de sculptures biéroglyphiques, qui n'en troublenl cependant
pas les belles lignes 1 une brge corniche couronne majestucusemeiil
loul l'edili ce; un lors, qui semble lo eereler. .ijouie
encore un aq.eci de soLdilé au talus qui existe pot^wut, et seri
d'empjttemenl, oc qnl 6le b maigreur des angles répétés, sans
iter b prtcision et la fermeté de l'ensemble, puisque celle
fermelé se manifeste où elle doit se prononcer, c'csl-i-dire i
l'extrémité des corniches. Trois iru« de sphinx sortent du ¡lanc
de la celle ou nef; leur forme et au gouleau qui esl cniiolenri
patte« ou doil croire que c'éloient tics goutlieres par lesquelles
se seroicnt écoulées les eaiix que I on auroit versées sur la plateforme
du lemplepourenrafraiehir les ap|>arU!menls quiyéloient
oonslruits, cor, sous les ruines dos constrticlions ar.ibes que
l'on voit encore sur ce monumenl, j'ai irouvé de pelits temples
particuliers, décorés des sculphires les plus soignées et les plus
scientifiques : o'esl dans un de ces opparlemeols que j'oi vu et
dessiné le zodiaque, et autres délails inléressanls que j'expliquerai
à l'orticle des hiéroglyphes. Les babilations modernes,
dont on voit enoorolcs ruines, auront sans doule élé conslruiles
» 0:11e élévalion d.ins b pensée de se meltre il l'abri dos incursions
des Bédouins, et de se loger sur ces monuments comme dans
une forleresié.ou bien pour s'éloigner du sol ardent, el oller
cbereher l'air dans une région plus élevée.
Le iTste de ce que présente celle cstami>e n'est plus que décombres,
« arrachement» de murailles des labnques les dcrnierci
construites avec les moiériaux delà ville antique, qui, à lexceplion
des temples, éloil hSlie en briques. La quai,lili de monnoio
romaine «lu lcmp> de Constanlin cl de Théoilose, que l'on
trouve ums les jours en fonlllonl ,>our chercher du nilre, doit
faire croire que Tlniyra exisloit encore a celle époque: j'y ai
irouvé moi-même des bmpcs romaines en terre cuite, mêlées
dans les décombres avec do petiles divinités égyptiennes en pite
de s-erre el en porcelaine, avec une couverte hiciie.
S° 5. I-e porliquc du temjile lotimé 4 l'est; 1 g.lucbe, un
fr.igment de la porte; 1 droite, le l-clit lemple n° 3; dans lo
fond , b ohatoc libyque, à l'ouest de la ville.
P L A K C O E XXXIX.
K« I. Pone intérieure du sanctuaire du lemple (voyei le
plan Ûg. 8, planche XL !'oi niesuti avec soin mules les parties
de ce superbe frajmenl de l'archilecture égyptienne ; j'y ai |dacé
avec exactitude les différenisgenresd'biéroglyphes; j'y ai exiirimé
la conservation parfaite de celle panic de l'édifice; ce iiui fait
que l'image que j'en donne devient loul la fois une vue géoniétrale
cl une vue piiloresque.
Le plan .1° a, que j'ai ajouté au te, donnera b mesure de
la saillie des différenls membres do ce morceau d'arcbitcclure.
N" 3. I--1 vue gtométrale du portique du grand temple:
sur b plinthe de la oomicbc on voil une inseriplion grecque,
irop élevto et trop frusle pour que ma vue m'ait permis de la
copier ; je b crois une dédicace faite posterieure.neu. par
quelques gouverneurs de la province pour les l'iolomées : une
autre inseriplion givcque, placée de même sur b porte du sud,
ol que j'oi copiée eiaelemenl, iwiirruil appuyer eeilr opioion;
au milieu de la coruiclie csl eu relief une télé d'Isis ré|iéléc
par-ton. 1 elle fait «oir que le lemple éloit dédié 4 celle divinilé;
au-d.-ssous, sur l'ei.lablemeni, esl le globe ailéqi.i occupe
celle place dans tous les édifices; celle même figure est répéléo
ici sur toutes les pierre« en plaies-bandes qui formenl le plafond
de l'enlre^olonneraenl du milieu du porlique. I-es eh.ipileaux
des colonnes, trfs exlraordinair.« par l'ortiemeul .¡ui les décore,
produisenl dans l'excV:ulion un eifel aussi noble que riche.
I-aporteéloilformcedcdeuxchamhranlessanssimaise; l'assise
porlant les gonds éloil en granil; cc qui pourroit faire soupr
que cette par ie du lin .recevoiiinulcfrollementdu
gond; le chobt de cette matière plus dure annonçant que lemboitement
du gond n'éioit point en bronse ou en fer, mais que
le gond en bois rouloit dans l emboitemeni de b pierre mime.
La partie qui engage les colonnes est enfouie ; j e n'ai pu en
voir les ornements n'ayanl jamais eu '
la fouille; j'y ai suppléé pic ceux queja ! sur le même
membre d'architecture a e ouvert de Pbilé.
P L A N C H E XLLc
n« 9, que j'expliquerai d'abord, est la oarle topogrophique