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o" I Ml la «ne : 0 Nil lrjvm,iiil Its rochcrs de granil; S droile
nslr d'EUipl.3m™«i » giMlie •-"«»"s
iLermos roinnms Mw»nl Hc mil« pour le ptli t port d'Assusii.
3. .ue, prise d.. |n«l H« rocber,, .on.
perche« tes rmn« d. V^ndeor. ville tonifiée de, Arob« »u
L ™ .1« Llift. Oll roi. voit cr.e<«<temseri,.lions ÎOT" ' " " "
,„rl«n,.-,i.,eloi,sdogi=mla"i «rroirnl de I»« à eetl^TÎHe, à
S,ucl.e do l'cslnmpo le profil ,1e l'isle l!ipl,=iili»e. 1« rocbm el
L revru«eine.« ».cliques ^m diftndopl I. partie,ud d« eBorts
du «..1=1.1 du Sil, et .lu i«id, de k de «s «..r nu lemps
de l'iuoud-ilon ; d.-s mamelon» de gronii cmi.etls d'h.ére^ljphe,;
une potliOT de quai, i«rl«nl les teslos d'une galerie ouverle
donnanl sur le Heu«- ; au l'iveiu de, eaux du fieuve une porlo
ouvrant sur uQ esejlUr en granit, qui a pu servir de uilouiette;
,u-<lessus une suile de ruu.es dc.uonu.ueot. ijvpùens, eompo,A
de couloi«, de petites chambres omies de aculplure, L.o^
glypSiques Irés soignées i eelle conliuuile .le mines a.mblc ailet
joindre el arriver aus tabriques qui environneient un leniplc,
doni on penivoirla vue plu, en grand |,bncheLXVI, r.-3 : lesdeu.
l«inle»q..i dominer.. lMou.sontlesdeuxn.onlani,d'unesui«rbe
rorledegranil(voreîplancbeLXV,n'.)ilout-Vfai>àdro,tedc
Vclampc, prirmi le, palmiers, .me el.alne S pol pour momer
l'eau, sur une erms.ruetion eontre laquelle r,l inerusld
uu bas-rellet en m.tbte U.ne, ou.rago romail., rei.ri!eiltai.t la
t au Sil dan< 1« même auU.ide de celle de b slilue de ce
s .¡ui est au belvédère X Rome. .
P L A N C H E L X r . .
«» • R„,c de d«uicbambr.Dl«d'ure porte, aussi grande
<...em.snifique,cn,ltuiteeugranit,el couverted1.iérosl,T,Ues,
.iluce S la partie la pin! «lovée de l'islo Eléphantine, près 1«
lemple de CnepL.
N" a. Vue de 11 t^ine d'un temple de l'isie Elépbantino,
ptiio i l'aogU sud-est. d'où on voil la portion de galerie qui eulouroit
le lemple; on peut roir un autre aspec. du rooms temple
pIancheLXin,ii°a.
P L A N C H E L X V I .
S- i. Ruine, d'un tomple à Sjenci il «t situé sur une bauanlique
an nocd, et les rai.ies de la
qui do
•aBe; il es. enfoui, comme on le voit, jusqu'au cl.apiteaa
do ses oelonnrs. qui soutetioienl une galerie ajctéo posliWeurement
au sanetu.irc du .emyle; les pierre, renrerae«, que l'ou
voit entassies, étoicl c-llo, (l'un ionique tonl-à-fait doiruit;
Jerriete on «pperioit le Kill'isW Elopbanliue; et sur le dernier
plan, la chaîne libyque.
Le plan du temple de Cncpb ou Cbnupl.i, i Eléphantine;
nn sanetujirc dceoré on be.ui bis-roliefi, représentant
de,Ian. el dol.or, dos »erificos ofTerB par un beros; la
Mcondé piecea été ajou.cepostérieurement, el n'est poini ornéo
de sculpture dans son inlécicur; la galerie o. le, deux portique»
on. é.é ajou.c, aussi poîtcricurement, -t son. revft.is d'Iiiéroilypb
» en relier, donlor. peut voir le dessin planebe CXXVÎII.
• 3. Ruines d'ut. .1« lemple, d'Eléphantine, donc le plau
est le n» a. Cr monument est d'un grand intérêt par a célétour
, par,a consorralion, par 1 beauté de sn ,eulplures inté-
P L A K C H E L X V n .
rieutdvoyer.planobo CXXVIII)! il oecnpoit le centre de l'aie
Elépl.antine, consacré à la sagesse sous le non. de Cneph;
servi ptesq.l
' S=i . DloedegranitdcUnéàilrescuIplé.lransporlcboisde
la carriere, il a été abandonné surlegrand cben.in .[uiconduisoit
do Phiiné i Syene; les hiéroglyphe, doni il est couver. •sonléi.%cu
dans l'MIampei le, ûguresen proi«.rUon peuveni serait d'écl.ello
pour mcurer le blocl une telle .naae tnnaportée par Mrro
suppose d« maehincs .rc, puissantes : le pe.it monument è droite
es. .m inmbcau arahc, eommo il y en a beaucoup daos cet espace
do Srene t Pbiloé. les inscriplion, qui sont ,ur le, pierre,
pubrolos, qui m'ont paru de caractorosardjes, pourroion. donner
i'é|»quc de er, namhrenj monumenu, e. par cola de\-enir iutérrasantc
pour rhi,.oirc dos bas ,iecles; je n'ai jama» eu asre
de lomp, pour on copier.
S" Rocbes do grani, do. .5o pieds d'dévation. qn! ressemblon.
à des r«t c de p;üaU construits par des géants, et sont
en elle, les ruiUM de Li ..atui^ ; chaqui mamelon es. roonnmcnté
par une in^ription hiéroglyphique en caracteres in-
»:ripli6, ot en figures hiéroglyphiques.gaucl.c la plaiuo e t
traversée par une «pece do monument appelé Hhait-al-Adjoui,
la muraille deb Vieille; le, lemplos q.ie l'on npi«rçoi. dan, le
milieu do l'clampe sont eaux de l'i J e de Philoé; les monlagnos
qui bordent l'hotiion »m celle, de la chainc arabique ; l'arbre
qui ost au milieu de la plaine es. un térébinll.e, «rbro qui cn«t
d'espace eu espace dans le désert, et .lont la ramifleation légere
diviso les rayons du »led. e. dérobe ..n instant la téle du
voy;.gour 4 leur ,>oig..aDte ardeuri eo qui dan, e« olim.l, avares
paroil aux êtres rceonuoissanK un bion6il de la Proridence.
P L A N C H E L X T i n .
I. Rocliers de gr:.ni. sur U grande route de Syene à
phi loé; l'inscription hiéro^ypbiquoct iei tellcqu'olle eùsuî là.
K" a. Vue des earrieres do graui., si.noesàuii mille au sud
deSyone; los marques qui sout tracées honionlalemeol et vtrlicalement
son. tl'antiqaos travaux préparé, pour détacher le bloc
doot on voit la surface ¡ ces trarsui dovoion. recevoir, ou dos
coins de fer que l'on frappoi. .out i U fois, ou des coin, de bois
sec .|UC l'on moullloit pour Cairo éclaler el déliter la [«rlie doslinée
i cire enlevée ; tou, les rocbcra avoisinanU qui offrent dos
superficies planes tot été irava.Ueka dejnéme, el les traces des
travaux s'y sont conservées auMi
abandonnés que ta veille.
nue s'ibn'eussonl été
.lier au milieu des décombres dos i
."dont il élo.1 entouré,-« n'a .le dégradé qu'un angle de
sa galerie : les doux fragrients parallele, que l'on apperçoit
dorriero <nnt deux cbarobranlr» d'une porte en granit, qu'on
peut vmr plancho T.XV, n» i . la statue qui c5t sur le second
plan est colle d'un diou. d'un prêtre, ou d'un initiéi elle est
trop frusic pour en distinguer les altrlbutsi elle esl en granii
el de .0 piW, de proportion : les pterre, en avant sont le,
décombres .l'un édifice dont les sul>slruclion5 vont r^-joiudre la
fabrique du temple, «en dépe.idoienisuivant toute apparence:
ceul loisos en avant do celte vue et jusque sur le bord du S.l
toui l'.i|iaee e,l couvert de débris do fabriques dégradées ot
presque sans formes.
P L A N C H E L X I X .
K" .. La dernière catatacle. c'e,|.à.dire le dernier saut que
fail lo Mil marrhani au nord; ce n'est proprement qu'une barre,
formée par un bane do gran.t, qui, traversant le n. uve pendant
l'espaee d'une lieue et demie, ne le laisse paMet qu'en s'éebappanE
1 trorera des rochera plus ou moins l.aul,, el pius ou
moins aigus, «qui d'espace en apacc lui funt faire de petites
nappcsdequa.rcjwucosà un pied, pondant le lompsder.année
que les eaux sont basses; c'est dans ce lemi« que les baleaui
reneontronl des obstacle, qu'ils ne peuvent franchir, et que le«
eaux du fieuTO écumeuses el bruissante, prolent en quelque
,orle aux idées qu'on s'est faites en Europe de ces calaracles
si fameuses: au reste le passage est fermé neuf mois de l'a.ince
pour loui bateaux cliats«, et six pour toules ospeces
de laïques : c'cl h ce gro, rocher qui est au mille., que nous
fumes arrêtés, quoique le» «au. ne fussent pa, encore arrivées 4
leur grand déeroisiemonl et que non«' barque f.'.l do»plu, légères.
L-. loule par lerro depuis là jusqu'à Philoé p-nsso à travers de
petits vilbges composés de quelques maisons, de rochcrs, .le '
polîtes portion, de terre cultivée qui ressemblent à des jardin,;
do parties saWonnouse» et déMrtes, d'amas de ruines do la nature
, de petites rhittes d'eaux s'échappant de Uautes pans avec
fracas, et qui offrent .me variété lout-i-fait pilloresque.
H' a. Aulro aspect de ce qui forme la eataiacte du Nil ( voyei
lirticle ii°i.ellejoui™l, page i5o).
n» 3. MaiK.n nubienne dos plu, somptueuses el des plu»
complote, dans sa distribution ; cello-ci, ainsi que toute, les
autres, esl bâtie de terre, mêlée de quelques morceaux do bois
( x x j )
de i>almiers, sbrani de chambranle, aux porte» ou ourottures
par lesquelle, ou s'introduit dans les chambres et magasins, b
tout couvert a-peu-près de fagots de paille de dourac, qu"
de provision de bois l>our cuire ; lorsque te, maison, ,Qol dépourvue,
d'arbre, cl «io»lruiles dans les rochere, elles disparoissent
i l'«il dès qt.e le soleil levé ne laisse plu» d'ombres
aux corps, 01 n'en dessine plus ta forme: Il m'est arrivé plusieurs
fois de chercher à mi.h un village que j avois vu lema.in, tandis
que j'étois au n.ilieu de, maisons. Une des étranges sensation,
du tropique est de se trouver i midi comme un centro do lumiet
« dont on est te foyer, do voir la nature sans ombre, ,'affaisscr,
s'applanir, n'avoir plus de saillies apparentes, el tout
uiiioys prendre un nouvel aspect,« pertlrc ses formes,devenues
méconnoiMables.
fabrique i gaucho esl lo magasin des différent, grains, que
l'on enferme hermétiquemenl dans d.-, eipecs de cipes, <lout
on les retire, à mesure qu'on en a besoin, par do petits trous
qui sont au bas; ce qui est de cliaque eâlé do la porte sont des
|>0ÚlaiIters et dos pigeonniers: lebe»3in. qui est le di,lributeur
des loraliies et l'areliilocte de chaque corps-dc-logis, fait quo
toutes Ics maisons se rcsiembbnl, saos qu'il y on ait doux qui
soie.it de mémo ; ce que l'ou «oit k droite es. la cuisine, loujours
à l'angle d'un des murs, pour que le feu soit i l'abri de deux
vent,, et qu'on ne toit i>as incommodé
autres; la ligure aMise, fumant sa pipe, esi dans la piece principale
, celle des conférences; au-dossous l'habit
où l'on n'entre et où l'on no ¡joui se tenir qu'accroupi ; c'm. là
que so.it relég..ésles i>lnschétir, el les plus vilains eulanu que
l'on puisse imagi.ier; car il semble quo les orientaux devieuiient
beaux jusqu'à quatre-vingts an,, e. no commencon. i cito bien
qu'i vingt; les palmier,-.talliors ot les palmicr,-doum fuut les
frais ih; la pompe et de la décoration de cotto habitalion ;
mais j'ai pens.! qu'on rerroit avec intcWt sur le même sol 1»
oxtr,.me, des résultats de l'in.lustrie, l'homme »'agrandi,
ta majesté de ses palais el du (aste itu supernu-don. il s'est.
vert, et l'homme rendu presque à b classe derapprochant
de la ua.ure et se réduisant Ì ses souls besoins.
P L A N C H E L X X -
Pbu de l'iste do Philoé. située auj
un coude de eo fieuve, gisant dans sa longueur di. nortl-ouest
au sud-est; elle a à- |>ou-pri, 3oo toises île long sur lao de
large; elle est presque toute couverte .les plus fastueux nionuiiipnt,
lie divers sieete, ; 1« sud-ouest de sa partie supérieure est
occupé I>ar un beau rocher lrê,piltoreique,dontl'as|iectipre et
sauvage semble ajouter à sa magnitjcenco, et (aire valoir le, bcUes
ligues régulières do l'archilecture des temples qui l'a'
U courant du Heuve, venant frapper jusqu'au p.e<l du rocber,
lettre 1 dispensé de faire uu quai dans celte parlio; au moment
où manque te rocber coiD meneo un quai revêtu Z, d'environ
36 pieds de haut, décoré d'un tore, au-dessus duquel s'eleve un
parajieti ha..teur d'apjiui; sur ce parapet s'élèvent deux petits
obelisq.ie, de gm, sans hiéroglyphes, et d'un travail mediocre;
il n'y en a jilus qu'un debout.
U quai continue en talus, i la partie nord de l'iste, avec des
po.ernes («" aS ) qui ouvrent e. embarquent sur b lleuvei
ce fut par ot. p,-aseroni les habitant, bra.(u'ila se »uvereut, e.
.10.1» ahantlonncrciit l'isie ( voyea b journal page i65 ] : ii^ ty os.
une ramjw qui aine.ioit du fleuve a une porte ; le mur se prolongcoitjuíqu'i
une autre pono, où il reprend, et va se perdre
en ruiue; c'es. U .out co qui reste de la circonvallation égyptienne.
Los deux |>orle, sont belles el hien conservées ( voyos
pbt.choLXXII, n'a).
1.0 n® 3 est un temple péeiplere ; le» cotonues engagies
jusqu'au tiers, les chapitoa.ix S gohelol surmontés il'.ioc quadruple
léte d lsi5(voyc, planche LX, u°7), iwitant uue ar-
, et fcrmaul de deux
portcs sans sommiec. H' /i, uiic galorio do a5o picds dc longueur
; celle gabrie etoil on colonnesassex bien scutplees, i chapiujux
evasi,, surnioiites .I'u.i dc, dune architrave, et d'uno
gorge; il y a .l.-s differences i presqiie lous les ch.ipiteaux: cettc
parlio do I'edifice cloil nioins ancicnite que k temple, maJ» plus
que celle qui lui esl parallèle, n° 5, 01 qui, je crois, n'a jama
été achevée de construiré, quoiqu'olb »it plus eu ruiuoquel
premiere; ellos scrvoicntde corridor i nombre de etllulcs, .."G
été des chambre, do
:.o 11° lO ,0111 deux pieces formanl uu cdiGcc & |
uncluaire des plu, ancien, , et sans doute des plus
car il i»aroit que c'est jiour épargner son existence que l'on a
gauclii uaulos le» lignes du plan général ; les sculptures sont ou
bas-rcheCi prccicusvmc.il sculptés.
Le 9 ,o.il deux grand, mâles e.i talus, de pieds de large
cliaci.n cl «a pied» d'épaisseur, qu
guifuiuc porte.
Ils sont bordé, aux angle, par uu lore, el aur.nont.:, d'une
gurge; les panneaux, couverts .le doux rangs d'hiéroglyphes
gigantesque» représentant cluq gra.ide, diviuités ; au ba» dc
gra.ult, figure, tena.iiil'une main une hacho bvée, et de l'autre
le, cheveux d'un groupe dc tre..lc Ggur<s à geuoux i.nploraut
leur cicmeucc (voycî plancheCXX, n° 7 ); au rCT'or»dc col édiricc
quatre liguros do prêtres ( pla.iche CXXI, n°9;. poctai.t un bateau,
il.ius lequel e t uu emblème |>arejli celui qui est daiu b
balcau du bas-reliefdu temple d'Etcphantino ( voyez pl. CXXVIII,
n° 5 ); aux doux côtés de la porto il y avait deux ¡iclits .Olisques
on granit, de .8 pieds d'élévalio.i, couverts d'hiéroglyphes bie.i
t ,culpté», et devant éu>ient deux sphinx dc 7 pieds do
l>roportion; tout ceU est renversé.
- Le u° 11 Cil une auiro cour, dc «o pieds sur i5, flanquée
de deux galeries eu coloi.nc, derriete lesquelles 4 droite est
: de cellules de .0 pieds do profontlcur, el à gaucho
un édifice parliculior, comjiosé dedeux |Kjrl.qu.', (.." i3 el iii),
et de iroi, eliambre, dc diverses grandeurs, se commuuiquani
les unes aux autres, cl s'ouvrant,ur tes |iorüques: c'est b seul
que j'aie vu de ce genre ; s'il étoil plus éclairé, on paurroil croire
que c'auroit été uu principal apprleraenl ; son exécution c l
très soignée, el MU effet très pittorosquo. Lo u' .5 est cncote
un sa.ictua.re, pius petit quo tous les autres, appuyé co.ilre deux
autres miles en talus il'un tiers .oo.ns grands que les premiers ,
el servant de portail il l'édifico le plus gland et lo plus régulier
de u>ul ce groupe; la piece qui suit, n* 17 et n® 18, est une
cspeco deiiortique, .lécoré dcdix colouue» el de huit pilastres
de 4 pieils de diamètre, aussi magnifique qu'élégant; les colonnes
el le, murs couverts en tableaux hiéroglyphiques, sculptés
dans le massif, perfectionnés eu stucs, el ,~'inl,i le jorliquo
et deux retours couvert, en plafonds en plale-bandos, sculptes
et |H>ints en tableau aslronomiquc. ou e.. fond d'az..r avec dos
éloiles hUnolios. U partie ni.mé.olec 17 est i ciel ouvert, qui
produit un beau jour, 01 un de» plus beaux.ffols d'archilccturc :
un tableau exact faita.ec les coubura naturelles »jro.t aussi imposant
el aussi agréable q.ill seroit neuf 01 curieux ; b relief de
l'aecbilecluro 01 .b b sculpture donnant des omh
plate» de la peinlurc, acheve ici do la faire tournée ; elb prend
une t.armonic « uno magnificence doiil jo fus élonné: je ne
pouvoi, ro'arracbcr do colle ,u|ierbe cl étonnante Jiiecc, doul
il faudroit dessiner tous les détails; je n'eus b temps .|uc d'en
prendre b plan (voyez le journal [lagc 16C).
A ce portique ouvert suceidoit la partie fermée du lemple,
de Go pieds de profondeur sur 3o de large, d
longueur en quatre piece, communiquant par quatre ¡lorie» diminuant
d'ouvorlure; la proraiore dc 7—.1, la seconde (b6—4,
la iroisiemcde5-6,ta quairiemc de .(—3; uu eoup-d'oeil »uc
b plan donne une idée plus nelle qu'une descrii.llon où ia rél>
élllion des mêmes exprcMions distraient plutù t l'atten lion qu'elle,
n'éclairent l'imagiiialion : il seroit bbn difficile d'assigner l'usage
de ces diverses pieces, dent il yen a de si longues, siébvées, si
éiroiles, ai ornees «si obscuros; dans la piece du fond c l
u.i aulel ou un piédesul renversé, et i l'iuigb droit, n° al,
est une espcce dc laberuacte ou temple motiolilo, poêlant pcuc
décoration la porte d'un lempb de7 pieds de hauteur sur3 pieds
do large, el a pieds 8 pouces dc p
de granit: ou voit encore dans la pierre le creux où étoien