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dtrc.nplicoinonlgóiiitildcljTiUe dcTinljrii, di so ru.uts,
el Ju giKi.ictit Jc sc. icmpU's, Jool on o 1» vu« |>il»rci-juM
el gcoineltalcs pbiiclira XXXVIII cl XXXIX, tl dont le plan
est JéHiHé sur culls lufme plancLe XL, 8.
Lc plus gntiJ mouuD.ti.l qui «I nu milieu do Ij CH
le gr.-,uü temple, .loul ou l«ut «oír 1« üét^U l," 8i ce ,ui
e»l csl m.e poru:; et ¡.lu» -vjul cue-ore, I. uiéme
(lircclion, un pelil lemptt qui u'a jmnMS eui leruiiue , doul It
l.lau „ iu» 7 , cl b VLicpíTÜeulieivj.plüucbe XXXVUI, n-a.
Lr pelil Iiionuuirijl <iui esl lierricte le grand lenijilo a son
I.IOD plrlicuiicr u" 1, cl lei ilelaiU üe sou enlrc^ u" 3. U
„ooumcnl 6 d«.it «I uo •fvi.l.ouium , .loul le plau est délaillé
n" fl, el doiil 11 vue luruculieie «i à b [.linclic XXXVUI, u° 3.
Lts dcui autres niouumenis ^ gauclie tot.t dcai pones ; c'csl su/
cclle qui csl b i>lu5 i>~eLe des teiuplu qu'wl l inscrij.lioit jrecque
rjuc j'ai cilécdùuile joiiruílio^ al a. Tous It relie (les ruiuM
sont celles ¿c coDslruciious eu briques qui n'ont cooscive aucunes
(ormrs. I.n luontigues Ugunnau kjul de celle cane sont
celles de la cliaiuc libjquci la ligue IjUncbe qui Iravecse esl la
cL.miu de Ila>v .i Diudera; les palmiers que l'on voll «u bas
desigueul le poiol où aicite l'iuonJatiou t t la culture : la vue
gentirale Je loule celle carte «1 plauebe XXXVIU.n-i.
Leu° i.Potilsancluaice.donlbpaxoi est dégradée, mais dont
l'inléritur est aussi bien coiísutví cjue bioo travaille: j'y ai pris
divers IjLleouxUiercgljvliillues, iloul je rctiilrai conjple dans la
suite du joutl>ll, et dan. l'eiplicolioi. des plancli.s de ce genre.
U n° 3 csl le plan particulier de l'entrée des trois cliauibres
du lenijile ci-dessus.
1« n» 6 le plsn d'un tc.mple dédie i TjpLou, i «u jujer
p,tr les ornimculs des frises, où ce tnaurais génie est toujours
en iniilurl: d'adoration devaol U déew Jsis. Le porUque, fort
I.nibuiet fort en ruine, est repn^eule l>° 3, planche XXX\'in.
Le 11° 1 est le plan du temple ouvert, qui u'a jamaiséle aeljevé,
et dont on voit la ruine a, planche XXXVUL
Le n° ,1 esl une vue perspective d'uue colonne isoldc du péristyle
.lu grand lerople; la [ortie .|ujrree du ebapileau représente
uii temple avec la diviuile sous le portique du sanctuairei
quatre faecs d'isis, avec des oreilles de vacile, et la coiffure
d.s femmes égyptiennes lebevent de coin|ioscr ce ebapitcau ;
tous les ornements qui couTix-nt le fin scnl eiacls, ainsi que la
base de la colonne, que j'aifailfouilleriourtn'co rendre compte.
Len'S.lcebapileau renversé, et vu eu plau.
Ix.n».,uiie d«gouttien..squtdécorsBllescôtcsde la nef.
U n° Í , le plan du grand temple et de sou portique, soutenu
de vin|t-qiialre colonnes semblables à «lies D° .1l les plafonds
sculptes et peints sont les lodiaqu« de la planclie CXXXll. n» .
et a, et les n" l et 3 d= b planclic CXXXI. La picce qui suit,
soutenue di. sii colonnes, osl fort enfouie, el ue reçoit de jour
que de la jKirte; les chapiteaus ilcs coloiiues qui soutieuueut
les plafonds de csitc [uece soul composes du cliapitcau de la
colonne du portique; Jiius un eüapileau évasé, comme celui
plauebe LX, n° 7; je u'ai pu juger du reste de b coloi.no.
Ijpieec quisuil, fort dellljée, est fort oljscure; celle au-delà,
très ornée, reecvoil un [»-u du jour de larunera situés aui>rés
du plafondi b lumière esl représentée ta sculpture, sous l'embrasure
du laimier, par des gouttes triangulaires >|ui vont toujours
en se ebassini et m s'agrandissanl ( voyei Ira rayons du
soleil, plaiiclic CXXXll, If J ); toute la faee du fond de celle
piece 1st dccorcc de la belle porte, donl je donne la vue n" 1 ,
planclie XXXIX -, rien uc dénote quel en étoit l'usage.
pieee du fond etoil sans doute le saueluairei elle ne tccevoil
de jour et d'air quede lajwtc, qui donnoil sur uns piece
déjà [on ubst:urc : s'il se faisoit queliiues fonctious daus l'mU<-
rieur de ces temples, ee devoil être de nuit, ear si les cérémonies
religieuSa-s u'eusseul eu li<.u qu'.'i restérieur, 4 quoi bon
l'extjémo iiiigiiirieencc des deiails de la décoration intérieure; le
sanctuaire, abwlument deblavé, a clé fouillé jusque sous le solde
son pave, qui ¡»ortoil sur le rocher applani; celle picce étoitisolée,
comme tous les sanctuaires, saus avoir pu peuêtrer daus l'espace
qu'il y a entre le mur du fond et celui de l'extérieur du temple.
rieures, juger de son es|)ace; lontes les parties du jdaii qui sont
ombré« sont despieces irop encombrées oitjs n'ai pui^inetrer;
une des trois pieces hiérales eoulbni; un escalier i palier, dont
les mareltesn'ont i,ue quatre ponces de-baulenr, ttqui roonlc
sur b terrasse de b nef du icmple, d'où un autre rsealicr lateind
monloit encore sur la pbte-forme la plus elevéc du portique:
les sculptures do ces escaliers sont aussi nondireus« el aussi soignées
que celles du sanctuaire i ceUcs de l'tacober sont ¡»ur
la plupart des ligures de prclrn et de militaires presiulanl des
olfrande. ; > oyea plauebe CXXI, ii» a et 6 ). Lc long dii marcbcs
qui mouloienlà la plale-foruic do péristyle éloieulqnatorae divinilés
sur quaUMîc marcile., i-peu-près pareill.s i celles representees
<lans le plafond du portique, n" 3, planche XIII.
i lo partie cslerieure ilu fond du temple il y a une tète d'isis,
semblable à oellc de b corniebe du i.ériatjle, mais dans des
diuieusious colossales, a laquelle de ehaquc côté deux ligures
gigantesques seullitêcs en bas-relief prcsentenl l'encens.
Le 0° a est un spliins à tele de lion, servant de gouttière S vcraer
l'eau (Ioni 00 arrosoil sans doute la plalcfornie <lu temple, soil
pour la neltojer, soil pour braTroicbir-
Cc que j'ai encoiȈdeeriredeccquej'aipur.-.maas<.raTinijra
eonsisu! en détails biéroglyphiques, aus» iiiieressauts que
ce quejen ai déjà représenté : j'y ai fait viugt voyages dans lesquels
j'ai ir.ivaillé autant qu'il m'a été l>ossible! je l »!""'» I'»''''"
sii mois que. je n'aurois acheté de rendre compte de tout ce
qu ii y a d'intéressant.
P L A N C H E X L I .
K» 1. remiJe monolito ou d'uue seule pierre, où éloienl
log<^ les oiseaux sacrrâ; j'ai dessiné ceiui<i <lan9 le grand temple
de l'isli de Pbile; il j en a deux de inéme grandeur, ils sont
placés au fond de deux sanctuaires.
K^a. Plan du même l>etil lenijde.
S" 3. Pone latcraledupabisallenanl aux temples lie Tbebes,
situé i Medmel a-Doii ¡vojea b: leinjile pUuebe XLV, a'1].
K° .1. Soubassement très parlieuber de. bjcons du même
pilais. Oli l'on trouve la premiere idée des caibtides.
S" 5. Fenêtre du mimo Hais.
Vue d'ui) temple deHjcbesi Kournou-, ilesteiieombré
do mauvaises fabriques modernes, qui se composent in-s pilloresquement
avec la sévérité du style antique du mouumentol son cmt
de délabrement! saformc, différente desautres temples, en auroil
rendu le plan inlérrssant; mais, outre, b dilDculié qu'op|«>soil
laruiue de l'édifice, les cireoiistanoea ne m'ont jamais permis de
l'entreprendre i son eufouissemenl et la lourdeur de ses dimeu-
Mons ajoulenl encore i l'aspect colossal de sa grandeur effective-
P L A K C l l E X L I I .
S° I. Plan d'un des tombeaux des rois i Tliebcs, le premier
que l'on rencontre i droite, dans Li .altó des morts, à l'ouest
decetteville; A, l'entrée, dont on v-oit b vue, même pbuche,
n°a, creusée dans le roeberi le« parois en sont revêtues en stucs
décorés de peintures; le plafond est une voûte doni la ligne est
surlxiisse*; le trois re]»«, dans cette premiere galerie, peuvent
avoir appuyé des portes ; les especes de tribunes, marquées B,
doivent avoir servi i déposer, ou des corps, ou J<.s ügurt:s, ou
des offrandes, d'autant qu'il J a une espèce de soubtssemont i
hauleui d'appui; les lettre. CC sont des especes de nielles au
même usage; DI), d'autres iiicbcs plu. unnde.s pour j placer
peut-être de b musique dans les cérémonies; carj'en ai tiouvi
de |>eintc dans des i>ompes funèbres; £, la chambre sepulcralc
avcc le sarcopli.tge de granii de 3 pieds de longueur, sur 0 de
hauteur, et C de largeur; sur le couvercle une ûgure en bautrelicf,
couclié. à i>llt, coilfee et véluo en lial.it sacerdotal, qui,
selon toute apparence, étoil le costume de céremonie tle-s initiés;
le sareopbage est tjuven, el le couvercle roniim; la piece F
pároli avoir eu une porte parliculicre, el avoir été un sanctuaire;
celle luaKluée Ü , qui se-inble aussi avoir été femiek... est
ler.ninée par nue cs|>ece il auuri, qui lient tout le fond de la
piece, cl jiaroil a.oir été distince i poser dra offrandes ou des
figures sacrées ; trois lectistcrncs sont peints sur b paro, contre
laquelle esl appuyé cel autel.
K»!. Ouverture du rocher qtii sert d'entree au loiiil«:au.
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doni le plan vient d'Jlre décrit ; cette entree p.roit prise au liasaixl,
et bissée i totile sa rnslicito ; éloivee dans le dessein d y
apposer des rociters ut de perdre aiiai b trace de l'existence de
ces monumcnls l«iul-les consacrer par l'oubli a un étemel re|«i?
mais alors pouinuoi oelte ¡wmpe inlérreure? ¡«urqtioi celle
vallée consacrée è cet usage?
Avec la vue d'une de ces ouvertures on a l'image de loules 1rs
autres; car il y a pe-u de différence entrv: elles, ou ces .l.fUireuoes
im sont d'aucune iniporlance; les portes se ressemblent toutes,
elles sont toutes décorées du même bas-rclict eu forme d'allique
(v-oycapbnclie a x l I , n ° i o ) .
K» 5. Plan d'un autre tombeau 4 deux issues : le sarcophage,
qui est brisé, étoil dans b piece B, enuc quatre pilier, qui
portent le pl.t/ond; c'csl il b lettre D que ajut situées Ies|.elite5
chambres que j'ai décrites, planche CXXXV, dans lesqucLc.
sont pcinucliacuni pan le.s attributs des sciences, des ans, el
des métiers.
4. Sécropolis de thebes, situé au notd-ouesl de cette
ville, sur un plateau de la partie basse de b cbaine bbyque:
cette pirtie desserte et aride étoil i.ar sa nature dévolue au silence
de b mort.
El. laill.viit U: roclier sur un plan incliné, trois eêtes onl offert
loul naturellemenl dei escarpements, dans lesquels on a creusé
des doubles galeries, et derriere dos chambres sépulcrales; ces
excavations sont innombrables, el oceupcut un espace do plus
d'tnie demi-lieue quarrée; ils servent i préseul de logement aux
liabilints du village de Kournou, el » leurs nombreux troupeaux.
Il scroll très intéressant d'observer les détails de ces lombe.
atix; mais la jitemier« fcisqueje les vis j'y entrai avccDe-saix,
Cl nous iR'i.sàmes y êlre tués i coups do piques jiar les liabitauU
qu. s'y Cloient cacl.és i la seconde fois on nous y tira des coups
de fusiU ; la derniere fois nous y él.ons allés poup faire la guerre
aux luibilants, ct,lapaix faite, on ne voulut pas les tourmenter
par une visile domiciliiire.
N-» S. Vue de ee que l'on est convenu d'appeler le Jfemnonium
sur brive gauche du Nil (voy« le plan, planche XCXIII,
n° 5 \ A gauche de la vue est la rtiine d'une grande porte, couverte
de bas-reliefs barbaremcnl composés, représenlant une
bataille; entre cette grande porte el une autre csl un c oW
renvoreé. dont les frogmenls de b ruine ressembleitl au charnier
d'une carriers ; la totalité de ce monument se dirige d'orient en
occident, et ani voit presque jusqu'à la base de b cltaîiie libyciue 1
les arbres que l'on voit sont des palroiers doura ; el ainlessous
des arbres est le pie<l de la SUllue que l'on atiroil pu apporter en
Pur0|>e, et qui aureiit pu donner une idée de la preiportion colossale
ik ces espèces de monuments ég}ptie..s.
P L A . N C H E X L I I I -
K» .. Le voyagsur aime » joui"»"
qu'il cherebe, à le voir de loin placé dans un plus grand espace,
à en c=m,.trer les masses, .1 en cmbmsser l'ensemble, comme on
aime à ol,erver le pe^onnags auquel on va avoir affinre ; le
isctenr doit avoir la même sensation : c'est eequi m'a Ciit prendre
souvent des vues irès éloignée., «ui semblent ,1 abocl nofTrir
e ligne vague. I à l'examen de m dei.elites c
loiiograpltiques, qui ont m. genre d intérri parlieuber ; eelle-ct
offrrioutebv.l!ée.lcl'Égypie,lcm.ine\:U'est,ègauchedus|,eetaieur,
mrlachjinearabique;stidroile, à l'ouest,par b chaîne
libyqueileneuve,<lanshlraverséedel'cmphcemenlde'thebe,,
court d'abord du sud-est au nord-ouest, re-vienl
.td-esl. linage rire droite sont les
de restami«! celles que l'on voit au
milieu el'quisòtit connues sons U dénomination do Karnak,
celles qtti sont plus loin cl du ntsmc bord , sont cclissdu temple
qtii est à Luxor ; l'endmit où sont deux statues, que l'on découvre
lie cinq lieues, est le Memnonium ; derriere sont les temples du
vill.-.ge.leMe.Hnola-Dou, et en se rapprochant toujours sur la
droite Kotimou, qui sont les cinq points principaux de l'empkecmenl
de l'ancienne Tliebcs , ceux où on rclronve ses grandes
rninos. . ,
a. La vue du gond temple do Karnak el d une partie de
l'cmpbccn.enl de son enceinte; b qualité s-thne du lerram de
celle p.irlio ilu siK de 'niel», a décomposé les grfs , et produit
des ehoulements, dos snussomrnu, cl une corabustioii qui
iroublcntl'.ulelligencc des plans de ceno ruine immense, qui.
dans nombre d'aspects, i.'oCre plus que l'i.nage d'uu ebaulier da
matériaux, an milieu desquels commence 4 s'élever l'édifice
qu'ib doiveul achever. Un inrcourai.l J plusieurs reprises ujiis
les points de vue que présentent les partiesdeee grand ensemble,
celui qui m'a ¡.aru laisser voir le plus de formes qui pussent servir
à intelligence de s,m plan, est celui que j'ai pri. de b porte de
l'est ion voit d'abord sur le devant son mur d'enceinte c«juverl
d'h.éroglyplies, les deux galeries, la grande cour, le sanctuaire,
fiattqué de deux portiques, les obelisquoe , le» grandes avenues
de colonnes, les portes, et au-delà de b cour les deux granils
moles quiservcnld'entréeib partie opposée; i gauche ce qui
reste des pieces d'eau, des monUcules, des ruines des autres
édifices contenus dans b même cireonvallaüon, et tout au fond.
de l'autre cite du fleuve, bchalnelibyque. Cl b monugt.eou
sont les tombeaux des rois Cvoyea le plan, planche LXXXVIII).
K» 3. VuedesmérasBmonumcnls,prisedelai«.rtedusnd.
la mieux coiaervco et la moins enfouie; on voit encore quelques
sphinx de l'immense avenue qui la précedoil, 01 qu. arrivoit
jusqu'à la porte d'uu temple particulier, donl on voit la porte
(lani|uée de .leux mOlss ; dans le fond est la pirlie latérale du
grand temple, dont b n° » , nu-me planclie, est la vue ; on n'en
voit que les deux grands môles ruinés, bseule colonne qui rests
dans la premier, cour, et le cotmnencomenl de l'avenue de.
colonnes colossales ; à droite, de la porte du sud, esl une etlsrne ;
sur Is premier plan à gauebe uns partie du t illage de Karnak.
P L A N C H E X L I V .
N" 1. Lesde.ucsLituesqu'ilestconveiiud'.ippeleflessutlura
de Memnon,sur l'une desquelles sontinserilslesnomsde.savants
et illustres perMunages grecs et latins qui sonl ve.i.us pour entendre
les sons qu'elle rendoit, dit-on, locsqu'cllo eloit fr.ippee des
premiéis -ayons de l'aurore; i-rmi ces noms on trouve celui
de l'ilupcratrice Sabine , femme il'Adcien.
3-ai choisi le moiiu^itt du lever du soleil, celui OÙ des voyageurs
arrivent pour enlemlre; ce qui tout 4 la fois présente e.« monuments
d'une matiiere historique, les orientent, el fait voir Vellet
de b tramée d'oinhre se projetant jusque surb base deb chame
libyque, couverte deiombc.iux.
La ruine que l'on apperçoil auJeli dss statues esl celle du
Memnomum.
K» a et 3. L'éui de destn.clion des figures ci-dessus. J'ai
fait le porlrail fitlele des cassures, el mis les figures vivantes
eu proi«rtion exacte. Le n- a est celle qui ssl en avant dans
la vue ; elle esl dessinée à sa païUe nord ; celle n= 3 est l'autre
statue prise à sa panic sud, et qu'on esl convenu, je ne sa!»
,„r quelb préférence, .l'appeler b statue de Memnon ; du moins
c'csl sur les jambes de cslle-ci que «mt inscrits en grec et en
blin l.'S noms de ceux qui sont venus pour l'entendre. Il faut
l»enobserver .|UC les n" 1 et 3 sont deu» dessins riit! 4 i>art, que
Iad,re.ellon de ces deux Sgures est la même, el que si ces dernières
paroisscnt se tourner ledos, c'est que le soleil doit si ardent
lorsque j'en ai fait les dessins, que ce n'a pu iire que respectivement
i l'ombre de l'une que j'ai pu dessiner l'autre.
Bles 01.155 pieds d'cle\ationi elles sonltl'unscul bloc; posées
sur un sol élevé, et s'api>orroiventdecinq licúen.
P L A N C H E X L V .
i5. Le Memiionium , le m.Hne monument que j'ai déjà
décrit planclm XLII, n= 5, celle vue-ci a été faite à b panic
M» a. Le petit palais qui est près du grand teii.pb de Médinel
a-Bou; (voyea-en Is n» 3, plancho LXVI); c'est le seul
monument qui éviilcmmcni ne soit pas un lerople, et cepeu.
dam il y éloil encore conligu; il a un étage, des fenêtres, de
petites portes, un escalier, des balcons, ( voyes en les démis
pl. XLI, n' î , Í et 5 ) aussi solidement construits que les edifices
sacres, il est également couvert île bas-rclict: leseirconsiaiices ne
m'ont jamais laissé b libcrui de Iss dessiner; les soulMsscmcnls
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