( xxiv )
• même Jsns I.1 misse du roclier, <!to;ent leplus soiivcm 1 prine
éljjiicllcM : cb.-iqu« clinmhrg ile cn lonilaaiK, <IC7 sur 10, cl de
8 sur II piecli, csl consummtril revalue en ituo avec d» peinlur
», cl cQnt;entmc,<leui, crois, ou quatre ligures.
P L A P f C I I E LXXriI.
V I. Vue li'uoe me de Djiigie. A droiu;, li mlison d'uD
graud; le mur He eircon.ùLalion en fait un qujrUer qtiise fcrme.
en eMd'intjuielurle ,»)litiqueou de guerre ouverte, p.ir la porte
dont le pjssnge reste libre <bris loillei les autres cireonsUmces.
Le Caire étoit ol)»lrtiê de nombre de ces («rlei ; chaque bej.
clntiiie grande cliirge jtoii son quarlier : la premiere operation
du fooverutmenl fr.int"ii, en emr.int dans «lie ville, fut d'en
eiile>er tomes barricres intérieures. Derrière e>'lle-ei on spperçolt
une rnaisoo i»rlietiliere, comme soin bStie« U)uu« celles do
In hauur %pt f ! U.IIS les (ilases sont e0Qs.leris > la innltipl,cation
despi^ns,donller.ipporlleplus ulile est le|ircduitdela£ieille,
qui sert i la eullure des pajteques et des nieloui. L'ediûco à
droite est un minaret nvcc sa galerie, d'où les imans appelteot
les fidelesi la priere; en loul, cette vue pieseole l'image naive
do la rcncoatrc d'un coin de rue, ce qu'on ne s'avise jamais de
dessiner, el ce qui pins qii'aulre cliose rcnil compte d'un («lys !
elle a Clé gravie In-S spirituellenicnl par le eilejen Pillenieul,
artiste distinRUe.
î)°a. Leeliileaude Cenoiitliali ou Benoiitb Aoyei le ioutnal
pas- '79? • moment où le feu prend i une petite mosqllie
quic^otenoicles iwmilions Je l'ennrai.ct le» Ciil sauter;
sur le devant est'la seule J>ifce de «anon que nous enssious, avec
Uqnelle, dans l'impossibililt! de l'aire krecbe dans des niui3 de
lerre, nous brisions la porte pour Cicililer l'assaut
P L . \ S C H E LXXVIII.
K» I. Mauiere de ,»sser le Kil assis sur un double faisceau
de [»aille, avec une eourle et double raine, les jan.Us s.i-iaiil
d'avirons; les lubitanis de la bautc Egypte Iroversenl ainsi monliwet
descendant le Nil, iU tiennent à l'eau deux cl trois lieures,
jusqu'à ce qtie la lajelne soit absolument imbibée. Lorsque nos
marches se dirigeolent veis les villages situés entre le iléserl et le
neuve et proche de l'un et île l'autre, les fcmines et les eufanli
étoieni envoyés en avant dans ledrêeni et le reste de la population,
lorsqu'elle nous vojoit arriver, se lançoilà i'eau sur auuint
de ces fagols; uous regardoit [.asser île l'autre rive, et
reveiioil dans les liabitalions des que nous étions éloigiiM.
Les deux figures qui sont aunlessous de l'homme qui est dans
Tacte de passer sont celles du bateau et de la rame pris g
N= a. 'i;ne assemblée de cli.iklis i le sentiment de veriui de ce
petit dessina donne au ciu>yeu Berlaur le désir de le graver; et il
t's fait avec tant de talent, que j'ai cru devoir le joindre aux autres
productions dont cet liaUleartislo a décoré mon onvisge.
Il a été question de eette assemblée dans l'espidition de la basse
Rgjpte ( voyea le Journal, page 65 ).
H» 3. Combat de Birambar, et mort du général Duplessls
^ voyez la Journal, pageigi).
P L A N C H E T.XXTX.
N° 1. Pours égnmens.Cespetitesbîtisses, élevées en un jour
et pouvantseoir le lendemain, sont d'une grande commodité dans
une expédition ; les Arabes pour ces espeees de constructions sont
d'une adresse et d'une célérité ineonce\'abb}s : on tst encore plus
étonné du peu de combustibles qu'ils consomment pour cuire une
très grande quantité de pain nu liscuit (i-oyes le Joum.,i>ag. :3o\
a. (Juartier-général dans lesloml>eju», présNégadi.Cetu:
triste ¡labiuition, que nous avions été très heureui de trouver dans
le disert, nous sauvoit de Vardeurd'un soleil presque insupimrlable;
on peut prendre une i<léc du dénuement de sa sltualion par )a
vue extérieure de cet ,.klirice plancbe LXXIII, n° i ; la scene repnïeute
le moment oii les paysans de NégadI nous amenent des
MeXkains, qui, après leur dér«ule, etolent devenus autant de
voleurs qui désoloient le pys, el (pie les Égyptiens prenoienl cl
tuoient par-tout où ils les reneon iroienl. La srene se pasv au
milieu de la nuit i les Arabes de Négadi arrivent avec leurs prisonniers,
éclairés par des cspecrs de torcbrstloiiton fail beaucoup
d'usage en Egypte dans les marches de ntitl; de l'antre côté wnt
nos in ten dams copines et nos interprétés ; dans le second plan,
le général Ilelliard,son étal-major et moi; Cit effet, asscs piquant
pour b lumiere, donne une image vraie de notre maniere d'Otre à
cette époque (yoja le Journal, page iggj.
P L A N C H E LXXX.
fT* t. Un irailgéoméml du couronnement d'une porte d'ApolllnopoliS],
ar^'a, aujourd'hui Qouss, dont le n° 3 est la vue pittoresque.
Ce fr.igment se trouvant i portée, j'en ai mesuré avec
csaclitude toutes les courburM et les dimensions de ses lUiUiils:
le plan et l'échelle sont au bas de la ligure.
M" a. Inscription qui est sur le listel du couronnement de la
porte degouss isa partie sud, qui étoit sans doute l'entrre du
temple dont cette porte faisoit partie: cette dédicace, postérieurement
faite du temps des Plolomées, est actuellement dans l'élat
où je la lionne; k ciuayen )>arquoi, avec l'attention et le soin dont
il est capable, el avec les lumieres qu'une longue élude lui ont
acquises, a failaui U-Ilres fragmenlres 1rs reslitiilions ponrtuécs
que l'on voit 1 la iroisieine el à la iiuitricmc ligne, et b traduction
qui suit.
Il m'a accorde les mêmes konti« pour rmseripliou que j'ai rapportée
deTintyra. que l oiil>eul voir dans le Journal. j,age an.
3. V'ucpiluai^squeduMll.ige de (^ouss, et <lu inoniiment
que l'on voilau milieu de la place, le seul rcsic de la ville antique
d'Apollinopolis parva; le contraste de la gravité de ce seul frag.
meut avec unis les édifices arabes dont il est environné est
eucore plus frap|>aul dan¿ la vtfrilé que dans la gravure : si l'on
rouilloiteiiavanide celte ruine, on irouveroit sùremeut les restes
du u-inpledunt cette (orle faisoil liarlio; l'eibaussemeilt de celle
placea été la suite des cousiruelions, rubies, et reMiistrnctions
de méchantes baraques arabes Ciites sur les combles des antique»
édifices, puur se loger d'une maniere plus assurée. Ce que l'on
voit au-dessus du listel de eette[lorUî est encore un resle de mur
de ces espeees de fabriques. Le squelette de cliameau qui est en
avant rappelle un usage éttibli eu OrienI de ne point trainer hors
des «lies et des villages les corps des animaux qui y mcurenl,
d'en laisser infecter les liabitations jusqu'à ce que les corbeaux,
les vautours, ou les ebiens, auiquels les liabitanu ne donnent
aucune autre nourriture, les délivr.-nt de l'odeur infccu; de ces
cadasTes lildeux.
P L A K C l l E LXXXL
1. Fonlained'El-Adlioul, dans le dési rt, entre Qénell el
Cosseir; la roule traverse en cel endroit la eliainc arabique, ou le
Mokalam . qui borde toute la partie orienlale de l'l%;)ite supérieure
entre leSil et la mer Bouge: ces rochers, de schiste verd
paraemé de quarta, ressemblent au marbre verd antique ; les montagnes
du fond sont scliisteuses et roussJtres; au milieu de l'estampe,
sont les e:tcavattons delà roche, et la fontaine donl l'eau
est fraiche el asseï bonne i totis ces groupes sont des portraits
fldeles deno're halle en allanliCosséir ^voyelle Journ., pag. ai 8).
N»a. Arrivée des Français à Cosséir; la mer Rouge dans le
fond ; la rade de Cosséir avec les barques de lamlio, telles qu'eLe«
yétoient lors do noire anivéeiàdroite, leeliâteau.irabednnsl'état
où nous l'avons irou» é, le canal, b ville, la plage bllm-he el nue
sur laquelle se dtcoupoienl les groupes, U'Is qu'ilsseprésenlercni
lors tie noire arrivée ; les Arabes qui nous avoient aecompagne's
suivent la députalion ties liabitants de Cosseir, qui alnrtlent le
général Celiiartl, coinmaiidanl l'eipédition; les Français, descendus
de leurs chameaux, viennent de se former, el l'artillerie,
marchant en ordre, va prendre possession du chiteau.
Celte estampe , gravée par llerlaux , esv il ineltre 4 c4W des
ouvrages les plus dislingués du célébré Callot.
P L A N C H E LXXXII.
y 1. FonlainedelaKillah:cetlcvue présente le tableau d'une
,( XXV )
caravane en mou^-ment, et rappelle eesmavelies si bien décrites
dans les livres sacres, d.iiis cette bisloire si poélique et si colorée.
qui gravent si profondément dans l'injaginatiou ces scenes pilnar.
cbal™ pK'S des fonuiiiicsdu déserl, ilu desert, où le plus pctitabri
ilevient un monument cité précieux, désiré, cl cher ,'i b niemoire.
Je crus 4 Kilub voir b foulai.ie du jnivnieni où .vbrjLaiu fit
alliance avec Abimelec, le piiils du vojani etilu vivaiiloù Isaac
rencontra nebecca; je crus alisier 4 la sé|>itation de Jacob et de
Ldbau. J'ai rcprcsentéici le moment oii la cara vaue,oudo)ant dans
la plaine, se jierd deja dans l'esi.aee, tnn.lis i,ue les derniers de
ceur qui l aeconipagnent pensent ii jieiue encore ù charger leurs
ch>ine.-iux-.l'ediaeeprine¡i>,ilestune c5|>ece de caravansérail i«ur
abriter les chefs des caravanes ; les autr« fabr.,|u., couvrent ou
cuujurentlessoureeidesdivers.-srontaiues;auniilieuuiie d'elles
creusée en |Hnu- douce, abr.-tive ks atiimaux; sur le devant, des
cadavres de chameaux, doul la su)«i.uec, dévorée par l'ardente
••«périié du sol, devient tn-s vite d'une légèreté e.iraorihn.iire, et
leurs os bbucbis Iiiarqueut jit-ndanl d« siecle» Li route aux voyageurs,
Cl leur servent encore de guide dans l'obscurité <les nuits,
toujours transparente dans ces climals bi iilaiits.
P L A N C H E LXXXIII.
N=i. Femme d'Égypie dans le Win.
J'j. dessine celle-c, d'après nature; .ojei ,bns le journal,
page 6.',, h cireoustanee qui m'en a fourni l'occasion ; elle est
assisei l'angle d'uu divan, coifc , et couverte descbals; pres
d'elle est uii évenlail de plumes , el ses sandales au bas du
divan.
». \'ue de Cosseir, prise «lu nord au su<l, a^•ec la trisu:
vue des Slcrilescótesdelomerltougeíi). Agauche, sur lede%anl,
ou voit U.-S n..ssifs qui formenl b rade de Coaéir, et la tiefeiident
des Ï.iits du nord nord-ouesl, el dons le fond , le e.-ip qui
l'abrite au sud sud-est. Cene iJage, toute de nouvelle formalion
, n'esl coni|icscc que de madre|lores, doul la jiluion soul
énormes; sa couleur bl.;«l;e, rell^llie par le soleil, en rend
l'asiK-ct ilifCeileiisoulenir. Ce que l'on ap,,erçoiisur le premier
pian sont des élaWisse-luenls araU.-s ; ils sont composés de quelque
» morceaux de boU soulenant de mauvaises nalles , <ous
lesquelles de malheureux babiumu vivent de coquilbges, doul
Us debris forment lous les ustensiles de leur menage i j', ai
irouvé ,1« coffres assea curieux fiits d'éeailles de tortues; mais
o! que l'on ne [k-ui ui jx-indiv, ni .écrire, c'est la tnste auslerilé
du pa>s, c'esl le rigide as,».-et du sol, el l'insupportai,le
rellel de l'ardeur dn soleil sur la blancheur de c-lle ,,[a.e • en
voyant .les itres s'agitantsur u- point, <1 y foem.nil des élablisl''""!'^
'à't (ic ee que l'avance peut faire
allons ¡»ur obtenir le superflu.
verde.
P L A N C H E LXXXIV.
.1° 1. Conseil arabe près iSamalah ' vojei le journal, )>a-e a,5
Au milieu de l'eslam|>e un grand sycomore fjil le plus bel abri
de cell. enceinte; I0U5 les clieiklis arabes <les environs sont ras,
sembles jioiir iratter de ¡irojets unies i la j,rivince, des travaux i
|•aire,lo,lrI•ouvcrtured,seanauxàrece^oirl'^nondalionduíil^ el
de b repart,lion des frais 4 imposer » chaque village en raison des
avantages du r.inltatdes o¡,érations. Ce conseil oloil presi.le ¡,ar
le général français; tout y éU)it discuté ave-c Iranqnilliié, .Irceiicc
et dignité; toni ce qui éloil juste et ulile, de quelque ¡larl qu'il
vint, étoit aussilòlapj.rouvéel adopté. Apriî le conseil le kaimakaii
ou .ommaudant de 1« gendaimerie, chea lequel il se
leuoil, donna ."i souper II lous les chefs, 4 nolis, et au debeliemeni
qui uous accompaguoili c'esl ce qui fjii le snjei de b
planche, u° a , où l'on voit b maison des riiamiis ,ln Vaimakan ,
homme riche, vieux, el eu gran,le considérai ion dans leiiajs;
cesi lui qui, à cause .le sou grand âge, esl eoliche sur le Iii
qu'où voil au milieu .le leslainpe; il csl servi (..ir seseiltanis,
et ne mange qu'av.-c son ,,elit-lils, le filial ne ,K.rmellai,l
pas que le fiU se metu; table avec le ¡.ere, et l'eliquette ne
du litre as ee a», A,«, Vüi dt Cíuíir,
,.rononçanlnenaVégarddup.lil.fils!unlapisét..ndu8urblerrc
« tous les convives à l'cntour ; le général et sou etat-inajcr esl 4 la
parlle supérieure : le. domestiques fon, le j
— - s les plau; a deoile ,1a apporu.n1 le rU et lesautre. mets . b
fumée est l'end roll
. Toujours i droite une
sentinelle en vétlette, et deux estaffelles aralm envoyées en
eoniinission. Derrière le mur d'enceinle est un jardiu avec un
bo,s de palmiers; sue le devant une |,arlie du même sycomore
qui esl dans l'«iauipe de dci^us. Celle habil.ilion n'a l'air au
piemier coup-d'oeil que d'un emplaeemenj ou il y a un anear,
Wnucproprectrafraieliiepardeper¡«ituelsar,osenienls,déeor.;e
de beaux lapis, animé, par une quanlilé de l^rsoniiagesayanl
chacun uuesuile, de b in.gnincenee en chevaux, en armes,
unegravile, une déecnco nobles, une profusion de serviteurs
apjioriaiit 4 chaque instan, quelque chose 4 manger ou 4 boire.
On est sui-pris d aboni d'un luxe nouveau, on s'ap,.cTçoil bieulót
quil a ses agreinenis comme lu n6lre, el l'on Onil par céder
à une ,noll..si,e qui a bien quel.,ne charme ; j'y passai deux jours
«deux nuits, et deja je m'y Iroiivois 1res bien.
P L A N C H E LXXXV,
- I. Maniere de faire le macaroui: la manufacture et loul
4 la fois b bouliquc sont .bns b rue ; un fou,-, sur lequel une
graïule pUque de cuivre esl échauffée-, le niarchand fait tOQÜ«r
une ,,4u fine « liquide, qui se tamise a Iravers les trous d'un vase
qu 11 premeue sur b pla.|ue; au bout de quelques minutes, les
filons depile soin durcis, desséchés, ci cuits par une même
chaleur entreleaue sans rebelle une égale ,,uanlilé de bran,
ches de pihiiiir, don. on chauffe iK-rpeluellement le fonr. On
lie .-spac- de le.ii|», k même degré de
enouyelle_conlinuellemeul.su, bpbq"
Uivan inihiai
1 lestiiielles lesinlfrêts
d« fraui-a,senlroientpour quelque clios.-, au lieu dêtix-jugées
par b iiisti«- ordinaire, étoient porteles an tribunal du Zu,.
niandant de l.a province; el souvent iiiêlnc les Lahitanls deniandoiontque
leurs différents particuliers fussenljugés par le même
tabunahce tableau-ci esl un jugemem de cegeniv., Ugénéral,
pn-s le. drapeaux de la république, a derrière lui deux .ruche!
ments ou inlerpreles, fripions inwress.s, trop ordinairement
pajes des <leu, cèles; 4 gauelie, sur des si.«,, elev, , ,„„i („
aeens,.,eursoi, de.nandeiits ; à terre, au milieu, l'.,,,pele ou accise,
« son défenseiiri à iliv>i„., I« témoins; tout le reste est
1 assemblé. Celle maniere expédilive el aUolue de lerminer les
causesn'eu>ilj.,n.iis suivie d'aucun niunnurc, malgré l'ineonvc:-
nieul des taichemenis, qui etoii bien sûrement le seul qui ,„i,
altérerlinlégiilédesjugcinenis.
P L A N C H E LXXXVL
N» 1. Aniinee vue du Kl : on peut lire d.n;
page a5.1, |,ouri|uoi je n'ai pas donné d'.iuires details ,
resle de cette ville; ce qu'ou en apperço.l est une |,one ou un
are de iriomjihe qui est 4 sou eiiremité sud; ce <|uc l'on voit i
droite soni quelques habiUitions arabes sur l'en,,,bc,.ment de
I antique B.sa, dont les ruini-s m'ont paru s'eteinlre de 14 au
sud.«! 1 la forèl de pilmiers est pbiilee entre les ruines d'An
linoé et le Nil; au-delà le village el saiicuiaire du .-tchek-ihade
donUes habilants se son. conslamnieiit montres tes peu hospi^
E» a. Vue du couvent de la 1-oulie, prise du nord au sud,
sur b rire drone du ¡Sil. (Voyet le journal, page aSy),
K» 3. Autre vue du,couvent de b i'oulie du sud an nord ;
pris dans b direction du eouts dn Sil; on voit le eonveiit isole
domina,Il le desert qui esl derrière a l'ouesl, le ,»js cultivé .1
le fleuve ; il pourroil devenir un ,,osle mihlaire en y fabriquant
un moyeoi d'y arriver el d'en sortir: les cavik^s de ces eoeliera
escarpes sont rein¡,lies d'oiseaux de toutes espeees qui j fon,
leurs ni.ls ; on voit sur le devaill b chaine avec laquelle le,
omines tirrnt l'eau .loul leur territoire est ahsoluiiieni rivé ; on
voit aussi coinmenl ils deni.indent la charité aux |i.-iss.igers, en
.uivanl a b ii.ige les bateaux qui moment el d^eendenl.
l.l'i'
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