P L A N C H E evi.
( xxxiv )
que, lorecpi'il ílort la Louclie ou
i
B
s - I. Portrait .hi p.icl.a qui commaudoil 1« trcuj« lurk™
lu itttorqiicnii'iit i Aliaukir, Co I'm 7 , « qui fut feil prijonnier
h h Imuillc du 7 tliennidor; IjI-síí ai. brw gauctur, cl
<nj-9i>i la <l<rouu totale Ilc^iiciis, il so prtcl^iiu sur cclui qui la
csiisoii, SI UosM It 5<^inil llurat d'uu CDu|) de pislolec (Toyra
U journal, jiijc s5a).
N"». L,i.iilt 4 (iroilo, coiffic d'un Hirbin, «31 celif d'un
jeun« prince ,'ralio de 11 race de» AttiMe», ipii viul faire olliinc«
avec nous npris la dcfailc tics Mamelouk! à Syeni (voyct le journll,
pi>geai5). Ce fui celui qui iious acoompagn,i b premiero
fois que iii>u< alUmcs à Coseic, 01 qui me donnn k illner ¡l.ins le
diseH(voye7.pjge ^aa). IJ lile .S c6lé est cells de sou ouclojils
iloicntiifu Insanii, fori glorieui;, cl fon iuiercssís; leurs mjnierw
eloient cependant douca et polies, 01 Isur caraclero Iranquille.
Le jounc liomme qui a la Idtc nue, eioil un pag.- Eitnri du
jeinie prince; il avoil (le Irès beaux feux, et au prenjier aspect
paioisMjU ^Ire une jeune fille: H monloii un peiii dromadaire
c-harmanti lotit son vilcmcnl eonsisloit eu une saie nyée, qui
lui ceisiioillesreinsiilivôil pour armure, uue lance, uu sabre,
et sur le bras {^auelie une javeline; ses cbe«cu:i, crépus et non
laineux, craicnl parñtmes; noués au*dcssus de la lète, ib éloienl
loulesa eolITure moljrél'ardenleehaleurdu iropiqueeldudOscrl-
N" 3. La lile 1 droite csl ceLp d'un Mamelouk noir, d'une
Sanile beautd, el ofTranl l'aspect d'un de ces héros africains doul
l'LUloire et les couU's arabes UOILS foni coucevoir l'idée ; celui du
milieu éioiiunMainelouk, appavtenaul au ebefElbektl, undes
grands seigneuiî du Caire, descentlanides kalifesi ci îlaïuclouk
etoil uu de SCS favoris ; il dcvoil épouser uue HIIc de sou luaJtie,
el fsisoillcs lionoeilre <Ie s« maison, lorequc, quelques jouraavant
le départ de Bonaparte, ce scignenr lui donna une file, 1 l'issue de
laquelleiiimagina delui 6ire présent du jeune homme qui l'aroil
»crvi: |>ar hasard il fui celui qui accompaguoil Bonaparte le jour
qu'il p.irlil du Caire, cl fui eelui de sa nuises qui fut amené en
Crancc; tanl le sori qui agii sur loules nos destinées inlliie plus
puissamment encore sur celles de eelle espeee d'Iiomme né pour
apparlenir jusqu'àee quelle commandeI Les deux lèlesâjauchc
seul celles d'un jeune noir de Darfour, desi ine aussi a être un Mamelouk,
el qui, lorsqu'il lo'écbut en parcage, faisoit sa premiere
éducation auservicede» femmes, auquel sont implorés les jeu nés
esclaves jusqu'au lemps où on commence i les eiercer aux armes
e< I, l'équiuiion.
P L A N C H E cvn.
!i* 1. Tí'i)orlraiiiKnicuxkaniiak.-in ou commandant de la gendarmerie
de la province de Kené, chca lequel nous logeimes prés
Samala(voï«le iournal,,,.-.5.. a d'i. Beys ou commandant
de barques sur le Kil. 4. Un liabilanl lies licrds du Sil au -delà
des cauiracles. 5.1.e fellali, l'homme dr journée, le sert i leur des
serviU-urs, ladeniiere classe de la société.
N° a. Unmendianl deBoubc: il savoit qu'il a>0.1 une belle
figure, el ne s'étonna pas de me I.1 voir dessiner; il filisoil seinblanl
d'être imbécille auprès de ceux seuleineni auiquels il pen.
soil quccelainspircroil plus d'inlérél. a el3. Deu» léles d'adgis
maugrabiiis ou p.lm.,sdu nord, revenant deb Mekke; un mendiant
du Caire qui avoil b barbe et b elu:velure du Jupiler des
Gi«s.
ÎCS. Mulej.salamé, lefrere ajné du roi de Maroc ! il reveno
» de la Melke, el relournoil dans le rojaume où il avoil été
roi, pour savoir apparemment ee que le sort avoil ordonné de
lui 1 sa démarel^e doit aussi noble que sa peisooue. Deux Turks.
P L A K C K E CVIIL
I. L'iclineumon.
delà famille des r
lu aussi sou< 1 t dr Pha.
iustcs;il se cache le plus souvent S
dans les marais, près des villages,
•1 le. crufsii'en.iTude la grosseur
travers de! joncs, el se
donili ta deiober tes pc
d'nneloulreeldu mêmejod. I.'indIviduquej'.ii dessinééloil jeun.
Cequci'onraeonle de l'anlipalLie dei'icliueumon el du crocodile
que le premier non scule.nenl mange les etufs de l'autre, mai
,erlc,ilfrancWl son gosier et va
lui dévorer les iuleslins, csl une des nombreuses fables ridieulcs
que l'on tail du crocodile : ees d.us animaux n'ont jamais ncn i
déniéler ensemble ; ils n'hahilent point les mêmes parages; ou ne
TOII point de crocodiles dans la basse Egypte ; on ue voit point
d'ichneumondans la baule.
S« a. netix moines cophles (vojej l'arlicle Cophte dans le
j0um.1l, page 59 ) : le iroisieme «droite rsi Malem Jacob, personnage
distingué et d'un mérite remarquable; il avoil fait les
campagnes de Moiirat-bcy llans Ira guerres «le ce bcy contre les
Turks, et en éloit fort eslimé el fort regrcllé; il avoil embr.issé
notre p.irli, el y a été eonsiammeni fidèle; il rnpeetoii Desaii,
rtluiétoillrésatlacllé; il lit avec lui, comme inlendanl-genéral,
.loule l'expédition de la haiile Égjqile, et nous fui loujours d'une
grande ntililé ; il joutssoit d'une forrane considérable et d'une -
ha ule considération dans le pays; il déplojoil un faste oriciilal,
qui éloit d'unr opposition très remarquable av-ec la simplicité de
son général. Lorsqu'il apprit qu'après la mort de Desaix on s'occupoil
de lui élever un lombean, il éorivilqu'i quelque somme
que pusicnt s'élever les frais de ce monument, ils'engageoil S en
pajer le tiers, S condition qu'on inseriroii sur le mausolée que
Malem Jacob, l'ami de D.-saix, avoil loujours combattu près de
lui; il y adans le senlimeni de celle phrase autant tie sensibilité
que d'autour de la belle gloire. Ce brave homme , ce prodige ilo
sa race, qui avoil suivi les Français dans leur retraite, mourut
dans la tr.iversec; el les dernieres paroles qu'il prononça furent
pourdemandei quesoueorps fût déposé d.ms le lonibcaudeDesaix.
N«3. i,a, 3. Trois autres Copbtes- .1,5, sont des cheikhs
arabes. 7. Le bon et lionnéte cheikh du village de Chaabbas-.Vmrs
dont je i>.rle daus inon journal, page jr-
P L A K C I I E CIX.
K" I. Un poisson du «il, doni route ia peau du \-enlrc fail
one seconde ressic.
N" 1. Elude d'une lète de eliameau, qui cric h>rsqu'ou ic
charge trop ou qu'on le eliargc lual; car ee bon animal ne se
plaint quede l'iujusliee, encore faut-il qu'elle soil extrême.
N-S. Téled'unArabebédouiu (voyelle journal, page ia).
a. Un cheikh de Fua; son teint brun el sa barbe blanche (aisoienc
un beau eonlrasie, ils m'olTroienl l'image de Uban. 3el Deux
frères cbeikhsde Ballasse, d'un caraclerc raphiéicsque.
QualreArahesieefurenteeuxquifurenl nommés municipaux
par le peuple de Ruselte lorsque b gouverneinenl mamelouk
quitta celle ville i l'approche de noire armée : le jiremier,
à gauche, fut choisi, pareequ'il eioii brave, el avoit ramené
une fois les femmes deRoselle, qui, albnl pleurer liors la ville
sur les tombeaux de leurs parents. avoleni été enlevées par les
Aralies ¡lu désen ; le second, parcequ'il etoil le plus doux el le
meilleur; le Iroisieine , parcequ'il éloit éclairé; le quatrième,
pareeque c'etcûllc personnage le plus riche et le plus distingué.
Peul«)n mieux composer uu corps des decisions duquel b société
va dépendre > Si chacun de ces hommes avoil eu les quahles de
tous les quatre, l'harmonie de l'ensemble n'etjl peut-être pas élé
aussi p.irfaile.
P L A N C H E ex.
K- I. Tiles d'Arabes.
Toule la premiere lile a élé prise à une assemblée de notables
dans le moment qu'on bur faisoit Iceluro d'un manifesle.
I.M lieux premiers de b seeonib file , deux cbeikhs de Faa.
dans b basse ligypiei b Iroisieme, le donicstic|ue^ui m'a servi
dans toute l'cxpêdiliou, aus..i distingué par le caraelere moral
que parb noblesse des formes; il avoil non sculemcnl toules les
qualilré qu'on rcchercbc dans un serviteur, mais louU-s celles
qu'on peut desirer daus un ami: il n'a renoncé k ntc suivre que
parcequ'il n'a pu résister aux justes regrets el aux larmes de sa
mere ; c'esl le seul être qui m'en ait fait verset en quiiunl
l'Bgypir 1 je ne me consolai de le perdre qu'en lui donnant uml
dcehoses, que touu-s rassemblées je pusse penser queje lui assu-
• fou.
. Un Juif de Jerusalem ( voye:
( XXXV )
journal, pageStî; 3, un primat d'Alexandrie, homme plein d'esprit,
de noblesse, et de grace, mais dont toutes les qualités étoient
gltées par un orgueil désurdoniui; 4, un aulre Grec de Boscttc
( voyci l'arliclc des Grecs daus b journal, pge Gi J.
P L A N C H E CXL
S" t. La sauterelle du désert, la plaie de l'Égypte; elle ne
doit |)oinl ctrc confondue avec les autres saiilerelbs grises, dont
les eh.nni^is, et ¡isrticuliérement ceux de la basse Egypte, sont
couvcru, sans qu'elles y causent aucuu désaslre 1 celb-ci, cuuleur
de rose el uoir, de la même grand.-ur de l'esiainiie, csl
vraiment uo Iléau ; elle sort du désert, |>assc et ravage comme
un Ujrrenl dévaslalcur. Je ne puis juger si dans une saison où
elles auroienl ti-ouvé piture elles se seroieul fixées divanloge;
mais, dans la saison secLe où je vis arriver b colonie, elles
avoient l'inquiélude el l'inslabililé de la f.iiin qui ne Uouve lien
i dévorer; sauvages comme b ¡.aj-s d'où elles sonciit, elles sonl
scohes et vigoureuses comme les autres bablt.uJlsdu désen (voyei
b journal, pageaiS).
K° a. Vieillard aveugle condiiil par un enfant; groujie qui,
pourelre malLeureusemeot trop répété en Êgvple, u'en cal pas
uioins louchant.
y 3. l'Ole d'un meudiant du Caire. Il ^rcouroit lea rues
tout le caraelere du Silène antique; je le vis le jour de l'insiirreclion,
el j'espérois troim-r un moment jiliis o|.|iortiiii (our b
dessiner toul euUef ; je ne sais s'il fui viclnne de cet i-\-ene.
menl, mais je ne l'ai plus revu dejiuis ; a, 3 el 4, sont trois
croisés de la Mekkc; e'éloieni de b,-.ux el vigoureux hommes,
que b malheur des circonstances nous obligeoit de regarder avec
horn.-ur.
U n" 5 csl un habitani de Benboulc ; j'ai dessiné lous ces personnages
jiendanl el après b siege tlu cbàleau de ce village ^voyez
page .80).
P L A N C H E CXn.
K" t. l'èle dans l'intérieur du harem. Dans des instants de
faveur le mari, b maître, le seigneur, fail venir des aimées pour
réjouir la femme qui est devenue enccinie, ou qui lui a donné un
nis; celle-ci couchée enlre Iw jambes de sou époux lui |irésenle le
surbcl, tandis qu'il fume et faitexi'culer des danses voluptueuse« :
bsaiméesaltcrnaliremeiltdansenl.chanlrnl. cljoucnldesiustrninenis.
Les ligures à gauelie sont des esclaves qui ticnneni des
ijfraicliisseinents;surle devant, une négresse joue sut de pctilcs
timbales, plus en avant encore est un profumitoire; idroile, un
candélabre à l'usage du pays ; Viuslrumeut dont joue le deruier
|>oisonnage i droite est un petit tambour eu terre cuite, sur
lequel ou Ctapi>e plus ou moins fort avec les doigU, ce qui esl
d'un effet très favorahleau niouvemenl de l'air; celles qui dansent
ont b |>lus souvent i b main des cjstagnelles, qui ont la forme
dejKli . du iliaiuelte d'un c cbAüiie.
e 65;.
a. Toutes ces lèU's sout celles de eheikhs de Koumou,
que j'ai dessinées pendanc b dernier séjour <|ue j'ai ùiiaThebes
j voyci b journal, pageaSo).
P L . i N C l I E CXIIL
Des fragmenis d'hiéroglyphes que j'ai r.ipiwrlés de Thebcs; je
li-s ai d.-ssiné,.le grandeur ualurrlle, |ioiir bire eonnoitre le slyle,
b caraelere, et k-s diffen-iits genres de ces esiieces de Uis-reliefs,
soignés dans leur exécution comme de l'orfèvrerie ; ces fragments
\ienneiii de tombeaux particulbrs, silués à ini-cùte de la cliaine
libyquc, i l'ouest de t'iiebes, creusés daus une roclie de pierre
calcaire orgilbuse, el »euljilrâ dans la masse du rocher.
Toule faulasliqne .¡u'.-st la lèle du lion n" a, le caracleix' en est
gi*atKl, sévère, et mouutneiilal; b lèle dr serpent, celle de gazelle,
el celb d'cpervicr, sonl pleines de vie, et cul b souplesse
el le moi-lleux de la nature ; ou n'auroil qu'un seul fr.ignicnl antique
eorami; uu de ceux-là qu'il fautiroil pcnseï- que U nation
qui l'a produit èloil très avancée dans les arU,
La grosse léte qui est au milbu, sculptée en creux el relief,
esl peinte; u physionomie peut servir de type au caraelere des
figures hiéroglyphiques, qui, selon loule apparence, etoil lulioual,
les Égypüens paroissant n'avoir rien enijituiiu; des aulres nations
dans It's arU.
J'ai |>eusé que celte pbncbc à b télc de la oilleclion des hiéroglyphes
(«urroll lui servir comme de frontispice, faire voie de
près et presque toucher les olijeu dont ou u'alloit voir que le
simple Irait.
P L A N C H E CXIV,
Cette planche esl composée d'une espece de coUeelion de
ligures, prises isolément par-Unit où j'en ai renconlré que je
B'avoispas encore vues. Le nombre de serpents qui eommeiiceol
du 11*^1 jusqu'au n^ 13scntprisà L^lopulis, au pbfonddu porliqui;
dn temple, qui esl sur b place du baurd à Lssené. Ou imirroii
ranger loules les aulres ligures dans la classe de celles qui lienneul
le milieu entre la figure hiéroglyphique el le airjetere cursif, el
l'onpüucTOÍl.ipiH-lereeUecalégoriccaraclcresiuscriplifs.Lesti°i8
el al sont des figuies simplifiées, se rapprochant du eatacitre de
l'éeri lure; celb aa csl une espece de lézard, paniculier a-l'ligypic,
el que l'on voit k plu» souvcntd.-ms les maisous;ji iicl'ai jamais vu
sculplé qu'une fois ¡1 b partie exléiieure du graud temple de Tiutyra.
Len" aîest une (toile peisouuifléc; je ue l'ai vue de mémo
qu'une seub fois. Les u°3i, 31,3.1,et 3i|,santdes figures souvent
répétées, qui, plus simplifiées, soDIdevenuesdcsIellres; n*^."10, une
oulie ; je l'ai trouvée souvent ; u" . deux figures grouj>rts, et
dans un nioin-einenl qui i>at-loul iiilleur» les feroil croire du
Huinaiemesi«b,el de l'coole de Miehel-Ange; j'al trouvé deux
fois ce mime caraelere daus b lempb d'Apolhllopolis magna i
Eltu.U-su°47 el 5.i, l'emblème de bgénéralion; il me seul bb que
bs Egjpibus n'ouï eu aucun scrupule à exprimer eeilc idée par
la figure de b elwse même 1 j'ai trouvé ces signes sculptés dans bs
temples, «souvent repeles. Je crois les n'Soelji un uilometre.
Len° 77 m'a semblé uu ballot, i|ui i>ourroitèlre l'emblème du
commerce: 78, uue Isis, emblème de l'eau, ou leKil lui-même;
79, un pigeon i>orl3ul des labletles; voilà di-s ancéircs trouvés a
ceux de Damas ; je n'ai rencontré ce signe <|u'unc seule fois âTinlyra;
n" So, une lêle avec l'expiession de l'effroi, qui son du
caraelere égyptien ; elle est cependant très ».io\-enl rrjoeléc paitul
les figures isolées;n'' 100, un lenipie monolile, fermé, ele., etc.
Tout Le que j'ji hasarde sur ces signes ne sum que les idées que
b vue, b tionibre, la conniaraison, le lieu où je les d;irou\-és,
m'ont fait niiiro, et je les abandonne absolument aux sysléuies
lumiueux des savants qui se sont occupés de ce genre d'oliservalion;
je me irouvei-ai asseügbrieux d'avoir été daus b cas de fournir
de nouveaux ol^eU .'i leurs docles recherches.
J'ai écrit le nom en abrégé de lous les lieux où j'ai trouvé ces
difrén iils catacleresi ceux où il n'y .1 jioinl de nom coniinuent
d'eu edumême lieu d'oii csi le dernier inscrit. J'ai mis des uuméro
à lous, pour aider les citations dans les disserlalions cb ceux qui
voudront bieu prendre mes figures pour aulorilé.
P L A N C H E CXV.
Uue autre colleclion de loules les coirTutes cmblémaliques el
hiéroglyphiques, prises par-toutou j'ai trouvé des différences.
J'ai pu r.-niarquei-que la pliiparl de ces coiffures non seulenieni
étuiful posées sur la tète des divinités, mais encore sur celle des
prêtres et des héros triomplialeurs, et qu'eUes éioieut dilîérenles
suivant la funcLion ou la circunslanee de la fonction du culte de
iclle ou icllc divinité; j'en ai trouvé en bois doré, ciipierrcdurc,
en |)3le, et en iK)rcelaine, ajani toutes uu auiieau qui les tendoil
susceptibles d'élre i>orlées , j'en ai vu atlachées au cou des
tnomits, et qui iKiurroieul (aire croire que
lelles indiquant telb ou telle divinilé, ou un,
ilidiquaiillcgraibdil
Même pbuebe,
lection faite de la
tableaux hiéroglyphiques .b
l'iîgjpte; les n°3. G, 3, 10,
que les vases élrusques,au,i«
narquede dignité
arrivé celui qui iaporioil.
au-dessous des léles, esl eneore une aulie col-
I que j'ai trouves s
monumeuts de
ig, ne sont [lasmoins éli^anls
eux d ire, bs vases grecs, lrou\ e8