( iv
el iloni la rapi<lini, I'abarion, le dcroufiii' ct U iHJvoiire
chtT^ilertMiuc, m'onl toujours rrappc; j'si vou)u ttnifre aus-
.i l'cffil do h milrjillc sur «He Mvjlorii, (|ui «noit l> braver
jusiu'à U bouclir .Ili «non; j'ai fiil voir Ics strvilours à
piej à irjvcrs u-i corabAlljiiu, leur maniero dVmi.orler les
blessés, dr U-. éloigner du combsli les cliuioeau« pormnl les
cjrmicll«, et 1« inslrumenu guerrieri; les [»linicrs .vec Irurs
fruits, cimine ils étoi.'iil J « " e q-oque, oi jusqu'S 1« jerture
p.<,duilep.r rioon<l.tior, ot l'ardeur du soleil; enfli. loulee qui
Laccrise 1= e. contribue à lui .le.nor u„c pl,y.,onom,o
psrciculiere. U fon.l c-o„.icnt toul ee quo le v.s.e Lonwn offro
.Vinléressiiit; S Jroilo de l'oslsnipe. csl la rouir qui cooduit à
Sura ei en Asie où l'on voil lo carps d'lbraliim-bpy ; la ville
dt, Caire, a.i pW Jn Mokatan.. ou l'ercrémiv- do la cUalue arabi,
rue; le granii oqueduo, ijui arriTC jusqu'au vieus Uiro; sur
lo ioiJ du neuve Doulao •. pim rn av-m, le Kil, av« les isle, ,1e
naoùdl.ali, de Boulae, 01 d,i Lazar»!; le rais>cAu amiral de la
(loue de Mourtxl-bey, .t.quol il fil u.ollro le fen penda,,t le combal
; d. 1-aulre còlè dt, Nil, njjîol,, la maison de Mourad-be,,
la plaine el les pyramides de S«oarai l'espace rnire elle, ol
eelles .le Djyrxb, q.,i es. l'cDpb.-emeni qu'oecupoit Memphis;
el en den,iere ligne, lo Monl-Libvque, dont la cl.aine gil dt, su.l
ax, nord jusqu'au-, pyramides .le Djvîoh, e. d'où, cbanfean.
loutArou,, ,1e direclion i l'ouesl, elio va se perdre Jaui les dé.
P L A N C H E XIII.
Tl= , . V„e du chileau do Raebid, à l'ouesl du N i l , la premiere
conslruelion que l'ou rooooGlre on rrmoularl oo fleuvo,
forlilié <le[,ui5 l'invenüon de la poudre, on peut eroire qu'il «
éló bill au lemps delà eonquéle d,- Stlim, el qu'il y laissa unegu,-
oison, doni nous avons irouvé les deseendanis »Id,:. et gardant
encore lo mime elijloan, qui r« nn g r andi l lón flanqué
do quatre .our»; dans le milieu, d „ c^rne», ol une mosquée ;
,1e beau, jardins, plantés d'orangois el de palmiers, eüloureni
aotnellemonl oelle bbriquo démantelée, ol en rendroienl le séjour
agré.-aHo si l'inuirienr m éloll loseable.
N» 1 Une mauvaise batlorieeu mines, construite presque
vis-i-vi. le ohJieai, de RacLid : il y reste aussi quelq.ies familles
de .Sorbatlgi ou descendants do ces garnisons turques dont j ai
parlé )1 l'irliole ci dessui ; lo petit dòme qu'on apporçoit i droite
est tin santon ou ioinbe.iu de personnage révéré.
N° S. f.'arriïCe Rosette.
S" ñ- Un village du Delta, vîs-i-vis Rosette.
S» 5. I.e couvent d'.\bou-Maiidour, à uno domvkrue de Rosellr
, bSli à nn angle du Sil sur les roines de l'antique Bolbillne;
<ituation aussi agrc-ablo que ,iitlorosque, entre un désert
aride et brûlant, rl ioni co que la nature jK-ut offrir de plus
frais et de plus abondant, lin tombeau revire y amene beaucoup
de Musulmans atteints de l'ophiabnie, et qu: en re%ioonont la
vue rafraîchie des .blutions qu'ils font de l'eau claire d'uue oiteme,
que l'on y distribue abondamment pour une très petite
rétribuliou.
P L A N C K ! - : XIV-
1. Vued'unemosciucoavecsonminaret. Cliaqueprovince
a son joi'lt particulier dans ces sortes de monuments , l'architecture
mauresque n'ayant ni ),rincipes ni régies Pues, la U^éreté
et l'élégance en sont le. sente lois, ot, p.r suite, les productions
en 8001 infiniment vaHéos; le. ornements surabondants
n'y sont jamais incoberenu. et coDserventcotre eux un«
liarmonir qui u'osi jamais dépoun-ue de graoo. Ces Jùn„s,
construiU tres tap,demont, sont élevés avec régularité par des
maçons qui n'ont que quelques outils, et n'emploient i re.
constructions que du pHtre, .outenu par quelques petits morceau
» de bois. 1« minarci n'a d'autre utilité que défaire ipperccvoir
de loin la mosqueo à laquelle il tiont, et de porter cetto galerie
doti les imans, loutesles quatre i.eures, appellent les lideles
musulmans 4 la priere rn ebantant des hymnes h l'Elerne'l . it
»sonpropbete. Acbaquomosquee, ilyanne citcme, unb.-isi
pour les ablulions, cl, toutes les fois que cela ost possible, .
petit enclos planté d'arbros pour faire la pricrc 4 l'ombre. Celle
qui est reiirésentéc ici est située à l'eitromitc sud do Rosette ;
la fumi^c que l'on voit i droite est produite perpétuellement par
une fatriquedc charbon, qui csl une dos denrées rares du pays:
l'importation ,1e buis, qui, en lemps do paix, se tait do Syrie à
Rosette, est uu article de commerce particulier à celte ville.
K" 1. Vue d'une portion du port do Uosetle. L,-. fabriques
qui y sont représonlée», appartenant » des Francs, el la plupart
bâties par eui, sont un mélange de coiistruetions qui resscmblcnl
plus à nos maisons du qualonieme siècle qu'aux fabriques
orientales des autres «Iles de l'Bgypiei celle où est le pavillon
npparlenoit à la maison Va,5i. oil étoit logé le général Menou.
I.a scene reprtsentée fut celle de la jirestation de scrTnciil du
gouvomcneitt du pays entre 1,-s maius de ce général : les coups
de béton distribués, un reste de pratique orientale généralement
établie pour écarter la foule,-ennoblir la fonction, ot avenir ic
foihie Je la présence du pouvoir, et de l'éloignemenidaus lequel
il doit Venvi^-iger. Sous n'arrivions jamais dans un village, que
lo cl,e,k, i>our non. ûiire honneur, n'en ordonnil une distribution,
qui ne cossoil qu'à notre réquisitwn, et lorsqu'il croyoit
que sur cela le lémoignago de son respect s'ctoit suffisamment
luanifesté. A droite, le Sil, sur lequel ou voit un aviso'arioc,
ct dans le fond, l'islc do Varsi.
P L A K C i l E XV.
î f 1. Vue d'Abouür, prise do la mer, avoc la flotte françaiie
telle qu'elle éloil eoibo»éo avant la bataille du i« fructidor
! on apper^oit derriere le fort, k villei et dans le fond,
le monticule oil sont 1rs fontaines.
K" a. Le pass.-ige do la Mad.é, l'ancienne boucbe canopitc,
dans laquelle entre la uier, ct y formo tm bc de plus de quatre
lieues de profondeur ; ce qui fait que les caravanes d'Alexandrie
i Rosette iravcrsent ce lac i son emboucbure. au lieu d'en faire
le tour, quoique incommode que soit ce passage par ics basfonds
dos rive», et l'rmbarcauon qu'il faut fairo au milieu de
l'ean.
î. I.e fon d'Aboukir tel qu'il iHolt à l'arrivée drs Français
en Egypte, avec son petit port pour les barques.
S° (i. Carte à vol d'taseau tie la péninsule d'Abouiir. En
avant, les rochers du promontoire: il gaucLe, sur cette même
ligne, l'islot contre lequel étoit appuyée la flotte embosseo ; derrière
h ollàt.au, le village d'Aboukir: plus loin, le fauxbourg,
sniri: lequel les retranchcmonts ont été élevés; au bout
de la Lgnede palmiers, les monticules où sont situées les trois
fontaines; plus au fond, à gauche, le bc Had.é, l'ancioiinc embouchure
de la bouclio eanopite, la digue, et dcun obélisques
de constructions arabes; au fond du lac Madie, la chaussée, derrieti!
bqGellc passe 1= eanal cpi porte 1« eaux du :<ii à Al,-xandric,
colle que les .\nglais ont rompue après leur déliarquemeut,
en l'an g; ce qui a isolé la presqu'isic d'Aboukir, submerge le
territoire d'Aleiandrie, et renouvelé le lac «a'éo/«; l'citrémitc
de l'borijon, à droite, est l'emplacement d'Alexandrie; en revenant
lé long do la còte, colui de Meo/wft, de niflOlM. et de
Canope. 1:0 point, déjà si imi«tlant ¡Kiur lagéograjibic ancienne,
l'est doenu encore davantage pour l'Iiistoire moderne par les
événements qui s'y sont ,ussrs dcpuU notre arrivée en Egjpui:
le plan et la vue de la bataille gagnée par lion .¡.a rte, le 7 tilcrm.
dor, achèveront do le faire connoltro sous tous ses aspects, et
dans tous ses détails. Vojre pl. 89 et pl. go.
S» 5- l-a tour d'Abou-Mandour, prés Rosette, aver la >ue à
»•pt lieues de dislance des deux flottes anglaise et française, le
lendemain de la bataille navale d'Aboukir. du l'i fructidor, i
dix heur,-s du malin, à l'instant où leûuillaume-ïoH et le Généreux,
la Diane ct la lustice, lever,-ni l'ancre, ,t s'iloigiierent
sans être inquiétés dan» leur retraite.
Cette tour, de construction arabe, est Wliésur un Dionlicule
de saille qui couvre les ruines do l'antique liolbitine; la silualioii
élevée au milieu ,l'une grande plaine domine d'un côté un
vaste désert, jaune el aride, terminé i l'horiion par b mer.
I-orsque l'ame s'est attristée de ees objets, olio peut, on so retournant,
être consolée par l'aspect do tout ce que la nature
( V )
pent déployer de verdure, de rioliesse, etd'abondanco: les plaines
du Delta, couvertes de rigieres el do pbutatlons de sucre,
coupées d'innombrables canaux qui aboutissent au Nil, qui dans
cet endroit est toujours couvert de barques en mouvcinviit dans
lous lessens lOllfmcesdeux labloaux, d'une «luleiir si différente,
offn-iii le contraste le plus fra|i|iaiit; o'osl la jeunesse do la uai
turo, et «a décrépitude CCS uibleausscroiem aussi Iwaux 4 peindre
qu'ils me parurent impossibles 4 rendre par dea dessins.
P L A N C H E XVI,
t. Vue ileTfémi, gros village de la provinco de Babitii,
situé sur lo bord du Mil, vis-à-vis IMilaiii.
j » a. Vue du Nil, d'où on apperçoit tout à la fois, âdroite,
Sandion, bourg dans le Delta; au centre, Metabis, aussi dans
lo Delta; et Tfémi. de l'autix, cite du fleuve.
Métabis, petite ville de la province deGarbié, dans
lo Delta, connue par ses moeurs dissolues, ct le nombre d'alnies
qui l'habitent.
W /,. Vue de S.-radiou dans lo Delta, et de Dcirut daui b
province de Babirc; les villages dans lo Delia à l'abri des incur-
'ÍT t.ît-'^''''^'' "
N°5. CaÎrSchaabai-Ammers.petit village fonirté.situédans
le Delta 1 eair veut dire faubourg on hameau séparé, mais dé.
penilantdela ville de Seli.tabas-.Vnimers. La tninéo que l'on voil
est la suiu; do l'onibrasement do cette petite forli-rrsse 1 sur le
devant, la ,iigue rompue, sur laquelle nous fûmes obligés de
porter nos blcssi-s. Voyea le journal, juge tâj.
6. Un de nos logements dans le Delta; c'litoit 4 Deroulli,
La maison s'appeloit le Palais 1 dans la partie intérieure étoit uu
aiigar, et une cour dans laquelle il y avoit un sycomore i il faut
toujours compter l'abri d'un sycomore en Egypte comme un apiwrteinsnt
d'été, ou un logenieni |>our les gens <le la suite ; uu
escalier monloit4 une galerie ouverte, qui étoit la piece priiicipak;
i droite, une grande piece serrant de magasin; au bout
de la galerie, la chambre d'honneur. La scene ressemble 4 celle
qui auroil pu avoir lieu si c'eût été un bev qui eut été en
lournée, et qui eût donné audience p.r la fenêtre 1 sous la
porte sont les gens qui apjKinenl b dctjet'iuer fourni i>ar b jiays.
P L A N C H E XVII.
I. riao des runus et de la circonvallalion d'i
I I empie
d'Isis, pri-sScibclb,daiis le Delta; je n'ai 1 « vu cet
dout je dois la carte au général Dagua. qui commandoit b
province deGarbie, dans le Delta, où sont situes 1« iiioiiuiiienis
qu'elle conlieiil.
K" a. Plan d,-s ruiues de .'ann ou Zoau, l'ancienne l anis,
dans la province de Charkié, prèsdu lacMenzaléh, ancienne capitale
ot liabltation royale.
Je tiens aussi cotte carte du général Dugua; la forme carrée
qu'on distingue dans cette carte étoit sans dome l'onceiulc d'un
temiilc ou d'un j,alais. U- travail liiii d,-s hiéroglyphe, et les
riches ni.ilicres einphjp'ei dans ces ediCcos font foi qu'on avoit
conservé dans dos tonips postérieurs la môme niagiiiOccnce daus
la eonslruction des luoiiuintiils de b basse Sgypie que dans
ceux de b hante : les fr.igmonu de lapis que l'on a trouvés dans
celui-ci atlésient aussi que l'usage s'étoil introduit d'employer
des malicrcs étrangères pour les décorer.
Je n'ai [«int vu les ruines de Saim , mais les détails de son
plan no me laissent aucun ,ionio sur son cjactitude; tout co
que je dois observer, c'ost que les ruisseaux que l'on a tracés 4
travers les collims de sable ne peuvent exister que inomeiitanénienl
après quelques pluie, d'hivor, toute l'Êgypte ctaut absolument
privée ,1e soureos jaillissantes , ct <ie tout ce qui peut
perpétuer des ruisseaux.
1 > L A K C I I E XVin.
S - 1. I.e vi|).,g,d'Aloan,sur la rive gauche do la branche
de Rosette, dans b province de UaLiré. Lorsipicjc dessinai ce
village, les babitanu en avoiont clé chassés pour avoir massacré
l'aide-dc-cimp Julien, et b dctacbeinont qu'il conimandoil- il
n'y reslüit que des volée» innombrables de pigeons. Dans une
. parlio dos villages de l'Egypte, u>iil le dessus de. maisons est
«instruit pour j loger de. pigeons, ci les y laisser se multiplier,
|>our le seul ovanlogo d',-n ramjMiT la fleiilo, qui sert
pri.icipaloment 4 b culture de» J>.istequc3 et des inclous, que
l'on pbnte sur les bords du Nil imiiK^iaiemonl aiirés l'ioondation.
y a. Le village de Deiniclielot, sur la même rive, d.uis la
même province qu'Alcan, et d'un asiwl lout-i-fait dilïéreut.
S" 3. Le mime village, vu do plu. prés. J'en ai repelé los
fabrique, avoc plus de détail., pour faire voir «inhieii ce» construetioiis
modernos, faiti-s do terre, lienncut du style des grand,
iiioiiumciil. de la baute Crypte, et combien, sans projet d'imitation,
les traditions se consorvent de proche en proche, cl.
liour ainsi ,hre, i»ar conseiltomcni.
N° 4. Une vue do la maison de campagne do Moural hey,
prise du côté du nord. t: éioil dans celle maison qu'il faisoit sa
résidence ordinaire; elle étoit fonifiée 1 son enceimc contcnoit
les logi-ineris militaires do ses Mamelouks; el sis fortilications
l'y niottoicnl 4 l'abri d'une surprise, ou d'un mouvement do
paru,
P L A N C H E XIX,
y I, a. 3, et /,. Vues dos pyramides, d'aussi loin qu'on
pui^e les .ipperccvoir en remontant le Nil.
5. Vue de la ville du Cairo, Doulach, Forstalh, qui ne
fornionl qu'un seul ensemble à l'instaiil que l'on vienl 4 les décou\
rie en remontanl le Í 1 I ; b montagne que l'on .ipperçoit
derncre est le -Moltaun, contre lequel ost ajipuyée cette ville.
P L A N C H E XX.
t. Vue de Salmie, sur la rive gaucbc du Sil, da,is le
Delta. Voyea le journal, ¡higo
S» a. Vue des pyramides de tîizeh el de Sakara, élevées sans
doute aui extrémités UOKI et sud de Memphis; l'esp.ice qui est
entre ce» deux groupes de pyramides fixe l'étendue de cette ville
dan» celle direction, tandis que le Sil el la chaiue hhyque boriioienl
irréiocahleineiil »0» Cüt,í esi ei^sud.
X' 3. Coupe do b pyramitle ouverte, .appelée le Cltéops,
p.ir laquelle on pi-ut prendre uur idée des galeries qui conduisent
aux deux cliainbrcs sépulcrales, qui paroisseni avoir été
les seuls objets pour lesquels on avoit construit ces c.|ieces d'édifice
». G, l'entrée do la première galerie, qui cloil recouverte parle
parement général, ct qui appareirnicnt avoit i col endioit quelque
paclicubrité qui aura pu faire d,ta.uvril cette onlrée lorsqu'on
eu a tenté la fouille. L, galerie C jusqu'4 » »0 dirige ver.
le centre cl Í la base de l'édinco; elle a soi»aiitc-cinq pas de
longueur, que l'on esl obligé de faire d'une maniere »i incoiuinode,
que l'on nr don les estimer qu'.^ cent sonaiile jiicls : arrivé
J U, l'incertitude , ciuséo par la rencontre de deux bloos
de granit 1., a égaré la fouille, cl en a bit tenter une dirigée
horiionialemoiit dans la masse de la fabrique ; cette excavation
abandon née, on ost rcv,-nu au l>oilll l; el, fouillant autour des
deux blocs jusqu'4 vingl-dcui pieds en eeincuiiant, on a trouvé
l'entrée ,lo la rampe ascendante K. qui, jusqu'à M, a cent vingt
pieds 1 on moule cette galer.r éltoite et rapide en s'aidanl d'enlaillos
faites dan, lo sol, ct de ses h™ contre les côtés de cette
galerie étroite; b fabrique en est do pierre calcaire, liée avec
un ciment do brique. Arrivé au haut de colle rau)|>e, on trouve
uu nouveau pallier M. d'environ quinze pieds cirres; 4 droite
est une ouverture N, qu'on est convonu d'appebr le Puits,
etqii'S l'irrégularité de son orifice on peut cniire 011 e encore une
toulativcde fouille: ilfaudioildu lemps, de la lumière, el <les
cordes, pour s'assurer ,ivoc cxacliludc de sa profondeur 01 do sa
direction; on entend ,|u'eLc cesse bientôt d'être perpendiculaire
par le bruit qu'y fait b chúte d'unejiicrre : cepuiua a pieds sur
1Í pouces de diamètre ; il faudroit fairo une fouiUe pour jiou.oir
hasanlrr quelque conjocturo sur celU-cxcavatíon ; »droite de ce
trou, est une galerie hoiiaonialsO, de 170 pieds, se dirigeant au
ccnircde l'édifice, .au bout de laquelle est l'eutrée d'une chaïuhx»
it
III], li