Diamètre trajnsverse , d e . . . . . ~ ............................................. o,o3z
Plus grande largeur entre les deux extrémités des deux apophyses transverses,
ƒ g. . . . . . ..................................................................... . • • • • • 0,09
Hauteur de l’apophyse épineuse , h i , au moins............... ... . . . . . • 0,12
Il y en a une autre un peu plus petite, mais de même forme.
Ces apophyses dévoient diminuer promptement, car le squelette
de la pl. X X X IV nous montre que la treizième avoit la sienne assez
courte. Cfétoit aussi la dernière qui se dirigeât en arrière ; la quatorzième
et la quinzième y sont presque droites ; la seizième et toutes
les lombaires s'y dirigent en avant, et toutes sont coupées carrément
dans le haut.
6°. Vertèbres lombaires.
Nous n’en n’avons qu’une qui, d’après sa grosseur, doit être de
Palceotkerium magnum. C’est à celle du cheval qu’elle ressemble
le plus, avec quelque différence cependant, qui tient surtout à plus
d’écartement et d’horizontalité des apophyses antérieures.
Elle égale au moins celles des plus grands chevaux.
longueur du c o rp s ....................................................- ......................... q,q6
Largeur de la face antérieure............................................ * ...................... ... • o,ojo
Sa hauteur. . ' ............................................................................................................. o,o38
Largeur de la postérieure.................................. .............................................. ; • 0,008
Sa hauteur. . ................................................... .................................................... 0,64
Diamètre transverse du canal médullaire................................................... ... • • Ojo3
70. Vertèbres caudales.
On n’a que celles de la jig . 9 , pl. X X X V I I I , dont nous avons déjà
parlé. La première est longue de o,o3 , large de 0,02.
§ II. Vertèbres d ’Anoplotherium.
Le squelette de Montmartre, pl. XXXV, me fournit celles de la
queue ; celui d’Antoni, pl. X X X V I , celles du sacrum , des lombes
et du dos ; j ’ai eu séparément l’atlas et l’axis dans un groupe dos
de cette espèce; enfin, je crois avoir reconnu une ou deux cervicales
isolées.
1°!' Nombre.
Il n’y a pas lieu de douter que l’Anoplotherium commune n ait
eu sept vertèbres au.cou, comme tous les Mammifères, &\iparesseux
tridactyle près. Nous savons, par ces squelettes, quil en avoit
douze ou treize au dos, six aux lombes, trois au sacrum et vingt-
deux à la queue. Les nombres du tronc sont assez semblables a ceux
de la plupart des Ruminans ; mais celui de la queue est plus considérable
qu’à l’ordinaire , et le Kanguroo lui-même n’en a que dix-
neuf. Cependant la Loutre en a vingt-trois, et en général la queue
de cet animal nageur paroît avoir beaucoup de rapport avec celle de
Y Anoplotherium.
2". l’Atlas.
Nous représentons l’atlas, pl. X X X V I I , jig . 1 , 2 , 3 , à demi-
grandeur , d’après un échantillon qui n’avoit perdu qu’un peu de sa
partie annulaire en arrière. Sa longueur comparée à sa largeur, le
contour de ses parties latérales , la position de ses facettes pour les
condyles de l’occiput le rapprochent de l’atlas des Chameaux, et
spécialement du Lama, plus que d’aucun autre animal. Il est seulement
un peu plus rétréci en avant, et ses facettes articulaires pour
l’axis sont posées obliquement , tandis qu’elles sont parfaitement
transversales dans tous les Ruminans ; mais le Cochon les a presque
aussi obliques que notre animal. Elles le sont encore, quoique un
peu moins , dans le Cheval.