3°. Paloeotherium magnum.
Omoplate. . .
Humérus.............
Radius................
Pied de devant.
Fémur..................
Tibia....................
Pied de derrière.
§ II. A noplotheriums.
i ». Anoplotherium commune.
Omoplate.', . ...........................................................
Humérus................................................................................................
Radius. . .......................... ...................................................... ... . . .
Pied....................................... .............................................................
Fémur.....................................................................................................
T ib ia ............................... ..................................... -. * . .
Pied................................. ...
2°. Anoplotherium gracile.
Omoplate. . . . . . . . . . . . . . . .
Humérus. . - . ........................................................
Radius. ............................................... . . ; .................................
Pied...........................................................................................
Fémur. .............................., ........................
Tibia................... ...............................................
Pied. . . . . . . ............... ..........................
3°. Anoplotherium leporinum.
Omoplate...................................... ... . .........................................
Humérus. . . . , . . . . . .•. . . . ,
Radius................-. . . . . . . . . . . . .................... . -
Pied | . . . ; ............... . . . . . * . .•
Fémur.................................................................................. ...
-Tibia.' ................................................................ ■ .
S IX IÈM E S E C T IO N .
RÉTABLISSEMENT DES TRONCS-
' A r t i c l e p r e m i e r .
Descriptions de squelettes trouvés entiers, ou h peu près.
J’avois déjà découvert le nombre et la forme des dents; j ’étois parvenu
à reconstituer des têtes ; j’avois trouvé ou j’avois rétabli des
pieds complets; j’avois rassemblé des omoplates, des humérus, des
fémurs, que je désespérois encore de déterminer jamais ce qui est
relatif à l’ostéologie du tronc. En effet, les os de nos carrières sont
presque tous détachés, épars; souvent même ils étoient déjà brisés
avant d’être incrustés; on pouvoit donc croire qu’on reconnoitroit
la forme de quelques vertèbres, la longueur de quelques côtes;
mais comment se flatter de savoir jamais le nombre de ces parties,
qui est si variable dans la nature, que même des espèces congénères
diffèrent entre elles à cet egard. L A ï et 1 Unau, par exemple,
ont, l’un 9 , l’autre 7 vertèbres cervicales ; l’un 14 , l’autre 23 vertèbres
dorsales; l’un 4 , l’autre 2 vertèbres lombaires. Le premier
a i3 vertèbres coccygiennes, l’autre n’en a que 7 ou 8, etc.
J’avois à la vérité déjà en mon pouvoir quelques morceaux où 1 on
voyoit soit un certain nombre de côtes, soit un certain nombre
de vertèbres à la suite les unes des autres, et dans leur connexion
naturelle ; mais il s’en falloit bien qu’ils me donnassent dans son
entier, même une seule des divisions du tronc, comme les lombes,
ou le thorax, ou la queue.
Par exemple un morceau du cabinet de 1 academie, aujourdhui
déposé au Muséum , et représenté par Guettard dans ses mé