AVERTISSEMENT DES LIBRAIRES.
■ toir formé les premiers lè deflein de faire cette mefure, nos Auteurs
Espagnols ont l’avantage d’avoir lis ^réïniers fait part au Public de fou
exécution,- puisque leur Livre a paru en *748, c’eft-à-dire, qu’il efl an-
téfi^ir à «6 qui a évté publüf fur lq^nême ftÿéi: en JtyShcfï <31 ceux qci
fcfet.en étàt|d’en jilger, no& affujfèni.qu’on trôuve (Suit. cet Qlyragt ujîe
clarté & une précifion bien propres ä prouver que les Sciences les plus
difficiles n,e- ^ t pas. moins cnltiyéés en EfpagAeque/dans'le relie âeYEu-
rôpf, & q u ’on a lieu Æefpérer qu'eUës y feront poullees ä linhâüt degré de
perfe&ion-, fous les aufpices du grand Prince qui y régne à*prélëüt> &
qui accorde aux Gens de lettres une-protection tôum particulière.
- Il étoit naturel que ce Livre parût plutôt en François y & l’on poûrreît
Concevoir un préjugé desâvantâgeüx de ce qu’il eft refle fi longtems fans
être traduit. Sur cela il éft bon d’avertir^qu’cai.'én avoît commencé la tra*
duÊtion à Park, mais qu’il y a eu dëfénfe’de la faire paraître, î& cela
pour des raifons qui nous, font inconnues, mais que lefc Lecteurs deviné*
ropt peut-être»
: Ml ti’LITit.oA eft a&uelfement occupé à donne!: de éclaitcillemeûS
ïur la, difputé qui s’eft élevéè à l’occafioh des Pyramides !éf4géês S aux
deux extrémités dé;la Baye, qui a fervi de fohdeiiaent à laniefore du degré
du Méridien : eêt Quvrâge àppàrtient hatufeliemënt à celui-ci, âüffi
dès-qu’il paroîtra nous ne manquerons pas d’en publier inceflamment la
Tradu&ion, qui fera faite fous; les y,eux de .l’Auteur, & nous l'iîAprlme*
irons, dans le même format & avec lë même càraftére qéè cfell^eL-pour
qu’on puifle les relier fenfemblé. Au>refte les Lëéleiirs s’àppëreëVïônt aifé-
ment que nous n’avons rien négligé pour rendre cette Edition âüffi belle
qu’il nous a été poffible ; & afin qu’elle fût également eoticétë, dés gens
iu fait des .matières qui font traitées dans ce Livre, bien Voulu te
yevoir , & la comparer avec le texte original.
DON A N T O N I O DE U L L O A.
LE Roi P hilip pe V. d’keur.emfe mémoires ayant jugéà
; tiréqpds éfenvoya? dans $ Amérique Méricfen^îë Sep% pçfr
« â r ô u s o â ^ n f jÿ faire
principalement celles qui pouvaient Tsryk.ip dét8r$in#r la yéfi-
%a%fe ligurë1 erre , le clioix de t@gpba.iiuf JP on
yuûH êc îav mm, Sc c’eft la:®el8tion de m voyage qui
•fàtj; # f^ 4 è :^ ^ 'G 4 k i»Q & des Æ©pis .^antres M vms- Dans \p
'Tome -écrit par '©0» onpeR #j3tt*^5 dan£ -MQ idetail
-convêtifÉîë-; if c ^ iï# « f e :-ft>uf. fat
'âè -efeirêê-, ^nous ^ypns'oru, comme ontpëîRl© voit daflsiài.fVS“
Tanë ^ é f ^ i f .fa^a^r^feeLtrayad^ &>qiie fion fâfaorze Juan
Te diarge^ 4® 4é©rire 'les >GbJervdtmtisJjffimmmim -par
d’un & fautre tan-t e-n commqn qu’en & particulier| - pgfléa®t que
-^aûrëjè fèifi 4 # détail cfoinolfe V y10 j *. •, > t >?.?
' £ & 'pf à M Ùw ifcggjtk - fa.&mtô&e
comprend depuis noferêi^ar^de
la mefure des degrés dtM'éridien Teraaftresantig|is;;a HBqu&tçtig,
-& c’ait' le fiifll^des' cinq premiers Livresj&Te feiégieTOPtiient
une defcrl-ption'dëda Proyirtce -de Quito. La feâQndpjBafitiç ironie
fiir :leslv®ÿkges Mfcsfà Lima .& au Royaume fte'iGfe'è' i&R dftix
Livrés-qui îbrmehb le Toid'e IM. & un autre JÀW ftwRie le IV.
■Vblumefquf- êbàtfent ^fl^&tîton-d© | p ^.jusqu’eii
Europe} à';quqi On a^qint une Glironfdog^ d.ë,§ Miyi?rRU3S
^qui ont régné au- Rërâw-depuis5le premier 'Ynca Manço ÇapacYori-
dateur dé5 té vkftë 'lEUïpirS^tîi^ia’M Rqügloëesfèumt régt¥int
F erdinand VR L if e des Vicerois qui ont gojivejlüe
eçt EmpiFÔ‘,4^^~MVe^^ujèfô: '^ri^ii’àipïéferit.^ T ^ ikdqiîit a
Vèttes®hronolo^ie un1 rééit1 -alsré^éedes l^iiidpaux événeméns ar-
■fivê^ fdqs les irégnès ^é^Empereurs YnettSJ&> dMis >5 >
En l’une-& rautre'pafÇitvèe'’cet Ouvrage,.Qn • trouvera Ja»de$-
'cf^fiéri î^fsiFaysîqi^e ;e;ous
avon§ travetfés', ayècûin défâil"®le £e .qui nous a paru mériter
-cjuêl^è'attention ,Rantti"13ég^Ed.des MoeuæL&i Qou^uiîié^
'Habiït%ns|^p^par TSimat, ,du Tm ïPï ï*
•* ( b ) 2 • des