I g g p n g . y O Y A G E A ü P E R O U .
. que ëeux qui fans cela on courroit -ris-
.que. de, tomber. à chaque pas. à*çaufe.du balancement continuel du
pont, balancement affez riemblable.,1auije u de/dfêfeârpoleüte. . 1 1 rfy
;.à que? 'Iôs; homîtié's fu t -paflênt furjces, ponts f^nti;.auk./b'êtes de
^charge il faut qrfelles paffentAla nage, ï IduEcet: srfïet en lés décliar-
:ge & les débâte & on les. farf paffer ;k;envSorfàn:e. demi - lieue au-
.deffus du pontaf in qu’elles puiffeirf.ror&ide, l’eaü près.de-Iâ. ; car le
ëcôùraht le&fait dériver confidërablement. iXïes'îridieûs en attendant portaient
là ; charge : & les bâtsdes Mules fur les épaules * & les charriéht fur ie
^poht jdfqu’â. llauate bord* “Il y ®:.dèsjpônts -deEiéne*dans Je li
clàtgës.que les Mules y peuvent. palier toutes chargées v- tel eït celui qui
t eft fur la Rivière.ÜAptrimac, par o.ù pafient, toutes les.mârchfndifés. &
autres effets, èoe ^©i.k^nfîfe,lei:Gcàànoe^ë entre; îe;i%?é& & ^es Rrovin-
rdes de-iôÿWi■ àeÇMà^2la'W!iiïïa3>Si ancrés .Ooniréês méritBonaieSt -
- Il y a des Rivières dùau-lieu de pont de on paUe-par- ifes ïà -
ïrd b ifesi; .rfoft ce qui :arrivequand on veut paffer la Rivière d’^/cÆÿwM ;
HB non fehlementles îperfonnes.:& les; charges ïravérfent la Rivière par
Tarabites, mais même les Mules ; parce que l’extrême rapidité dé l'eau,
;&hesgros cailloux qu’elleroule^ ne permettent pas qu'elles paffentkiahage.
I La Turabite h’eff.autreicholè. qu’une ceoedode OEiâfé«#pu-de; coinvayés
rdecuir deyaçhe jæompe®ede|dùfîeurs5fils*de fôpt;àdiuk potrcésd’épaif
-feâr: r laquelle eft téndue-d’ün bord à ' raati®;& fortement attachée des
deux côtés à dès pilotis, à l’un desquels èff . one^rou'e ' Ou un tour potff
donner à la ^/^MjÇledegrd de'tefificai que Iten juge 'k propos. La ma-
-fiiete de pafler éft unique» - Pour la bien comprendre, rlvfàut voir : que
ffur^ee grosfRalafioti .®»ÉRWftqpMÉdâttt deux grands-TCjloes, |*tk| d%iï'do#.
‘fautre de rantr&iiqlesqübls/fen.'Ôit"coifl&: toüt'lelongdn palan. .A ces deux
fOrocs:pemd'nnt grand rnanequinde eu&dé 'V^hfeibkfféfc^gepour pou-
rvprf recnvojratih foontifferdèpot® quld^puM&.is'y douc-Heri g 'Célyi qui me®t
spaflèr fe met . dans lemanequin,. •&dlaaeipdufÊHéj.tqn’on lui donné 'do: la
srivè d^oû}if Ipart-, sp çoide ^tout:le loagde '.<&■ waràMçiâvod doutantiplus
d é vitefley que pardefnoyendedeux^cordes-attaclîëès-aü'ïnanëqüin dn le
îtirededhuître rbord.- ;
» iPotir’paffer lesiMiüeç^oy â%M&TârâMm. :’&ntfâtëè d^ëedâsrfaSgles
lé-ventreQle .l’anteialy !te?cou ^& les jambes y -pour-qrfil ne'puiffé'pàs
fairddesmouvementviolent. Dànyc'ététat dn la füfpend a'ungrôs crdc
de béls^fiffântlentfé les deux - TataêiiesA, par ‘ îè^môÿérfd’üné greffe corde
04 .ff.éfl attaché»- -Cela'&it'on pouffe 'l’animal qui part avec tant dë Aùteffe
JPz. xxv.