134- V O Y A G E A V ; P EROU.
tem m yertfeaJenie&t . 4 ^ , - on le pladèra
lofe du zéro'le double, du nombre d e 4 ^
Carence qui! y a qmye 1 horizon apparent & celui-.
là eft plus jjjpkbjj| ^celui-ci... Après quqi.ie§, .image§',pn [lignes dgs deux
bornons, e’gft-a-dtre, de'l’horizon ppftérieur. vu par réflexion, & ‘de
l’horfeon antérieur qu’on a directement deyant £pi; s’accordant ..entre et-
|es, .on pourra. en^?gtXuj'g|§!^5e ios obfervations.
. ‘.ïl n eft pas hors depropos d’avertjr icique Ifeorfeon poftérieur vu par
la réflexion eft renyerfë ^ c’eft-à-diro j ; que- l’eau paroît àU'deflus& lé
Ciel .en bas. '
Quand onfldt eesîéprenyes on fuppofe le miroir de ïIndice, bien ajufté
dâns ion üeu Jiinnnpbile, On l’examine par ^
comme on vient dgfedhei il faut qu’il foitjpjagd bien perpendiculairement
& dans la ligne de la .<feeétion d^l’i « ^ , . . j
A l ’égard de l’exadîàtude reqiifedans la .fabrique de cet Inftrument, fl
y a »HyerfSs pteeautfen%qugl’(^yrigr ne doit point, »Æ&y_gpr • prmdi-
paiement il ne fauroit trop apporter d’attention dans la ^vfeon du. iiffi?'
be, car tontes les erreurs qu’il .y commet font doilies':, la rahgii.’en çdt*
que comme chaque demi degré vaut ;Um degré entier_par
flèxîb b j efeifeéme terreur . d’une mfeuterdans ia tr^sygrfi|e, pu point de
diviffon;,'^équivaut a.deino' L’Alidade ou Z»$cff*dofe ravoir- un mouye»
ment fixe fur le centre, &par coniequeaî Ion axe doit refter conftamment
perpendiculaire au pian de l’Inftrument. S^jUapuyern^nt d.oit.^üçe doux
& partout égal, de peur qu’elle ne plie parla pointe; & pqur plus de
fureté à cet égard ; il conviendrait qu’glle fife un peu plus forte, & qu’on
la fît up. peuplüs largeà f extrémité qui efeiyefs le centre; on pré vien-
droit par-là les inconvéniens où l’expoig là trop grande flexibility. 1
Les fiiperfieies des miroirs doivent Itçg^exa&ement planes, & unies;'
car la moindre inégalité ou .courbure non feulement feroit* confondre .les
objets., mais aufli varier leur - véritable; fituation, quand on les yerroit
par Irréflexion;enfin tout l’ouvrage y- compris le bois & le métal,,c’eft*
n-dhe le limbe, le.cèntïe^f & les rayons,* doivent être dans un meme
plan, & tous les miroirs dans un autre parallèle aqelfe-la, <& le plus près
quil poflible. . Les verresr opaques,. quoiqu’il .feit. 4 propos. qu’ils
iqient bien unis, ne requièrent pas une fi.grande exaélltude ,que les. au*
très Veiresypour Iesquels.il fait une attentionestrêmej, outre-qu’il con-
\dâit ^de leur donner. alFez dfepaiffeur, JSnfin il Sin^çqffaire^^ jésifu*
perfides de chaque venre opaque; fo k « parfaitement parallèles, pu. du?
- . - ’ : .1 ' ’ ^ -febins
V O Y A G E AU PEROU. Lir. IV. C h. I. iq j
moins autant quireft poflible: au-tefte ce$ fortes de verres peuyent être
ou de M ëtSy bh d^ eriflâli rtl : r. . „ ,
L ’inventfendé:cëtlnftrument procuredans les obfervations divers a-
ÿantà^es'l ,^flehfhtep& 'èM&dont on s’eftferyi iufqu’aujourd’hjui dans fe
Navigation': • ’Ceshyantages» fimtr:r : '
‘ Lé roulis du Vaifleatl fî’empêche pas l ’effet de cet Inftrunient, vu que
l’objet Î0iÉèiètÉ8fSr«ÉÉM à paroître fur l’horizon par le moyen de la réflexion;
on découvre & l’objet & l’horizon au-travèrs du même miroir;
& quhique tont-lè cdfps de l’Jhftrument fbit agité ». ;& que les objets fem*
blent- muâ dàny le 'mitofej ôls ne laiflent pas de-garder la même fituation
fife & ï égÉMdie rantri-;! dh& feTint que fi FAftre <3t l’horizon font arrangés
de maniéré qn% fe touchent, le mouvement ne. les. féparera point;
iffit au plùsJ ils fottiront;du miroir' fl d’agitation eft. bien geande, mais ils
rènW&st'j! &. -â-fet k qkêfeô’ faciife ion verra: Mftije,s’élever fur l ’hprif
idn1, s’il fé^-‘;'C&îié ,s’d.:dédfeé:;.>uL-fera--en même
tems auffi' aifé' 'dé' cdnnoîtré fe fituation, que de la corriger .en perfectionnant
& réitérant l’obfervation autant, de fois qu’il fera, néceffaire. Cet
àyahta^e ne fë trt^Ve pas dans feainfirumens ordinaires;, &.jafen lofe
qà’dh1 s’en püiflfe pré^àlôir dans'pareilles;occaûôns ». à peine , après beaucoup
de p e S ie^ ’-d# ttayfelÿ peut*on iiouver ; par feTO moyen une Latitude
qüi 'hÿ differé que de soi àurâ :mimkes deda yériiâbie,;;eneore nè
pedt^dü pas s’aïTurèr dê'la jnfteiTe de l’obfervation. Souvent même lys
ébfeK'atfenà fûtes: par diva^lès peïfdnnes fur une Mer tranquille, & par
ün teMs;fërëîh » ’different éntfe, eMes1 au-delà de la quantité que je viens
de marquer''
•' i>îb p '';fèSrBÉffAjâf(^Sf' avons oonnoiflànce ; & dont on lè fert
cotfiffitméniè®Lif dans là Nâvigatitfe pour; obfervet lés latitudes, font 'fer
commodé^ën-eéqu’ fl- là ut en’ obfervant aveir en même tems l’oeil fur deux
0BjétéV4u^ istanède différente efpéoey & fitués dans des diflances fort
inégales, në peïfvêrit être parfaitement (fiftingués, & l’obfetvaJâon eft
fiijette à être îritëHompue r d’eù iliuit qtLon ne peutfe faire aucune'idée
e x à ^ :dëd’iiM^éèti‘dèq’ombre^duSoleil;■ ui de l’horizon, qui:cft retracée
dans l’Inllrument:- ordinaire ; vit que l’horizon eft trop éloigtié dé cette
ittià§e', "«Sf qtfen faifa&t'àttentlon à l’un cai perd fautre de vue; ce.quï
n’arîive pôint1 avec fe nouvel O&mt dont i l eft ici. queftion, dans lequel
o|?!deèoSvre cBSffiySfiÔJêïfe fe^f^Ué'do, SoMb& l’horizon dans te mMie
ËsuJ/ ife3Sïdde«:-il» se forment plas.,qu’un
tfejefc’eft lépefet^fetfeattcffichemtsat» ou-la: petite