ils atteignent un autre tronc:' alors ils ponf&nren s’entortiUaîifcautçurâe:
Marbre jufqu’à fa cime, après quoidls commencent- à croître en defceiï-;
dâHt vers "là terre; défaite qu’iïsjMineftt airifi pMefteUiens ^ ^.-qufaa
enr*Vôit-mêtee-qui tiennent-a^deux1 arbres V'omteeetkie' ■ c®Mevqtf‘on%iau-
rbi^attâchée pkr chaque ééut^a1 deffeffilr- ' Ils fo'nt fa de*iblte;,& fi Toupies,
cju’on peut lè’é jflieri&4es4ëJt’drè failles rêjnpreyy^memdll "tes -noeuds.
trèSrferfees & ttés-ferrës: au-rfefte ils deviennentoexceîfiyement gros'fi on-
neféi^coupe:' ’"Les p^teaince'sïont^quatre^cinq: lignés i'deffiîanteére#&
■ pdtir l’ordinaire fls-feri tm^^^huît^tetoiefais ily ea ade beaucoup pltisr
grÔsV mais donVôn-ne faië aucun- ülage à-Qapfe-de-leur^itete. ’©ri géhê^
râlTousyà l’exceptienide*ces derniersfervent-à.attacher--tout ce quel’ïm
Veut:" fi ont enjoint- plqfieurs* enfembJe-, Te.'là -maniéré. dont, on 'Tait. les
groffes kurdes. z.û'Eur-ofe, on s’fen. peüt/^vhtcotenîéJd'èi.æâhles- pour aiftae*1-
ierles'sBhkés ôu autres petits BâtinSçns,>& fisfant.de ttes-bomifiagepoufi
la tratee 'flans l’eau. » '
• Il croît “encore-dans ces "Montagnes un -Atere :Um^méxMdiüpal^f jjp <3c
> të nomdfei'convient parfaiteirifent.% ,11 ô|0Ît?«fâble'; &cmiKg&à^C@tte4.’un;
pidflant-arhte, auquel ■ ÿofÈè^rSr. le fan^.^uguel il monterÿsfqu’à cet
qrfil foit-pirvénia à-fe'doifÉaep:;- qjors; il ,éla®gifc j^Ba^et'©teraarHtnaires>
Tnènt,iufqu’àjdérobéi^à-T>&&tevles “payensdir Sofail^Lfeaiqpri^t de la fute.*
ftance' de-’ce-rSême^bre qui lui’a ■ ferv.i'-d?appui, jtfiqifà;gq-<pj|$^àitkon,-1 :
fumé & détruit, par-là il refte maîtrededaJplace; àprèsbqueiriL devient
ô'grBlÿ' qS’oxfVen'.Tertpoür faire des Canots, fotegrahds^* ài-quoi fo^ o is
eftv'eXttêmertient propre par la quantité de faufilâtes -&;fa^g^ete^tX
C II A P I T RE IL
?*<aJ|ip «fr 'fifïR- nous eûmes à faire les Obfiervations de la Méridienne, fcü de
: Mfimnïere dé&Wpe-à laquelle: nous fiâmes;réduits, ïïhnt que ces Opé- .
||. ^ÿfi^xàirewMr-t:
T" "lOàt£t que nous avions fait pencrant 'uffe anfiee'^e, temsjqu'e' bous
kvipns pafle avant que .d'aviver a. flu ^ ^r*
monter les' difficultés jdu v^ aoe qu’il nous falloit faire pou?!pàfvènir dans
fos I âey v çù nou^devions execüteT lepripcipdddvfa'gê dont noqs etiqrts’
cbargé^jDans le/pri J d ^ ^ ^ T a c h e t é u h
voyàgf àufii iipnqenfatraverfé tant He^ Mefs ,& de Climats différçfls. Les
Pr"'pte-
Mot à mot Tuefitéus,:
etemiefs tours de-notre*rivée à Quito furenremptoyés à recevoir les vi-
Tites *de différentes performes &'âdes rendrai notre tour , après quoi nous
tennmençâifiés^'à- travailler à-lkxécutfamîde nos deflèins. Mis. Btrugùçr &
de la Condamné venaient de mous joindre ? étant arrivés à Quito, le premier
f p a r é ^ # ê m e route de. Guarmia, & le fécond
H l du même mois par la "Riviere des Emeraudes .& le Gouverne- J
4 û é n t ' r . l »^1-v-^.a o. ^ •* ( ■ - * >r _ -
tefPour cctonïefiQÈrfjfibs* opérations', -.îl/nousjfaloit mefarer nh terrain qui
.fii-t-fafvte de* ouvrage. V-Gefi 'à poi.nous fûmes, occupés
ïônfîlc^tetee>de’» cette-année ,teéfi>im$*il efl: rapporté d’âhs le -Livre1 des Ob-
fiervatM^^fir(Wm^étf's' Le ichoigÉ* de Ce terrain nous coûta
. fies.peines infinies-, n?ayan%je§Çé-dlltre<inc©mmodés' du vent, de la pluyè?,
^quelquefois des pdemfdurSot'eiL .,Aprps.bien,de_§,2Cour|es & du -tra-
-,Vail ,-- npuet nous Æxâme-s a un .terrai-n^uni ;-r plu#bas qup le fobde Quito de
3 4 9 à'quatre pues,au^-ordÆftde• cette fViUe.u iPn, l’appelle^
Ja^ Vlcànè d’^avuqufi, du.nom d^^-lage à gâté duquefÆe.Uett-efi; fitué. Il
y M ^ c e s enviroqâpls Ha1®sp|s’‘gùahdês qupselle-%', mais elles au-
loient été-trop^loignées, de.^Æ^étion, de notre, baze.,- <æ terrai^ étant
- allez bassen comparaifaq de celuide.gMiÿo, & auffî mpns froid que, ceder-
'nig ^ ^ S ^ ^ ï f fV fa } J v eTermé,à l’Ortent par la haute Cordillère de Gua-
' fîaki & ^iSihkaréanGab & à l’Occident par celle de fiiçiïfaha. Le fol
e ft to p d e fable; ’d e fe^ p ou tre la chaleur que les -rayons du Soleil y
produifent; ces mêmes rayonsTop-encqre réfléchis par les deux Q^diüeres I
t ouivterminent .de^deux^côtés çette Plaine: d^lgfivient anfli qu’elle efi^ex-
«ofée à jdefréquens orages de tonnerres.^à|des,éolahs, ôc à^es^pluyes;
& comme desrcôtés.du Nord‘& duvSudejl| eft to,ut\§qveft§s,y fornje
■ ^fi grands &j.de fi fréquensrourbjilons, que,pet efpace fe trodye quel-
quefôis Rempli dé colminte. dôfable éje^esqiar lq rapidité & le tournoyé^
ment des rafales ^dejvent- qui fayheur^nt: 5deforte,(qu.’il arrive, quelquefois
, & fi y. en a e^un Exemple pendant que npus y-etfans ,.qu un Indien^
| pe trouvant .pris &-enyelqppé|.dans ;tH^ ;d^^^t.touî^filoj^:,^en fut abfolu-
menfétojjfip'' Il>n’^ arien-làjquTdoivetetonner^ puifqu’il i f t tout Cm;
* gle' que la. quantité de fable cqntenpe-dans.une d% ces^oletones empêche'
entièrement la refpiration*6î faffoque celui qui s’y trouve enveloppé. r
Notre tâche journalière eonfifloit à mefurer çe terrain dans une ngne
horizontale,r-n^elant c^tinuellement pour ren corrjgcj: k s défaufc.^Nous
commencions''get ex e rc ic e ^ e c le joim,'& nous ne difeontinuyons qu a approché
de fia nuit, à-moins q t^ -tPQgP ne nous, obligeât a e
léme f . wmm fus’