fortes , qu'ils .peuveryt fit<filgmèi& degmey Æjj$4£p$ jlfera, même .rayant,
de forj^ -de JeursiHt^ & de vofirqg^uj fepaffe dehors.
C H A P I T R E VIL
Particuldùïis tfljft PrémMvnmns..
■ P t&tenpi. j Maladies dont les JPabitms.deMpe dPiü^f^f-^dgés. ■
U;N ^ - ^ a u K d^^^y.çêjlbnllésTÈ^çes
.pas moyen.de fe garantir de ces deux 'eMeançes,^q-ueîqu.e.loin que
fon prenne, & quelque préfgryatif qu’<an employé. Ce qui'oentrîîjùe le
dlus àjfe^fetepnWer’ï t ’eft.^^^^pli^idqnt li^ a e s ^fc^tep^ ^ g ^ines/
& A manière dontles, toits des, içkifdns, fout cbnÆrüit'i,1 qui lëtahi tbùC
plats a ,côt^me.nouSf l’avons dit", font toujours cbuverts"1 de’ce orôtîn, pul-
véffie que lèvent emporte, ( defi^te qju’on ,vôit cbntinuélTejnent.'tbhiber‘
à travers, jés ais puces & punaifes1, jjoht. les’ nia}fônslie'Mit jar^K ejfêm-''
te?. A ces, deux fléaux fe, joignent les qui* i^ttmmns'iié tio£fJ
pâs'dt,incommodes que jes deux précedens.. ’
/ Tomtesrces,.plaxesjicfont pourtant, rien en~côiéparaifpnfdés'’ïlffenib]é-'
înens déterre. ^g.Pays y ‘e/^ fi luigf que feOiahitaiis' vlygnt dans des
àllarmescop4inim]jé§.AdQesfecoûfles font fuE Ite 's le" juivent 'de près,
&des trémouTfemens dé la terre furoxennent ,~&xtçÆiWrttndes "'plus graves ;
kxfrappentdeerreur , & leur,fQ^?acginpre1^Kjqlîi^a%t^^fe^fis
dans les rufngs d^lgirs habitations;^;Æ s^ bM ç s^ u am p ^ f i^ r ç^ ^ j.
p’ont que/îtrop- e^&éitéréstpopr le mal^umde A ttë V ille ^ .qui \ueflt ur?
fin d’^rei-e^iereigjgntjdétrpite- par ce. fléau. "YesTtrembleméis xi fj Ygrft
pas, toujqurs^ptÿius: ,â,efl;,/des, QccaûMj.^ù ils font féitérqadfiH»'*$€-'
quetg^nt.iqti’endia^tres, ,&.où„jes feopufies ne font bas , éapepf "dû ;’du-
pioins»dlune égalé ^urgg« J ayant quelquefois de fa" cfifferençe. ^ Cependant
fl jri’y ,a jarpais. un i.nteryalk,afiezƒ onmeraS^iQ,ùr, que fèipnt pujffe
Je tra^qnilEfer,; .amcbntraire iLeft plus inquiet-j&^is'agit^; lu bôut7 dé1
quelques jouis, quaqd la fecouflKefl: jfafiee,, .dans Jâ juffë a^rébennon'
quejrellg qui^yæ furvenir .n^folt plus .violence plus longue.|pÆin ’174Ijreus
la curioljté, pendant un c e g ^ tçnjs, d,e marquer ffieqïe~3eÿ trem-
blepens de: terreqq’on y^euuya. voirie..reluitat de mes ’obfért'Itions.
X. L e ÿ de ikLjà du matin! " II. -Lë îp du /meme''mois Vëfs/'le, 'fni-'
8GfP?
nuit. III. Le 27 a 5 Heures 35minutes dufoir. IV . Le 12 de Juin*
S i du matin. V . Le 14 d\Opobr^ ,à 9 heures du foir. Je ne pris pas
davantage la peine de’les nàarquer. Mais je dois avertir que je n’ai noté
quelles pîùsÿ wdérables, & ceux qui .ont-duré pour le moins environ une
minute.: Jplm du 27 Jdai en dura même deux, ayant commencé par
une grande-fecoulFe, qui fut fu-iyie par différens petits trémouffemens, jus-
quial l l ^;U’iI ceffa^entièrement : dans les intervalles de ceux que j ’ai marques,
il en,arriva d’aptres moins confidérables qui ne fe firent pas tant fentir,
/ Ces tremblement, tout inopinés-:& fûblts qu’ils font, ne laifiènt pas
d’avoir des avant-courqurs qui^^nonpenîs'leur approche. Un peu aupa-
xavanp^ b lll-àÿire environ-un<^.jninùtê';avan't.-leà- fecoüffes.; ôn entend
§m bruit fourd qAfe fpit dans lesxoncayités, de la tej^ea& qui ne s’arrête
pas'duiCoté où mais çpur%d# efité,, & d’autre finis terre; à
qgoit,il faut ^|tgç.i||s>,pboyfmens.,des-chiens,, qui preflentant les premiers
lejLrembleînént,,; fe mettent à japer, oü plutôt à hurler d’une façon
extraordinaire. Les,fi”êfesfde charge & autres qui vont dans les rues, s’ar-
||tent tou|court, & par un ûÆinft1 naturel écartent leurs jambes pour
.fie^ranmoner, & ne pas tomber. Au .premier :de ces fignaux, les pauvres
habitans, tout enrayes. & la jterreur peinte fur le vifage, quittent leurs
maifons, & fe répandent dans les rues pour y chercher, ja .fureté qu’ils ne
trouvent pas dans leurs'- habitations. Tout cela fe fait avec tant de précipitation,}
que làns faire réflexion en quel état dis font, ils courent tout
comme ils & tronvent. .. Déferré que fi c ’eftde nuit pendant qu’fis rêpôl
fent^ A k u r eft, ordinaire de fiortir tput nuds, la terreur & la hâte ne leur
permg.ttant.pas. même de fie^couvrir d’une robe. Ainfi les rues préfen-
f ÿ ^ p è Wehe^dêYgurës fi étranges & fi .fingulieres, que le lpeftacle'ne
ierosib pas peu cohiique pqurr qurconq^^urfôib/être de fàng, froid dans
une frayeA fi généraléy& au milieu des plus juftes trànlès. - ‘ A cette affluence
fubite ^joignent les criàfilaries des petits enfans, qui àÿânt été
tirés du plus profond fomçieil femblent ife ^plaindre qu’on les ait interrompus,'
pendant que .-leurs; ineres & to.utés les , femmes en général pouffent
des cris & des .lamentations, invoquant, tous les Saints du Paradis, &
augmentant parMàJa crainte & l’épouvantebD’un autre côté les hommes’ :
gu^moins effrayés,i nèpeuv.éîit non plus garder le filéffce, & les hues
lemeri^ j^fihiensÆmêlântcaÿoüt ce fracas, cem’eft plus qu’un cahos,
^ une çc^ufipn quh dure jjpngtems .après que le tremblement eft fini : la
que, chacun craignant a^ggraifon-qu’il ne-fe réitère, perfonne
/ Tdme J. N n s . n’a