tefle qg|en qp tpur demain JFeft c|iTau|re d£é. kçs Mplps qn^font accoutumées
à palier d’e cette maniéré, ne fonfpas lemoindre mouvement,
& s*oJVenr4’é^^ maiTeellqs' q.ui ihnt ‘Peâ*
: ves s’èffaroüchént de fa§ron qu bn a bie» de la peihè â lestenir, & quand
•elles perdait terre & iË vèfent précipiter <3é ' efette I Àaniere, elles s'élanç
â t dans l’air. l ° ) à-4P
teifes,’~ou 70 g .po aune§, & ejle èjj( élevée au-cleffus de’ l’ëau de120 I J k
toifes, 4,7 £p oaunes, çe .qui eft'ÿÊfapt pour faire friff^hner^d’horreqr
à la prep^rç yje. >nj ,5 . iS l . ' .
a^Leschemins de .ce Paysfont à l’ayenant des ponts: car quoiqu’il y aie
ge'grandes Haines depuis Q^éto jûfqu’à Riopambà, & aufli en partie
^e Riopampa à ‘j t y f l , & 'fle-ipoge au Nqfd de cette Ville ; ces
plaines fopt .ppatimoips cgppée$ $e terribles^ coulées, dont les descentes
& les piqntées fopt pon feulement incommodes jg & d’une
longueur infinie-,., mais a u ffp fq r r .^ r Dans quelques endroits
il faut palier par des taijerp* fi étroites, gu’iïy ‘a des endroits où le chemin
pgut,,à-peine contenir les pieds cî’une monture-, dont le corps & celui
du Cavalier font perpendicuiaires à l’egu d’une Riyiere qüi coule 50 ou
,^p-j|o|^iaucde^>^ •' P3*”
jà„ggi puiffe’ d^^ueêf^°Ècap”fîhin fi ,grabd p é ril...11 n’arriye que trop
Jouyent que des Voyageurs pénflènt dans’ ces profondes abîmes, 1 en tra-
.verfant qespangereux chemins, qùl’q.n n’a d autre garant de fa v je & du
|>ifn qulpn^çrtegixec fpi, que Pacjrelfe & la boiité dès Mules, tandis qu’un
fatix pas.^-fiiip^pt pour.dàire- périr la monture-& lp Cavalier.-^ Ce danger
eft répompenfé par la Turetjé otù l’pn eft des voleurs j deforte qu’dû
voit-là ce qurfe voit-en peu de Pays, du Monde, des Voyageurs chargés
^’or-& d’grgfne^anclper;.fegs,armes, avec.autant
^accompagnés d’une npmbreufe efcorte, - Si la nuit furprend le Voyageur
dans un .Défot: , il s’y ,^ f tn & - y dort fans la moindre-crainte j fi c’eft
4ans un' Tomba, où Auberge, i l y couche aygçjamêxne quiétude d’efprit,
quoiqu’il n’y tait nulle porte fermée-. Perfopne pé le trouble non plus dans
fa | 5 0 g i g a v e c laquelle
iil'tQyag.ë : çhofe extrêmement çpmmpde qu’il feroit a fouhaiter qui;
fefenyontrât ,ainli dans tousjes autres Pays du Mondé.1
* Les côtes ou flancs desMontagneS, da partie au-deffous du fomtnet*