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Quand |âg||pp!|É^ «Ht
i^ r ^ o ik . t^epe.,. f f 1 w k lM r o i f i i i f fM i i t i l t i i f iP f tf*3"
» ; gjjgs. ÎÇBF fl^üg^^r^Ç-gnTp6^? :
croyable a-qmconqueneTa pas vu} mais fi4’pn. .çonfld^e que ■ ces- Créas
s e s laiffeat. croître leurs mamelles ians les .glBer envaucuae façon? &
■ qu,il_yien,a à qui,elles pendent au-defîous de la- ceinture, ;qn ne trouvera
,pa^^étir^^gïi’eB^-.pÿir^tl^Jêtter j^d^as-J^j^p^Sjpejijix que l’en-
fanlïes jfiuje îamiy ^
^jfiaBüIement ÆsrBlançs, tant fmmmesqne femmes, eil peu différent
ode celurqu’on.pprce çù^/^agfi?. 'Lesperfoimes -ai charge fontyêtues domine
ônTé||:/^'£^èp^;a^.ça;i£.j^érenee-queitous4ëur5 l i^ t s
légers, de^te^qde pom-^perdin^^ils, ppr.tmt- des rveftes !de3t®i|§:;fiiie çte
£reïagt&_&. les’feidp^es.fô mênie : r jes pourpoints font, de quelque étoffe
fgrllficejorcfîiiairement de tafetas ufli d^^ute ^puieijr, dont-l’ufage eft
générdifki^ex^epiâ^p..d%perifeot»e.; Les peir,ùques -ne .font- point; ceniufa-
g e eÿ;^tte Vifle, & dans Je tems que nqus y étions, ai n’y avoit guère
que le Tjouvemeur & quelques Officie® de la Ville-qui en portaifent; mais
— le nombre ené to it'$$$ peçit.. - 0n.n’y porte pas; non plus cravates}
©nj©cbnt;entede ferrnei'Jeed de la 'çheraif^ayeo que}qqegs©sboutQnd’qr,
SaKiepïulÇçqyqftiion Je laiffe ouvert.., ;|ls portent.fur 1$ tête un bonnet
Liane detqde fîiié;, plufieurs.v.ofit.auffi n u - tê te# fe coupent.les ehftYP^
au c h ^ o a .^ îk optla coutume tfe psoe®Ci|#§ !? éventails; pour
jÇes eventaife font tâflùs d ’une ^Ipée©.de palme fine # fortd^ligé #1 fritte
.dë^-^ipe ayde un iwut^p^^êi^paime^qal^^tdéïwnfJiê* ,
qai;peff)çil>as Rfe)jffin ni d’une famille diftinguée,
«4>ece de manteau,
lâtres & quelquefois même dSégres ,'.sffiabillejBt comme :le$,îMjpqgmls
Comme.les plfis,ffilHngoiâs du Bay%
ui^:l(^^.rder|upej^féQe& attasBÉl%#"
la ceinture, # qui pend :de^à7Jtdqu^ufc [t^toias;^jjéi^^ap|<eBeset.'.'jW‘
léra.r • Elle effile tafetas uni & fims'doublure; _4es. rcjïaléurs • ne dsuroper-
mettant pas ,d^n.‘ufer.autijeipCTt, :te«r'adéfeai4'jd^iftttt
du corps jufqu’au- milieu. Elles ne'le portent rque dans la fadfqn quilles
nomment Hiver', „ en Eté elles le quittent & ne le peuvèn£*fouf:
fiir-r KEUes. je lacfpt tqiyput«; pqurs fe couvrir -la]pmtjSnei Quand- eii
les lorteut du Jogis©Mes prennent la mantille-&.%J jupe , & -ont ebutto-
ffle, iofSquelles yon t# 1a Meffe‘les’jours de Pfêéeptes, deïe faire dèslés
trois Jieures du matin , pour éviter la chaleur qui commenceèvec le jour, 1
Les
VOYAGÉ AU PE&OtX Lw. I Ch. IV. 51
Les femmes. quî rie fônti pas esaélemènt de race Blanche mettent pais-
deffus là Poftêra une Bajfyigne -, ou -Jupe de tafetas de la coufeur qu’il leur
plait,ffiais- j.bfi& hdîfce1. Gétte-jppe -teute pereée-de petits trous,pour
feiffer voir cëflè! qui- effi par-dëffeuL Elles fe couvrent là tête d’une efpéce
de bdîinet qui reffemblé- â une mitrei- it eft de toik'Bl^nehe & fine, fort
garni dentelles-. ' Aferce-d’efepoiS elles'parviennent à le foire tenir
fcbut dirbit fur; lâtête; B eft toenmé par urte pointe, qui répond, perpendi-r
euïairement $.à 0 àtî Efles^appèllênt éè Bofiiiet Pégnftâi & ne. fertent
jamais1 fans t^tïe coifurei^ Les- Femmes dë-conditin», en général toü<
teS les BlancheSVfont vjéttiës. demême dans leuS Éëgligê’ j foats cet habille*
mérit fêtâ fed miet# qu’aux. autresi,’ comme leur étant plus naturel. Elles-
ne portent jamais de foûlrers'ni dedans ni ho® de la maifon*. mais, feuler
ment une ëfpécê de mules où xtn’entre qute la pomte du pied. Quandek
fefK^iî^teu r^'ÔéÜqite^touEJe^ à'-fe- ObuchA à:
tnoftië dans bit ellesffë Béiêënt & fe brandillent-pour fe;
ËâfMchir.. Czé'Jamacâtfyiit fiu=la mode en bèttê-Vflle^ que dans toutes.
îés; maâbfis il y 'erfdejux, t ^ o t l ‘davantage} Mon-la famille. Les fem-
mes ÿ p a ^ n a plus grande partie du jour y&quelquefois les hommes-«’y
repofent commêiés^ femmes, fâns fefdueier de rinbonpiodite qtffi y a dp:
n^y pouvoif. pas bmitendfe le corps. & . Æ ,
1 On remarqué communément dans les dèux Sexes beaucoup d’elprit&de
pénétration, & cêtt‘é’ïâcilité à réuffir dans toutes les Sciences & dans tous les
Arts; Dans les Jëünes-gens on apperçoit une grandë envié d’apprenthe,
# beaucoup de difpofitions acbt Lettrés,. donnant dans cet âge tendre des
jnàrqpes ^gémdqu?^n^p%^fr pifleurs-que plus tard & moms com^
munement. Cette application léûi* dure jûfqu’à fige'de20 à 3© ans; mais
à peine y fônt-ils parvenus, qu’ils paroiffent oublier, avec la . même fa»
cilité qu’ils ont appris;. & fôuvept même avant que d’arriver à cet âge*.
où il faut ^Tr>Tnfrrirpr-àrecüeifrir'les fruits def étude, ils -djàndonnent entié-»
rement les Science?, parune pareffe naturelle ^ui met fin à leurs progrès
& détruit l’efpérance qu’où kvbitteonçue de îëfir génïe.' •:ij " ■; • f-
V jm principale, êaufé. de cét^dééadè!iée ,.viëit:fans-douté du defaut de ne
foyoir pas à qûhï êWplbyér%s1ùnnéres; & de n’avbir aucun objet dé*
mulaùbn,ne pouyanVfe.flâtt^qpe leu® talens leur procurent l’avancement -
dû à leurItravatéf1 Ùfctéràlreâp&4 l rt^^dfcnt^Afmée dé te^e^niyde
mer, #lèsiEfi§pîbià LjttéMfeË'fbftüefeB pétrtë’ quantité, qu’il nteltpas e-
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* (ÿèft -ce ^^Sn’ appeHe; autrginent Hamacs, «s’eft-i-airé^ des Lite fuspendas.: Nep. du
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