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felon une rélatiofi;i^ailiere: & jufqu’au 2/±Fèv%er de l’année fuiviatè
1Z4-7 3 jour deda date de la,relation, on^en avôit;epmpjté 451 V’dontpÏH-
iieùrs nVvoiént pas, été moins fortes quejes premières, quoiqu’eUeari^uf:.
font pas tant duré.- ■ |
La Forterefle de Calîao dans lq même, temsçpreuva unê| égale" infortune^
mais le dommage, c^ufe* à fes édifices & maiféns ptff fët;txemble-
ment de .terre fut peu de choie en comparaifon de ce qui s’en, fuivit*, par
la-Mer s’étant retirée de fes bords, comme il éfoit arrivé dans d’autfos
cas femblables , revint forieufe enr élevant,-de§ -montagnes d’écume, ' &
tomba fur Callao quelle changea en un abîme d’eau., Ceja n’arriva pas du
premier coup car la Mer s’étant retirée ençqrq ’une-fois ,• revint bien?
tôt plus forieufe qu’auparavant, & éleyant plus haut fes, ondes ^ cette infortunée.
Ville, qui avait réfifté-à la,première inondation,' fut entièrement
engloutie, fans qu il en refiât d’autre yeflige qu’un pan de la mu-
raille du Fort de Santa Cru%> qui fembla n’avoir été préferye que pour
fervir.de monument à la poflérité^u malheur-de^te?Ville. avoir
alors 23 Vaiffeaux à l’ancre dans le Port; ip forent fobmergé^^es quatre
autres^ parmi lesquelsil y avoine-Frégate nommée - San; Femm;i’forênt
enleves par la force des eaux, & reflerent embourbés, jdans la terre, à une
diftanelliDiifidérable de la côte. --;
• Les autres Ports de ..cette côte’eurent le. même fort que C%lb£ entre
autres §t(^çnapè^ L e s Villes deï(%gy aÿ?& Gmw&. &les Vab
laBmrààcà, de:Svp,é & Pa^mlca^ furent..ravagées par 3e trem-
blement de terre, auffi -.bien que Lima, LçTiombje dès cadavres, qu’qn
découvrit fous les ruinesrde cette{derqiere; Ville K q pW s i du même
Mois d’mobre, montant à 1300 perfonnes,.-oytre les ejbopiésfom n’£
toient pas en petit nombre;, & qui femblpient avoir ëtéré%vés(p5ur finir'
leur: vie;dans des douleurs plus vives & pjuidignesrié Q^npafiion. IÉg
3 É8 dé quatre miHé perionnes-qui s’y trQuyoient, il n’ep é;<grappa-quq,-
200’ & 4ei ce nombre^ furent confervés par ce pan de -imraïjle dont
nous avons parié« ; à *
■ Selon dès avis’ reçus à Lima après ceà funefles aceidefts, il y-euHa
mêine nuit a Lucanas un.VoR:an qui creva tout à.coup,,& dontjïfortit-
une fi grande quan&té dleau que toutes les campàgnestcvmfines. en- forent
mondees ; & il en-créva trois autres, dans la Montagne appâtée Cowmfior
noe de. Laxamarqutlîa, lesquels inondèrent tout le Pays,-aux environs, de la
ffiêmemapmre quhlarnva. à Gargudyrafo, dont il a é tê^ a ien t*» riansla-
premiere Partie de cet Ouvrage. i
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Vi.ïn/êl S t. Pétri..
" ï .Dze-zof’o Séhrè&erne.
IV . Spztoecl&^Uütattca.
X .Spüstal2dmaicat/o •
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I E x p ü a lio u i
Des Lettre
\A^(n'no3M.SoüiZMk
n.Tort.de la, C/unc .
IC .Tlaqo du ScuctduJlcino
:D. TiÜaqc de les CfwrntloA
E. ’7/£Hdgé' de Sicrco ■
p i Tiuaac de^diradlorvs.
G-. TcHa^e delcç^dadelainc..
H. yillededtimaCapitule
daTer-ou. |
y . Tortere^pdio Callao.
I ■ TaT’iodrdOmdada.
IK. EL Corçolado.
I n . Este appejïee, le s
II ■ T-rohion.
’M.ElSamèrcrete . ;
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iO. T ort des 'Vieillards.
'V is io deDona. Toucha
Q jIs led eE t Trancisca,
n~Islede SîTierre.
,S.Jêa,Xrure .
bt. l e s deuoc Soeurs.
•v.Tointe des VHidàtes.
pc .Pointe delom çayo .
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