Après cek ils païTerent à Riobamba, dans là réfiduîîôn de continuer
-leur travail fans intermiffioù-; mais aymr:rehcomré;quelq&és difficultés
'par rapport % la meilleure maniéré’ 4e' lilpôfër» les triangles fubféquens-i
•*& commençant tous tant qü# nous étions ÿ tant FranfMs^qïdMjfégno^ à
fentir quelque difèttê d’argent, ©n trouva à proposdë-profitér du tem?
qu’il faloit pour déterminer les lieux où l’©n placerait les fignàux, pour
Tenouvellef nos finances ; & pour cette fin Mr. Godin &DonJBgex.Juan
fe-mirent en routé pour QÜitole f'Nmembre 1^38 ^ d’oMls neipurent êcrb
de retour que le 2 de Février 1739, parce que >le; premier y.fut attaqué de
la fièvre, qui ne lui permit pas de fe remettre plutôt erf. chemin.
XVI. ÊfXVII. Signaux y d’Amula , & de Sfia-Porigo. "
* Les oblervations qui dévoient fë faire âu lignai d’Amüla furent terrniL
Tiéés avant' le vcsyà^e’' dont nous Venons dé p a r l e r&' depuis le a sfled Fè^
'prier Ï739' querès 'MeffieürsJrévinrent à- Riobamba yxxï($m 19, on ache»
Va celles de SHfa^Pongff. J l
XVIIL Signal, de la Montagne de Selgum.
c On ne demeura fur cette Montagne- que ■ depuis ’lè - 20 q ufqïi- âu< • 2,3 de
Fév, ier, parce que le lignai étoit placé fur le panchant -d’ufreïfeüteüïf cferè
î’onprôfitoit des. momèns que les autres Bruyères- étoient débaràïïees des
nu'ages' dônt elles font 'ordinairement ehvironnéèSi
XIX. Signalj Bhtÿèré'de Bénègualap.
La ftariôn fut plus longue à ce fignal,- & dura depuis:le 23 de’"Février
îjufqu’au r3 de Mars 1739', quoique cette Bruyere ne fût pas des plus
incommodes fieja MMÉfâinè. - ' -
■ ''- XX; Signal,' Bruyere’de Chulày.
• ;î)ë -à'-k Bruyere dé Cbùfâiv où s*mBfiCbn§>âgnie
né fouH’fit pas moins/-qué'1a nôtrè. Ils y - fefierent depuis le 14 'de
Mars jufqu’au 23 'W Avril 1739':- -
; -Cette flatiohtfétôït pefint du reflort dé ma' Compagnie ; car enolùivant
T ordre 'almmâ£iffità|îlrentré les-deux' Compagnies-, nous dévions aller, au
Lignai dé ^èkè^üàmp', mais apÿès que haüs èûmes' achevé les io'Ôlèàfvat/ioifiîà
a Làlâügufo, Voyant que Mr. Pîôdin iSkDon Jorge "Juan s’afrétôieàt ttrop
'Jôiigtemi à Quito, nous fubdivifâmes notre Compagnie en deux, pour
Cohtifiüér û méfurâr en attendant le rêtour dé cés Meilleurs; Par cet àr*
rangement Mr. Bôu^defpzBk au fignal de Senèguâd'âf'ï ék Mîi 'déblai Condamne
8c moi 5ÿpuiriâllâ±àe^ Godin & 'D’oh
*Jof&e Juan hôtis àyÛÂt^liMy notre
allâmes notre ouvrage félon l’ordre que chaque Compaghie'dëvoit obferveïC
XXI. Si-
XSiL^Signul, Bçuy&reAe Sinalaguàn. £
,-Çette fiation 'étoit1!u n g ^ celle? -où. les deux Compagnies dévoient, ob-
ferver en commun, ^ l l e ^ ’y^rencontrerentjtoutes;le&fieùx-dans.ie même
ffims..: Celle'4e Fon-. Jprgfr Jp.an, y-.çeftà; depuis le.- 28 ’eî’^&rMîjûfqu’au
9 de May^il9 , & toutesles.dpirx ejurent part au-:travail .& aux: peinésiqui
ne furent pas petite,s j ] ^ de^cetté-Montagne- étant très-froid & très-rude;
XXII. Signal xA&uyerf de Quinpa-Loma.
. La Montagne de-^woajL^^ifirtpneiilesiplusjfàGfieülèsfiiie l’on ren-
contra^ en traçant la, Méridjenne.-; vOn,y, dén^epra;, depuis, le.9^ dé sMm
mfqu’au 3 Ï , gu’on mitfip à la^mefuj^ des apglq?, f:o,rrelpondanâ'à ce fignal.
l|pDe QmnoàALorm'cesZ^'ffieürs^f^Kmireht. au Viil^ggfieÆor ]ÀzQgttesij
où ils Êiflèrcifr Inftrumèns .bagages^ pour aller,a &û«^t?{reqonnoitre lès'
Plaines, dé. Talqm .&..,;dç enOchoifir£^nè,;qui fervît âà
bazfej & s’çtknt detérminés| noutuettéfierniere, ils c p ^ uaréntaiyèG nous
de la maniéré dont1' il illloitAlil]3ofl-r les ^gnaax j après | 3qi i^retourne-
jrènt à Lqdyîs§g fjvH.î
’ - iJÇXIfî. ^Signal4,‘ Bmy'ere B’Ÿ æuayHn
r T.p tri f e ' Ç dmp a g n l e deyijetf rÆAlAum.ùaiTafignal.<db-la
Bruyere â]7a%ay^&Pj réfia. jumu’au j^^de^^Z/t^jj^ellé mtourria^’C®^-
Bmms, .GQimnemreît
Ips Ôhfpryations Afirp^miquès,'ÆLcprérén jufqulau^ ^ e j^çgmgÆdë
la’m|rne ann^' quOlé^eLournà' à ^ i^ ^ J ffl^ & h r iü u e r , urteMUvel Jn-.
faiment n1jsVqior)ré‘’là faire' cès.hbrer^ Hpris avec .plusfde juftelfe, ,
£ X I V - | X V S ^ ^ î^ e g u r i,
( .Pendant "que-ces'^ Iëfiieurs. f^)iLnt .fejpbfi-r,\ a tk^ ;Afirenqïmqfcsr.à
Cuphca., ûs^shèvéremÆSfes qiiifappmttenôieim-à iàJîpe™e'fGêcunéiXifl&fc
aux quatre fighaux pl-dêïïusl LesTrois pr.eip rers féryiren fa àT[ioi-nme^ baze
f l a q ^ e M ^ âtépBM^Vkaàacauri j ù f g / â „ fuite
des tfian^ffi î '& le^erniertfm^t; (^obferv^’t|oire conjointem^wTâyec^ la
dite.'baze. ^ Et m^^^^^^Mie^mmfi^c|j.nt^qùéirmnêeYui-
vàritè cm futf>bkge'de reroumm h'jMmBqyontA.^éifererues Ofifer-Yàtions
Afirgnomiquestm ^neri dftpâs m^nsv-OTafMe'a&lers'tc^ë^lés lopéra-
^ns'çpneérnahf&'^m^O^m^&ique iurèni tertomBesr aè..oe £a£e:]S.
X x V ü l ‘x x i x ; 'x x x . x x x i ! ' ÿ . x x x n . MhM§(Je
T'Cuapulo,' Pamhamarca'l^Gm^mn^^r^^^M p&P' Mira.
En' 17^4? les Affaires" 'qrf-^ôus'‘aÿoiëiit Jp&fles.,!a' D o n Jerge
Juàrï& môipétant finiés*ifipùs'rfeviiifùèâ'ïïan^ ÊrïfoVifite' dé ^plo'poujr
^ " p i u u .1 . u j achevi