E P I T R E.
blés afluratices du ; refpe# trè^profoüd
avec lequel nous femmes,
M O N S E IG N E U R ,
DE VOTRE ALTESSE ROYALE
Les tris-Wmksif fris-
fournis Serviteurs.
A R K S T E E & MERKU S.
AVERA
V E R T I S S E M E N T
D E S :
L I B R A I R E S .
LE V o ÿ a g e f l e s Pérou par Sa Ma-
-ptfâiÉiès*€MtënW'% pm&f îi^dxèr;4m.-'d^^-<fo--Mérîdieô,;'-a fait
trop débraie Qn Ewope’j ^pomlc^’bnrnQ fouhaite.pas d’én avoir une réla-
tion un peu circonftanciée : ce qui en a été publié jufqu’à-préfent à Paris
, Te- borne vprçsqq'uniquement aux> Obièrvations tant Agronomiques
quê Phyfiques, qui:iont'été Je principal objet de ce Voyage-, mais qüi
en même-.tems ne .font à* là :portée’ que :ÉM petitî nombre de Lecteurs.
Cependant les remarques-que’ dé fi Habiles gens ont faites fur THiftoIre tant
CivilequerNSàturelle, & fur la Géographie-d’un Pays fi peu connu,-où ils.
qnt. paffé plufieurs .années, ne peuvent. qu’être extrêmement intérelîàn-
■ !^â;MrÇk jLmdêmminFMappâsirst' manqueront; pas fans-doute* d’en
donner: un détail .-çârcpnftancié ; ‘. en attendant qu’ils fatkfafîent. à l’impa-
tiépce du f ià ik à l’Ouvrage
que nous publions à-préfent.' C’eft celui des deux Mathématiciens
iffUgnols~i qui*,ont été choifis par Sa ^Aajdk.é"Catholi^tte i pour açcompa»
gner;l^rs. les \ Jçgdémmens\ de:Pms: , & les., affifterdans leurs Obferva-
tions., W^S^’eîdeiOëilaivreîon fe convaincra que -ee choix n’auroit
pas pu tomber fur des fujktsplùs.càpabiès.IlneiaifTerien à délirer fur cet
important Voyage. Tous, lés Pays que ce's Meffieurs ont parcourus y fonc.
décrits avec la derniere exactitude; & rien de ce" qui regarde les Moeurs.
# s Habitans, leurs Loix., ! leur .Gouvernement & leur -Commerce, n’y eft*
oublié, non plus que ce qui a rapport àl’DiïWiK;Naturelle., .
jjpSïis le lecOTid Volume on trouvera une Hiftoire Abrégée des Tnfju,
& des Vkerois qui ont gouverné julqti’à-préfent le P^row; nous l’avons
ornéè'de plufieurs Planches qui ne fe trouvent point dans l’Original Efpa-
àïéïy ma^s fiù’il ne faut pas cependant regarder comme étrangères au
f||pt ,ÿ|üsqu’elles font épiâtes tirées de Y.fRjloire des Tncas de GarcillaJJo de
la Fega. j A la fin<de, ce même Volume on trouve le détail de toutes
le^Ohfervations djlronomiques & Phyfeques fur lesquelles a été fondée
la. mefuret du .degré dn Méridien fous l’Equateur. Ét qu’on ne croye pas
que qette derniere Partie ne contient que ce qu’on a déjà vu dans les
Ouvrages q® ont-écé publiés en firame* - Si les François ont la gloire d’a-
*3u î^ e (b) voir