mat» de Décembre 1737, que tes fignai® ayant été. rétablis, il» «etouttîerent
à Trnlagm le 2a de Décembre? & lezp les obfervationÿ furent terminées,
, V. Signal Jur lot Qàllîpe de Guapufe^^,
GuapuM’efkipas t a ï a u t , & cette C e fe - e ft tout-près de Quitoïàe&xl
tequeees Meffiems nhmokm que faire d’y cocher ; tous les- matinsfis
fartaient de la Ville &<fe rendoient, à k tente de campagne,, oùétôknt
tous les Infirumens gui fervoient aux obfervatâons ; & quoiqu’ils" tr.a»,ail-
laffent ayèoheauçopp de diligence & d ’affid.uïté| dessj^fervations ne purent
être-finies que J'e ,24 dô jfanvùr xjrgjjU
VL Signal dans la Cordillère ^ Bmyere de Quamani,.
Le fignal de Guamani fe trouvant placé démaniere
point celui du Cçsastm •isîaaï^ç^ïr;âr-,cet inconvénient, ce qrn
occafionna deux voyages^ le premier le de janvier ^ teti fécond dp'
Fémier^ & qe-derme? fut -û heureux que tel lendemain ,8 du jnqnje mois
*out y fat acheyé.: - ix .;■•
, : V IL Signal far h Gùrazon.
B j eut suffi deux voyages fur cette Montagne >t-l’,un de Mvf^er^
l ’antse Je 1 % de Man- 1738.
VIII,; Sçgita-If de LimpierPongo fitr, la^Srmsrejf^Çoî.opicïiT"
Le 16 de Mars, ees- Meilleurs, montèrent à la B r n y ,3? y
fdleEenfi judqp’a» 3 1, qu’ayant mcpmm qu’on ne pouyp|t pas,’ dégpiprm
de-là te fignal, de Guammi, 5 falut en aller p»fer un^. ehffe ‘deux, ce qui
ne-fei achevë (jae.te-^à’^foiîi 1737* jour auquel on revint aû Banal* de
Ijmphz&&ffâ9y, r e f t a jufqa’au 13. .Çe^tîSns ce,ÆcQnd^ ta | :e2
que l^ ^ ^ ^ ^ # ^ inaatanr la Montagne §r,,la mikeV tomba àvqç Û,
monture dans, un cr^x de quatre à cinq toifes de.profondeur, fànf fe’fai-
re aucun roæk
v Gtetre k fignad qu’il fahit mettre entre ceux àé'Gyamni 4î de ümpîe-.
Jémgfky on fut encore obligé d’obferyer les. angles de quelques- dations
déjà termâaees. Pendant que les observations de Umpie^Ponge Jtùcerit
fufpendues, ils firen| des ebfervations fur ,1a. vteeflp,du Son, pour remplir
fiet intervalle dé tems;
P IX. Sigml, Bmyere de, Chinchnlagua.
. L e lignai de. -Ç^sfuils^m-dépit». fi tué fur la Bruyerede c,e-nôjp. Les
©Nervations,yfuJontfâd^véeS’Ie^B-s^^i;:!^«^- Mais,&’étant. é|evé.guçS-
que doute touchant l’un des angles, obîèrvésj,; il-falut réitérer cette ffa-
tiortapsès' qn’on, eut; terminé celte -à&DiMpâe?$ep0 :v pour s’en affiner,
%. Signal, jm la Montagne do Papa-ttece.
Après qu’is eurent vérifié r^fervaûon de Chimàulagm,. ils pafferent
m afT4,'i: ***' 'Pa^We/àâ ©è' ils finirent tee obfemtions du même
mois' & 4eJà:ils fstournereni: à Qÿitÿ p^ur quelques affaires concernant
Meffieurs tes Académiciens François,-
XL Siggidy J v iar^ïnoFo Milüî;
f Açs affaires qpiavoient appelé Xlr. Goàm:^ 'furent terminées
dans-le coipasat de.ee mcis> & te Jk iS'eftmko Meffieurs
setournecentau-fignal de MUm,. où.-ils furent occupés julqu’au 7.
: , XJI, Signaly jfur la ÿmym, de ÇhuJapu.
s ^ MUm Us pa&few %pbnJ0 u,m üs reffetent ju^u’au 1$ Septembre
|u£qu’à®e ffgm â îW b ^ S ^W ehacrme «tes deux Csp$agnies cNava.
tes troîs aaglgi de tous fes triangle?, tant paree qu’ils différoient entre
^üx » cpe. jpÿwjfe que cette atmntion vteïifioit te^ des divifions des
qu<ttts-déÆ®©j trouvées -parles1 aulires méthodes dont on s’étqit fend
gWrtes corîîibîtrft.- Majs depuis ce fignal en ayant chaque Compagnie.
& eontpntatdtebfovep: deux angles de& mêmeg triangles A en commun,,
esmnie en,
XIII, Sigwh de. Jiyioatffi.
•■ ■ Le'fig^de jivicntfujipié &r la.Cpl]ine-de çe nom n’occupa ces Mef-
f i e u m i a j u f ^ ’au 2$àz.Septembre;. Uetteftatjon fut des moins-
incommodes', la -C o fe étPit peu étevde^ÀTmr.n’y étoit point froid j.les.
environs enfant agfégbtes« ilsetment-.àportée <te Village àt^ijlaro,,
d?4u«Woù^q|te'!’S'ren èëutéldes provifionsfdontril^ avpient befoin.,
s X IVé X V - Sigrums,3 fyr 1^ fiwyeçes Mulmul é? de Guayama.
Je<jïfins nés.deux'Montagnes cntemble«, parpe que leurs croup.eSîfbnt -
unies par.de.pelâtes Colites où l’on -trouve une,vachette, fini &rt de retraite
aux'B’ëavi'ers Indien&küL mènent paître Jeürs boeufs & vaches fut.
tes paiichans/dë ef^ Mmîî.ai^tes^ ^ Don IqSe"'
rent dans cette vacherie,- d’oh ite avoimt.jQputume:de fe rendre le matin
fur l’une & d’autre Montagne,, peur y faire leurs obfervations quand te
ÿems étoit favorable* Mais comme Ja difkançe entre ce? deux Montagnes
étoit fi.pvjpfcq diftpees fuivante?- qj^on aur.ote
seonelw® par par celte de trais- autres, triangles auxiliaires, i l :
fidJut indifaenfahlement, déternuner- les |aideoits pù l’an .devoit former '
©es trjji.ng'teijj foi?a:|yê.ter dans;,Q&j[ieu' j.qfc[u’à- ce gue .ces diffanées étant
étfèiies,,.,on |)ùt wto&rpt..tonçe?-de? idhfev'hjphs, ee dont'pn ne vint h .
.bout que te.aa üQ&obre 173,8.