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autrès^ü eènë-, -&fdé divërfes taahiërdS; $&&
pfè îqui ’maveit âuèüne coïfiîoiflkhce dù fa: riï de i'âeier, alt'pü tailler
& percer UHe'mktièreauSÏ' diïte que celle de 'Cespierièsrprëcieùfes. Ce-
pëndané îls *lës pâ^oiené d^^âhMht.de. délibaféle qüîiï elt pofi&je de %
faire n’eftmême pas um petit'fejet
d'étonnement, les tins traverfant diamétralement, les autres nèpéhétrant
que jufqu au centre de là pierre, <& fottant par les PÔtds pour forinerun
triangle à peu de diftance les uns des autres. La figure dêlM'Iiefefë^n’éteit
pas moins variée que «elie-des pertuis..
Après ayoir dcMié:)lâ4 efeiptiQn: tfesr Qkaques cfé ces Peuplés, idolâtre!
dbrit lifflÉgé- à cèt ëgârC-hîëttÉ^pas rndins commun éhez; les haliténs de!
Provinces mért&ohalês du Pc««,-je-paffe aux Edifices fompfeaeux iqu’ils
©nt bâtis,1-tant pour, fervir àfeur Culte àque pour loger leurs Souverains, <Sc
fervir de bàbriere à leurs Pays.- Et- quoique ces Edifices ayent;ét4 moins^
magnifiques- dans le Royaume de Quito qu’à Gu&mj -qui etoit la Capitale
Be l'Empire ,, &:la‘réfidence-des-Empereurs Incas, B en refte 'néanmoins
ikdke àaê^pouE'faiié juger de Ja-grandeur'delàNation,.& defon in>-
clination à l’Arehiteâure', comme fi-elle àvoilr voulu-réparer par‘la fümp-
tuofité & la magnificence de qui lui manquoit du.-côté-du goûtr & ië-
' ; :OnJvdit encore la plus grande partie d’un de'des ouvrages- âansrlaVib
Ife de 'Ctiyambe'.^cë fdftt les reftes d’un Adoratoire ou Temple fie-jbriques
traes.. Il eft fitué fiir un terrain' élevé 3u iriême yilfogëj îeqÆl|forniê
Une ëf|éçe de. monticule affez-péu haute. fElafigure1' de’PEdifice êfd rofidè
& 'd’-une gràndeur fuffifante'j puisqtdiba envko^liqit-^^ffs^e'diamétré^
quiJfont ’f 8 à 19- aunes j furiëhviron 60 âüfiek-y&;.cireonferenée. Il
feWrèftl de^cet -Èdfficè ^ e le s fimplës1^ ^ ! ^ , '
be'-, -hautes d’environ deux toifes & demies *ou*einq à ;fix aunes, fur quatre
à cinq pieds d^épaififéiir. -Les briques font jointes avèc-do' là 'tér^, mëm'è
dobt efiés ont été faites ^Sdle toutenîemble formé un mor'adffi ‘fHtide que
èii étriit de pierre, puisqu’il réiïfte aux injures du teins, auxquelles iLeft
fe^jofé faute deùbtfvert. | -
. bbïrë?îa riadition-par l^eHéonfiàit que cet Edifice a'été Un Temple,,
1*i iriadiere dont il eft confirait ne perrfiet pas -d’en* 'douter -an-effet
fermef ohdéV & fans aucune fépatation au-dedans, fait Mtà voir que c’é-
•& non une -demeuré pàttioufere. La
pôrçe qureft fort-petite ,donne lieu de penler -queles. Rois Incas éntroient
I - ici