cheminant par différents Terfres & Coüines.rabibnheiifes^qiii'deiïtiiiJe Cap
de Neige vont toujours, en fe dilatant. | Ce Cap, au. moyen :de’ fê^’Jsèrres
tjüi vont par. unlongjefpace'en panchant.des deux'QÔtés -ÿers Ja.-'Mer ., en*
virémie & revêç.poun-ainfi dire la Montagne: dont : _je;yûenslpiiparierÿ :&
en forme .en quelque maniéré les
rivâmes kuu.endroit nommé Rumi-machai, c’eU-k-dke, Cuve
nommenf.de oe,quyi y. a-là un ,gros ..Roeher,qui Arme, ®n Creùx ou
nnp;e{pénmfe Caverne dans.^eonegtyjté& eette Caverne ffe,W|^f^ cou?,
vert & de logement aux Voyageur»^--î?
' ' flette journée. né laiffa pas dTétre incommode ;ear^quoique^J^cfcemin
î f ett :m pre'çipës., >ni paffages.dajpgerenxj congre çe®c .que nphx avions
eus jufqu’à Quaranda, néanmoins fle frçid exc^D,f & la ^oleB^^u.j^gnjt
nous inQonynodoient extrêmement. Après que nous,eûpgg? p a^ le, grand
4rénaL& furmonté les plus grandes (difficultés, de ce^qjeigeqp de, Br uy erg,
nous ^perf^esdesi^p|i|Sîd|unJ®?ifjyPa^^dps Afffvjfilÿf-dans, l’elpa-
ce que, deux MpntâghesMffept entp, eUes^ dçrnt i l pg re%* plug, que
quelques pang.de muraille..
-, L e -2%; k §■ $ ^eïïuométre: n^mqupîfrl ir^ ^ iéçé^qm
eftie terme de la/çongélation dans cptf Inïfrument., gJLa .Çafflpagn&;. parut
toute blauche de frjmats &;dê.gréfil4^t la cabane okmous avions; couché
•toute couverte de gelée.' A 9 -heures du matin.nqg&ïnQu|ffiâvîmes notre
route côtoyapt .toujours le Chjmbarazo à l’Efh A , g heures d u J^ ’&qus arrivâmes
à Mochafqui n’elt qu’un petit Hameau fort pauvre, oùjfous paf-
•igmes, la nuif-.
Le 24i ? d heures- dumatiù lè/Thprmométre rnarqnpü>jtgoér: .àjp hein-
res-ayant nüdi nous «continuâmes jiqtre chemin vers que Auberge s a®pel-
lée Hanûata, où nous arrivâmes à^une. heure aprèsmfâdi. Dans, ce Pa,%?
fkge on trouve diverles c£evâffes;e>n- coidjggs qui deleendent; àp.-l£wm(rif
rqizol cqtçe Montagne,, toujours couverte de peige^ffig. quelque-diftan,ce
aqNqfd du Çbimborq^/yEîitx^ Jesxgtevaffes dftnJjJ^y^nxAe parler, il
a upç par.où, il peepide jamais, d’eau*. .même, ia ;|ërre
dent éllkeiï:formée, reïie fiche à plus de 4 aunej-qe profondeur}. Cet;te
puvertmç. a éjté çauféq par un grand Tremble^n!;.fde terre,dont.ngus-:par-
lerons dansun autre encjroit.,
J ^ ÿS5.du,mênie ipQk le Th^nqmétre.avoît.marqué heures
dû" matin dans Hanibato où nous p,a£jlhnes. ,1k nqit y 1 lé k l^epres
du ma$iula liquguuie maintint. à,~iQ.op f.r Lu,même jour nous panâmes
lX^Riyiere de Hqmbqto.jur.un, pont de jbois., enfume, celle à^ySh-.M^
mb
d'el fiitrUP pareil Auberge de paffage.
Le 27;^^h|r'|ï10rïict?:'e marqua à 6 heures du matinidtoop. JJémême
^^^opg,paj:£îmes àeb>atacungq;& ^ilfâmes.fùrletrok.'au Village deikfw-
l a - b À H ^ p ^ | § | S | 3 gPglBPC,Riyiere- n pm m ^ J la q u e s^ - '
Le 2g la liqueur du -Eherinom^r^'. fe maintint '^Mmla-hah au même
gegré qu’à Laîqcungm Le/oirrdüiÆtâme jo& nous-arrlvâmes à uneMai-
Jbn(.de- campagne-,\pr,u^ëÿé§e^ïda;'^eutilhommier,e nommée O fâfvèin ch ç.
Le chepiiu ioiuik^-ommenfa'* par une ;Bkinp affea grande;, an
j|qut,d.e laquefe.feîtrouÿeïnîi,' Edifice cof^kiak.îautrefois^pax les Indiens
frentils,,^ & qui etoif ^^dgSvPalris'd^'kw'S'j Imûàmï On le’ nomme ê d llü ,
& i f donne fon nom‘-à tpupe la ^laine<>4®^lkpoûSîm©ntâffi'es un "Coteau^
auJiaunjduquelçpn •^qqye^u^e,P{laine' auffiiéteÿri^lfâ^e; la-précddeiite, &
jdogitrieuoxueÇ: Xi$pdkt$i Eprijas^du^^é^u.rN.ord,^ eft uU^maifon où
n0us,,paflames Jai nuit. -,j, \
Le a^ù'fqs^eîates du marin-.,re;Ttnerm^|ri'|fre marqua ■ Jt®®j^.'--**jNeUS
jpnrmmençâ.mfis.in.flUteÂquBn|&Iun peu-^e b.onne..H§df|;,|J^pk?è^ qùd' o’étoit
la Bprpfprq; "fenrie^;-^ nrevaffês^ &• enlîn
nops nrriytojes à une^grande m^&nommé^^î^^^^èÆ-jijp’eft-à-dirâ,
P la in e ymbmfgm>àïlextrémild-de laqùvelle eftrla-jCité dpj nous“
‘entrâmes le mé;hle.jni]r, à|ginmheure^du lo.^ :.>Le -Préfident qui goia^er-
npit .alor% ceftp. Prof^cqi.é ey,yy| bAfkera^tçpà nous
arioit fait^prqparet unlogement ati Pakis- de l’âüdiençe|«if& nous régala
fnJendidemetïl: les .trois^remiers jiours^|^ndant> lesquels-nous reçûmes les
-4,vintS-4fe l’Èveque, aes Auditeurs;,. 4e.s .Chai^înes, - &y,4es' RégidorS de
rftfirp. |tLll.ïevÆinffque d e i t q u t e . . a u t r e s Perlbhhé|j|e diftinc-
\ion.r, qui voulurent k^enyi k& unes,d,e^ autres, faire, éclater leur > polîtes-
fe envers^nous.^ 4
v ,Apres àtoir' parfé allez,, mi long ues incommodité & ,jfe^ftpérils auxquels
gaqq&Ja’^Ons été expofés dans lets* diyerles Çontr^gs par lesquelles
npuWayons paffev il nodenL.pasV^^^J^hnyênable-de faire mention des
chpjLqs,lks.p,Ü^^marquab^^qqeik Nàtux^y, produit.-*- - 1
iL l l y^k dqux jfpHès de terrain .dàn^lkipace qqi .’eft^ëntre Babahoyo-,
ou .depuis. le, nÆrac4(4,jufqu!à Guqrandà.. - Le premieîrijufqu’ à Tarigqgna efl
uni, oc depuis. TarigàguaypÇ^'^ Guaraidfl ce-m’eft ^lîë^mofttées & qi^e
defçentès.;. L’unr&J.’kq!Xé«&»meme jufqqlà deux.Seues au-delà de Puaara,
font remplis. de‘ Montagnes* co.uv&rtes,.de -grands arbres - de .différentes
elpêç’es,,Jdc^t ïd^irinpl^igp,ÿsiîfeuilles^ aulîl-bieru que *la^gr©ffeur -de
leurs troncs ^rinç quelqiie cSoïe dé fingulier, - Les Montagnes, qui-foc-
' ’ A ^ r - ' ' roejat