fërfiftsnce qu’l!'ÿ-a d i Eaïfcillteôttè- mu.4
cher. Mais comme il fenport^ de- détruire cettfeâpfla^ÇQjpoiSiSUf
fkVâtiôh Mt>hôlUeÿcü^ft^^dértc.qttqqiioiqaçil^.§bi^>%i^i?i;fépa-
tés'r <ki?hë te%téiÉ e fn i^ra&clûk m pariicadier, £uisqp.’üvii§ s’agijt ■ pas.
de les comparer entre eux, mais feulement: délies, .unir., |
&r Dans toûS les ïnftrumens ordinaires on-,me, peut. ob.ferver la-hauteur
mérîdiénné du Sbléil'y quand fa fomiere-éftjrop f<^le-ppur; faire qnjbre;
8c tfacër fon-iMàge dans lesdits Inikumëns, ^e.quijæTiY# fefque quelqug.
hùa^é épaïyfbShfq&.;
fervàtion fe fait alors avec la
étoient dans toute letm-force * aveocette.îeule 'différence, qu’étant faibles
il n’eft pas néceffaire- d’interpofer lesorefres* opaques ^deftinés à tempérer
leu^Màt & leur vivacifëi AqüpiUfaut.^q^r:‘querquoiquç;l’h^izto
foit un petf brohSlé ,' il m’empêche pas le fucoes. de l’ojÆrv^mn^ pourvu.
|u%foB^ercèptfcle.aMmùdt, puifqm’on le.ïg>it de lafiugme fa^on &
fans là moindre différence âu-travers du miroirs &A!obferyution:,Je. fait
auâl exâ&ëment dans cés deux cas que s’il n’y avoitpasde moindre ôbfta~
èie aû Sdle-il dc à ï-’horizoft. Ces fortès.de cas fecengQntrent, fréquemment
fur Mef , & font c^ufe.qu!6nne peut ,çonnoîaeJa;Lâtitude dans perrmgs,
parafes, ou çeüte' connoiflance feroit extrêmement' ii4faffaire'.. -
- IMtquÊ-fe Sdlèil ift-près du zénith,' ou,les
j^utétâêteâ, ou elles font tout-à-fait inutiles, & dans aucun de cés cas.
il m’y auroit pas. de prudence à s’yt fier. La raifoneftj - qu’il faut que le
ïnWemeat del’Aftce foit confidérafele poi^qu’'<m:]^ E « Ç Ç ^ j t e .^ Ift-î
ftrument; mais la juftefle de l’Inftrament dont nous parlons ici, elttelfj:,
quloi^ÿ remarque ju^u’â une-minute., ce qui>-paroî§rar étonnant .à ceux
îqui font accoutumés d’obferver avec. des ïnftrumens 0^3- ou 4 minutes,
ne fe font point remarquer, quelque attentifs que foient ceux qui dirigent
ces fortes d’Inftrumens. ’ Pour s’en convaincre, -, fujfira tde conceT,
voir] que le" corps du Soleil eft transpofé à l’horizon- par feffet de lâ^réj,
flexion, par cohfêquent tous les mouyemens,qu’il fait étant près du
zénith-, répondent ici à ëeuxqu’ilfaitlematin quand il--qpmmence. fe
lever oMe fôir quand il lë :couche.-r.
- „ Aux quatre avantage eiïentiels que l ’on vient .d’expliquer, °P Peut en
-joindre d’autres qui réfidtent du maniement duditrhiftniment, lesquels en.
certains- cas ne font pas moins importai^ que les précéfleps. c. Tel efl: celui
ci, lavoir, qu’avec J.a mêméJaeihtéiqu’&p^ioljlèrveJe pptit. arc de la
-hauteur .du Soleil oit d’un autppAftre qu’on a_en.%e, on ^férve aulfl ||
plus
plus^rand de cetei-qu’on â à do$. D’où il fuit que fi uhe partie de l’ho-
fizon eft totalement offufquééibu interceptée' par la côte voifine,Gnpeut
fai?e l’obférvation par îd calé/oppofé.
L a difpê'flîûidh deréet- Infiniment & la pofition qu’il requiert* ne l’expo-
fent pas tant âii vent-qiièïles .autres j :tOut le volume de celui-èi eft presque
couvert; du corps- d© FObfervateur pcde4à'Vient qu’il n’éft pas fi agit^
quand lovent elfe extrêmement,fort.’- --Enfin il a> encore d’autres avances
& commodités qui te-rendent préférable aux ïnftrumens de-cetté efpécé
inventés jTafqüid,' comme: il' fera ailé de s’encônyaincre par l’ufage. Mais
il e-ftTur-tdùfiiiéftima^bipar la facilité qu’il f i é à le diriger, j
C H A P I T R E II.
Remarques furlaK^^mtj» acquis Te à la Pûna.
Kenîf&fCourâns d'anscenèTroêen^^r
LEs Pr^i'lMt^fCoihrîïe ë^ëté* dit^ïâ téàufeidji'rdmgemént des Sax^
' fdhs & du’Climat'dd^Pandràa, &idfôù'< ovîefftl’Eté. G’eft ce mé^
The véht qhrïai/ vari'ér'lé tems dans la traverfée’E'u Po^t^de xPérîc¥e hb'îà
P u k k ô#plfltôt jiHqu'àn^i&o éÈancq. Après1 que ce vent a coihméSfcë
'à'îe faifeTen^r é'Pamma,- il s’étend-peu à peu, & co'mba!t-les vents de
Sud^jufqu’YàMqu^l lés ait furmontés, & qp’ilufé fèït^ établi/ Ordinaire^
'nfèrîtfles S-r^V'^^fe^fdht pas1 Téftéir amdéla^d^’Equateur, éù éllevont
hième’ àlféz peud^fèrcé", deforÈe qirenii- fdht fouvêrif interrctapûes' par
ll^stétilme's'7, ou par d’autres-vents foibles-& vafiâbleS. -Quelqùefois pdur-
tafit-élél pénétrent pli&;loin, & jufipfà Plleld^-îa Plata,}ibu -aux ënvi-
éêSf? Leurcplûs‘grâhdeî‘'forte,.feJfait toujours fentir- à mefure qù’on ap-
pî’b'che deîfy8SS«l?tS*Ce,veiit, qiii court du -Nord au Nord-Eft, iêtcoye
l^S^dë^t’où^nua'gë-^ééràiîfe les^ëtes eh é&ftant-lës^roïiiîÊirds, &.n’eft
f^ în t ’axfcëhilfefené de plumés orageufèa; mais-fl poiiffèdés:bouffées-fi vio-
kntesT& f i fréquentes^^■ tout^depuiS le-Cap Saft'Ftkiéifeo jufqu’au ©ol-
phe dè Panafnif^âb' fah's unte attention -partiéiditiÉfidaîis te mmievîvre’'
on- couîToit de -grands rifqùé'S. -
Quand lés Prifes celfeM, lés véntsdèJSud commencent à s’animer, &
parviennent à‘un degré de ‘force au-flefliis des- Prifes quand, ils font bien
é t^ ii^ Ces^ntsrf^^enâent Mdi comme plufiéurs
-font crû'5; Mais ils courent dméud.Eft’au' Sud;Ouëft, s’éloignant .plus dû
^ S Sud