qu’il ne puîfle y avoir de la terre mêlée a¥êc cefuihiër, ou que la partie
la pFüsTupérficieMe'dë M':tèrré;!Bai fffe-ttotive, pffïïÊipant uii; peu -de f?i
naruréi ne puifle âvOir-à peu prèsi les imêmes ' ■ proprîé6&^ue? jraJt l Quoi
q&ii en: foit;;dùEmployé'5ce üiéfefdàhs ïes-'-champs Ou-l’on-fémel le;Maï&i
ïl: Âëèéntrlbuè pas peÉt à prtxafër une:abélnd&riterre^
avec les arrofemens. Enfin il efi bon pour diverfes^ autres^ femencey exs
céptë'le Fromefit & l’-Gfrgë,1- & :tdutefdis!il s’ôi'c6nfeiWe"boa»coup. ; IJ
*;T3utrë:feè Vâgèasi dës^faifiiriif les Sëinënces J&rt£“lëi"Gâifipâgîi^
fq àry^iëll,; & p a fô ü êilès fêjohiffent&^amuf^f^âns-lë tëmë'fe-Séi
LL. coites, il y x des1 lieux cfèlà Nafüie toute- le®iTâ ‘rlbin’/^-pa^ifire''ên$
aucun fecours étranger, & de fournir aux fiabitanS un fpeëkclé-a^éabléV
& üne rroùrriture*abon:dante à lèurs^rbupeàüx. Les;a3o^é^^jiS&» Çkm~
tovaj & à’Jmancaes femblent par. leur yerdurè & la yariëti^déër'fleura
dôrityïîeS' fortt Couvertes au PrihtemS, 3
Venir jqüïr dés plâiflrS quJëHés offrent a la" VÜ’ei te s ' lieux voifins * de 1»
Ville, jufqü’àVou 8 lieues dediftance, offrerft les mêmes agrémens, &
ne' ' foift fpàs moins ; ftéqüëntés J5arJ b e a u c o u p ' ^ne'aîés; hëux,
lëx'plps. à portée; o ü ^ è p t ’jOufr'd%n*ô^ ^ T O ,-& -d a n g e r ffUirv
Lei^ont'è'Jmancâes,"dont nous avons 'déjà i>àrié', tire'fon nom d’iinè
fleur ‘qui y ‘croît. :Elle J# jaune, de ]a figuré d’ime -elochett-e*, d ’où g foN
tent quatre feuilles qüi fe terfiîinent'en pointe;- la couleur en ^
ve, mais la fleur ne fent rien, & n’eft eftimée que pour fa beàutéextérieurel
Outre ces promenades, la Ville en â encore1 une publique au bout du
FauXboürg'5<3» Lazüro, lâ^elle Ils' appellëfit elle ëft formée par.
cinq ;diééj fÜr^|ir^ ^ dè':
Leur feuillage toujours vërd. fert .de reéréàtiôn aux habitant* ainfi-que
les allées de vMôixa les boi-ds de lë;llivîere, & d’autres èricore du Fori
voit tous les jours une foule de c a r ô f f e Ç d e 'cb.aifes ou calèches; g ■
Dans îe'yoifinagë W Ùma en'fië yoitpïus' d autres Mbnuniens d Antiquité
que lâümcâïyoù Sêpuiérés dë'S'piçiens 1 / r f c , & quelques Mu^
railles qui bordoïept Lés chëmiiis, & ‘qu^Sl rèkarque dans toutes ce» Çam;
pagnes. Mais à. trOisJiéilès' de la Yflfê vers lé Nord-Eft, -elfe nnoVMl^ê.
LpcUée Guqcackpa* où fubfifteiit encore les murailles d’uiie grande Bour*
gade ; ioumqùé je lié les àye jamais'Vues, n’en ayantpas' oui parler
alors, je n’ai pas àüffi particulièrement que fl je
les avois'vùëSr J-en ai Tobjigàtion a ; f ! f r p , Marqus
Aé^te & ^oüé' àe’ f ^ g g p '
ü » ^ l^ . . î^ 4 ^ant-.g3BBnindavecbeaucpop.-defoin ces ruines, remar-
qua;qUel^ypeirqai^omP0^ ênt cette Bqurga.de étoient fort étroites: les
maifhns,' tpiLfclon la maniéré dg <ÇjC; tqnij-]^ n’aypient-point de toit, &
dont:l§s;j»i|?ll®s n’étqienyque .de baiige-,fprmqient par leur difpofition
trois' app^^iriens pe$it§.-:|£ quarres. Les portes, qyi donnpient fur la rue
n’é t^ n t pas m fiautes . que la-jff^qré^ordingire d’qn hpmme, la hauteur
des mi 1 rail 1 e.yétniy4’gnv^&11 .troil, aunes :àr«gf^ ^p^s_:j l ’armi toutes les
fnaîfnris qui, eompofoieht cette grande -Bourgade^, qui- étoit fituge au pied
d’une 'Colline il y eh annedQnties; murailles sfélévent_ fort au^deflus de
celles des autres, ce qui la rend fort remarquable;, & fait, foupçonner que
- Mais il
n*^; pas paffiblede pqrter pn jugement dédfif là^effus. -, Cewç. qui ha-
'bitent cetfif VÉlée, ^ue la'Rivi^&'dje. k lm è tra¥eïfe nbù loitr de cêtxe
Bom^adq,viui donnent le nom dç Caxamaiça-Ig, vieille^, mais on ignore,,il
élle.;a portoce nom du tëiîîs fi^lâ ùèüiâtf,''puffqu’outfé qu’il n’ÿ'à'per-
fonne’fùr les lieu^§jBi.iit! confer'vg aucun&ipî« de cette, Tradition,, les
^■ er~
wxa H m % :Dèefde.î>l’t n’en font ^aucune me^Qq^j& ^tQuç. ce,_qu:pn ô i
faiti1; lë’eff ipso p^uÿdiffâ^U’ePic^^^tttSlteife i 3! Ville de Çaxamqrça^
en lui donnerâUjQUrd’huiJé furpoAde
Uné Ohofe^qujÿftappg,. tant dans ces murailles, que .pRs; eeljgs qu’op
reneontre'lcfens lftsq’V^^;#oif®ess
oie:.de k 'terreji,.&ps.i|nOj:Êiter ni ciîngnt^
ont réfiftà ipébranlableîPf ne aux .violonti^..'ièepû^5 des;-,grands.î<trembje-
mèns dé teiyer,;,-'tandis qifèJes plus ïolidesifcÿfiëgs de datons les
lieux confidérables bâtisepar i dès ïArëhitééiesl^^f^i©^ fOOfi fûceombé.
Ces maifons bâiâës^par iss-lndiens Gentils; n’ont fôuffert., d’autredommagè
que d’avoirmté- abandonnéesi, i,-ou-qufi- ëelüi.’;qtïe'tes Berges y ont fâit en
y retirant leurs; Troupeaux pendant qu’ils les,vfont -repéfer': en Jles- îne-
îiantT'ù Lima.-, ,
Par cettë manisrefdç ;;bâtir on : doit conclure.. que. I jexpériencg fërvoit
de maître aux naturel» du Pâÿ&, •& leùtfenfeignQit .quftdans. une; Contrée
fi fujette aux tremblemens*de terEe:il:ne7cenv.enoic. pointéd’omployer le
mortier pour. rendre -les maiforis plus fermes. .. v5tuffi alTusë^t'On que quand
les /K^ienmouvellement conquis virent les Mfptyçi&ls:éTQ$i@yex le mortier
& le cimem pour élëver.,des édifices., -ils dirent, en fe-jmoquant d’euxj
que les Efpagnols- fe creufoient des tomboauxipour s’enterreryoulapt jn*
Ppp a finuer