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« Les endroits les plus fréquentés ne sont pas ceux
» sur lesquels on a le plus de données certaines »,
E s sa is sur les l i e s Fortunées, page 1.
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Ï 'E S Q Ü A T R E P R IN C iPÄ 'L E S I L E S
D E S M E R S D ’A F R I Q U E . »
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CA N D E L A ReTTSTIÖN, E T D È S C r a -
Ï È R E S Ram ON D.
P a r quelque route que l’on tente le voyage
du Volcan , c est toujours une entreprise pénible
et périlleuse. Le jour, on est incommodé
par une clialeur accablante ; la nuit, par un
froid aigu. On peut se trouver à une telle
distance de tous lieux habités, qu’il n’y ait pas
de secours àen espérer en cas d’accident. Il est
d’ailleurs aisé de s’égarer da^ des sentiers
à peine, marqués, ou dans les seories sur
lesquelles pied ne laisse pas de trace, surtout
quand des brumes épaisses et qui peuvent
A s ï ,
Brumaire,