( ( 4 4 :2l)
Plctte-fhrríie. Espace assez unii, sifflé à la hase tla Ma-
; melon central. II», a3f,i) . 02 > , ! :
Pointe des Bambous ; à la Montagne Rouge*:IL,"íf 3»
Voyez Br.ufédu Bambou.: < ,,,• -. ,. 7 • ■ t
Pointe du Bourbier : à Boj.n'bon. J I , ti& n •/ ; f i:.
Pointe. dg9vCa§çqdçs ; au J¿q%. Disposition
d e là ppuzzolojie rpugcqjui JL^çppipose.iT^
Pointe à Cora«#<wîfe^; auP iip q7fe9.qge. H> 169% Fermée
de prisrnes courts, ibid. it., ’ '¿¿Já ,
P o in te \dfes/Pigui"f¡$ ou.dps ^gblfhLb-J^çurbQP,.fl,
270. Coulée très-moderne qu’on. rencontre près d’elle.
Nature de cette coulée, 271. , . »«
Pointe des Galets'; à Boflrbon. I , 547..
Pointe des Grands Bois ; à là Réqnión. I l , 368’. '
Pointe ¿té Jouyancourt. Crète qui sépare Je rempart .de
là Plaine des Osmondes de celui du Bois Blanc. J ï ,
' 209- ' - / -,
Pointe de Langevin. A Bourbon. Soupirail qu On y
observé e t dañé lequel dés flots se sont introduit^.
i i , 3 4 9. ,j ¿ T í «
Pvinte' d è l à ’Rivïèkë S ic h eÆ 'ïà Réunion. Les galets ÿ
sont jflüà vétùmineux qu^àilfeùrs.' î î § i2g.’t: f i
P o is Gmn ée.Yoyci AmbrèuVuaes:'- | "..
P oivré (le ). Plante ; au jardin des Pamplemottâàés. I >
2 x7 * Réussitlxès-bien sur lé tronc de WJrbre 'àphi'n.
. I I ,,tfg. Cultivé au Bras.Mussàrd..‘46t.-i-'P. à qkeùe ; à
Bóurboñ. I ; ado..-— P . à feuilles grasses. 11 répand
|une odeur ¡particulière. 320,, 35o.,
• Poivre (M,) Í in tendant éclairé qui a é té très-utile à »nos
colonies orientales. E lo g e qu en fait Raynal, II ,t45.
M. Hubert donne sOn nom à la plus belle partie
de son verger,. Fête cliampêtre que cet agriculteur»
donnée. life P9;iy"e' 48-::Lettf e d®
madame Poivre à M; Hubert. 4g , 5o, 5 x. Plante qui
a été Pfr Commerson. 56.
Polypode aiguillonné^ Fougère de nos climats, tro.u-
'¿¿ ¡¡L à Ténériffe’, de juême. que, le. P .fo u g é r e mâle'*
F 62. — P .M b p v e s çm t ; è rile-de-France.Sa des-
' cription. 179. P . DiefptQTne., à Bourbon. 3xg. —
P . Diaphane ; espèce nouvelle, ibid. 3%j.-p- P tP h y ^
m l o d W h i^ l l , 2fl,r|x35 , ^ f . W p espèce
nouvelle. Ibid. ig3.
Pbw ïon v ô fa n tN o y ç f P x o c e f . . . ^ ^
P o ly tr ic communi Mousse d’feuropé qui së trouye à
' 'BÔdrbon. I , 325. — ÎIV214 , 2-6z .
PâniHtês de Cultivées à B o u r b o n . 12 . Nous en
trouvons dans des grottes du Gros iMortxC; 109.
PçfrtlCdron pAHSafcrtelHbse; Ba dësmption. II-> i5o.
Voyez Sainle-RoseL ■ ■ ■ un ri v \
P o r t de Langeyid. Petit débarcadaircde Bourbon, résultant
d ’ u n éèartemënt prâtiqué par la nature. I I ,
. 348. u afeioq eoh insaryiloa
Piorti-Loüis. Y p y e z PprtNorçl^Ouçst.
P o r l'N c r d -O u e s t Seule ville de LHe-dè-France. Sa
* pOpiilalion. Ses maisOtìs baSsês.! ÿ i§ 3-. Botanique de
ses rues et de sés enclos. ï64. Bâti au pied du Pouce,
feg. La température y èst plus ardente que dans le
" resté de l’île. 233.
Possession (la.) Premier établissement des Français;
à la Réunion. Son sol. I I I , 2.33.
Potdniôgétoii nageant. Plante européenne ; à Ténériffe.
1 , 45.^