An x. tact et ses maniérés conciliatrices, pour épargner
Nivôse, aux habitans des démarches dont on n’eût pas
tardé à resseîitir les Funestes conséquences.
Il fallait éclairer et rassurer des hommes,
exaltés par la crainte. L e général développa
donc éloquemment dans l ’assembîée coloniale'
ce que le gouvernement avait déjà fait peur lebien
des colonies, cc S i le Consul, dit le général,.
11 n a Pas encore rapporté le décret qui vousî
n menace comme l ’épée de Damoelès, c’est
» qu il est d’autres possessions en Amérique
» où la France doit rentrer, et qu e , sans doute,,
» on ne veut pas se fermer par cette mesurer
» qui doit etre laderniere de celles par où nous,
ü pouvons espérer de revoir les Antilles pros-
» perer encore sous notre domination ».
Une sorte de calme succéda donc à l’orage^
Il fut décidé qu’on expédierait aux Sechelles.
quelques forces pour y mettre l ’ordre , et en.
enlever, s’il était nécessaire, les plus mutins
des déportés, afin de les jeter sur la côte d’A frique
: l’on profita d’une corvette de la république,
q u i, se trouvant en rade , fut chargé»
dé cette expédition!.
A yan t été obligé de renoncer à mon projet:
de voyage ^ux Sechelles, je formai avec Michaux
le dessein d’aller passer à Madagascar:
tout le tems que devait durer l ’anméraent' du*■" j.fx"N" ''AT»
¡Prince j ioais.eqmme nous faisions tes prépai-.NiTÔM^
ratifs du départ, on signala le 10 nivose un
parlementaire, anglais : il venait annoncer là
paix ; ce parlementaire se nommait' le. piff^
goiçin j e(t avait été expédié dmCappar M; Gur-
ps. D é c o r s je n ’osai; plus quitter te port Nord-
f^post , : certain que cette circonstance* allait
apcplerer le dppart du-vaisseaudiopt je comptais
profiter. .■ . ,
r ^Pri® le cours de mes; recherches. Une de
premières pourges fut dirigée vers l’île aux
3?onnçfiers., o u ; je : ne trouyai pas; la moindre
verdurp. J/q vajs, à poeur d’y. vérifier un fà it in -
térpssapt.: conversations sur la. miné-»
palogie. des . pays , et dans doutes ? ses lettres ,
AÇ • % m’avai t engagé* à ch fer oh e r dans le
figS;,batteries de là, côté;vers la jonc-*
de; fa. ^hfyiiffee. y de Troineliri;, une pierre
qu’op ayajt hriçpe, et dont les morceaux étaient
• eptrés daps; la maçonnerie ; il me priait su r -
tout, quand* je 1 aurais trouvée, de lin en dire
mon a v is , et de chercher a l ’île—de—France de
quel lieu efie pouvait avoir été arrachée. L a
mexpe pierre avait autrefois beaucoup occupe
•P^rih, Çfet officier instruit que j ’ai eu plu-*»
aipuya fois Qpçasiou. de piter.