C 468, )
V ila in ( M. )i j naturaliste, sur le Géographe. 1 , 4.
'Villers. Voyez P ito n de Villers.
Vincendo. Voyez Torrent, P i t o n , etc.
1Viorne. Arbrisseau, voisin du L antan a; à Ténériffe.
I , 62.
''Vipérine. Plante ; à Ténériffe. 1 , 44.
V itr io l martial. Sous forme de très-petits globules pé-
diculés verts, bruns, jaunâtres ; à Bourbon. I I , 282,
283.
'Vittaria. Genre nouveau de fougères, renfermant plusieurs
espèces. I I , 324 , 325.
Voangissayes. Nom donné par Flapcourt au V an ca s -
sayer. (Voyez ce mot. )
V o lca n s . Opinion de M. de Buffon sur le siège de leur
foyer. I I , 24g. Réflexions à ce sujet. 25o , 251. Sont
sujets à changer de figure. I I I , 19. Leur action intérieure
ne s’exerce pas seulement vers leur sommet.
21. Les volcans terrestres modernes ne sont pas doués
d’autant de force que les volcans lunaires. Les
volcans primitifs sont plus forts. Comment ils ont
pu lancer des pierres atmosphériques. 260.
'V olcan de la Réunion. Premier Voyac-e a ce Volcan.
Mon projej d’y monter du coté de la mer. Tout le
.monde regarde la tentative comme téméraire et impossible.
I I , 181. Remontrances que nous font les
noirs. Traditious que l’un d’eux nous raconte pour
nous décourager. 182. Départie 3 brumaire. Nous
traversons le Bois-Blanc, et descendons son Rempart.
18 3 , t 8 4 , i 85, Arrivée au grand Pays-Brulé.
x86. ( Voyez ces mots). Habitation d’un homme dans
cette solitude. 189. Halte au Brûlé pour y réparer
i 463 )
nos forces. Je dessinai le Volcan, vu de ce point. 190.
Nos dispositions pour continuer la route. Nous remontons
la Grande Ravine du Bois-Blanc où nous
faisons provision d’eau. xgx. Belles fougères de ces
li.eux. 192 et suiv. Arrivée au Trou-Caron. 195.
( Voyez ce mot). Il fallut se frayer une route avec la
hache. 196. Camp de marrons abandonné. Mauvais
chemin que nous suivîmes et qui nous mit dans l’embarras.
Chutes de plusieurs de nos noirs sur une
pente très - rapide , qu’ils nommèrent Montée des
Sueurs. Abondance du lichen de V u le a in dans ces
lieux. 196, 197 ,198. Aspect que présentait le P ito n
de Crac. ibid. (Voyez ce moi). Route désagréable
qui nous conduisit à ce dernier. 199. Nous élevons
un boucan. Inquiétudes que nous donne la disette
d eau, dont nous avions, le plus pressant besoin. 200
Apres bien des difficultés, Cocbinard en trouve enfin.
201. Brumes qui nous forcent de renoncer à monter
au Volcan jusqu’au lendemain. 202; Richesses botaniques
de la Plaine des Osmondes. 2o3, 2p4. ( Voyez
ce mot). Nos préparatifs pour aller à la Fournaise.
212. Arrivée au niveau du Nez-Coupé. (V o y e z ce
mot), par les pentes les plus rudes à gravir. Vue
dont on y jouit. 2x3. Rareté -des végétaux dans ce
lieu. 2x4. Difficulté de notre roule hérissée de gra~
tons. 2x5 , 216. ( Voyez ce mot. Monticule que je
nomme P ito n -F a u ja s . 2x7 et suiv. (Voyez ce mo t ) .
Espèce particulière de boulets volcaniques. 221 ,
•¿'¿'¿. (V o y e z ce mot). Fatigue excessive de nos noirs
dont les pieds étaient ensanglantés. Nous partageons
leur -charge et nous continuons, 2 2 3 , 224? Coulée