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*7' —du bassin de la rivière de Saint-Etienne, que
An x.
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pèces voisines ; mais onles distingue aisément à celles
d’entr’elles qui ont, le caractère tranché qui sépare ce
lich en des autres, et qui les accompagne d’ordinaire.
Ce caractère est le grand nombre et l’élégance des
divisions marginales de certains lobes de 1 expansion,
qui deviennent si fines et si contournées, qu elles
-rappellent le jithgermania fu r ca ta . L.
5°. L ich en ( medusinus ) tubulosus , cylindricus ,
t s c I u s , ramosus , extr emitatibus j'u s c is , subulcitisjuv—
catisve. N.
Cette jolie espèce est un de ces nombreux intermédiaires
entre les scyphifères et lès coralloïdes , qui
paraissent bien tranchées au premier coup-d’oe îl, mais
auxquelles il est difficile d’assigner des caractères
bien fixes.
Le lichen medusinus est voisin du lichen g rac ilis ,Ij. ;
du subulatu s , L . , et du fu r c a tu s ,'Làm. Il ne m’a pas
parü, comme ces derniers, avoir parfois des écailles
foliacées répandues sur sa surface : il est, au contraire,
toujours uni et égal dans tduté sa longueur. Ses tiges
ont jusqu’à cinq pouces dë long ; ëlléS sont cylindriques
, n’excèdent pas la grosseur d’un gros fil; elles
- gout d’un jauneroussâlre assez fijai ? tres serrecs j entie—
lacées , droites, formant des gazons épais entre les
mousses humides : ces gazons ont une teinte brunâtre
'.extérieurement, qui vient de la pointe des rameaux
qui est oolorée.
Le lichen dont il est question est un: des cryptol
i o 3 )
.circonscrivent des remparts d’une hauteur
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• j mairel
ganjes qui rend le plus, à la terre,' par la promptitude
ayqç laquelle, il croit, et parda; quantité d’humus que
forme sa base, qui se décompose à mesure, que ses
extrémités, supérieures s’aiongent., , , , • ,
L ich en ( candelabrum ^-prôlifêr^ ramosus ¿ tu*
î>ulositiS , dëfoi'mis~l âseënd~ens,‘ suotaçunosus, rigiaius‘-
culüs ; èictrëmltatibus subfiiScih. N.'FlrX'Vïjrfîg* S.
t Ce ,lichen est l’un des plus beati& fmtïcu leux et scÿphi~
fè r e s tout-à-ladois. Sa couleur est d’un jaunâtre blanc
très-gai, çt-^es e x t r é m i t é s ; / d e n t é s
brunâtres forcent un sin gulier effet, IL n’a proprement
ni tige, ni rameaux ; ce ne sont pasnonplus dçscaton-'
’ttoîihs prolifères. Pour se faire !une idée de cette sin-
'gulieTé p lan te il faùt se figurer XeïïcTien ü h c ià h s , L . ,
sït fôisipltts gro's'ët plus ràmêu£y tenant' fin peu du
lichen pixidatuseX, tlu rangifèriniis-
'. 7®. [lichen ( bybridus ) ittb&lositi1 , pèrforatiié^vdr-
xucosus^. vhmosus ytubèrculis^rtnirialibiLs'pffllif&r*
Vlibus. jV. m g ¡g > CfffffT
, Cette plante est l’une, desplqs ^traprdinaiçes dfâ son
genre ,. par la çjçoîsure bimane qu’elle Dr&en;te,,Ç’çst le
■ •. ■ t »■ ’ j i t mg f *fa *".I J n t -fi y i. -2" •*-»- ■ ■- •; • - * ' '
port du lich en rangiferinus, t v, avec une fructification
ioutè ai lier en te* dé celle des cordliotaés, et très-
.voisine.de.celle.de&.fbliaeés lacuneux. ------—
La plante excède rarement deux, ou quatre pouces
de hauteur..;, elle, forme des A,o(uiiëx-dans le genre de
,. celles des affres, poralloïdes.; Ses tjig^ §gtuIeiisesi,sonè
un peu verruqueuses,.moins rameuses que dans beau*-