douzième moindre que celle de
i’or, ibid. & fuit. Expériences de
. M. Je comte de Milly fur ia platine,
3 i 4 ey fuit. Il y a des efpèces de
platine qui font mélangées de parties s criltallines comme de petits rubis,
de petites topafes, -&c. & il y a
d’autres efpèces de platine qui ne
contiennent rien de femblable ,
322. Elle contient des grains hémi-
fphériques qui paroilfent indiquer
qu’elle eft le produit du feu , 3 2 3 .
La mine de platine , même la plus
• pUré , ' qui ne contient point de
parties criltallines, eft fouvent mélangée
de quelques paillettes d’or ,
ibid. L ’or & le fer dont eft com-
pofée la platine y font unis d’une
manière plus étroite & plus intime
que dans l’alliage ordinaire de ces
deux métaux, & le fer qui eft incorporé
à la platine, eft du fer dans
un état différent de l’état du fer
ordinaire, 3'2.6. Expériences de M.
de Morveau fur ce minéral, 328
Ù'fuiv. On peut efpérer de fondre
la platine fans addition dans nos
meilleurs fourneaux en lui appliquant
le feu plufieurs fois de fuite,
parce que les meilleurs creufets ne
pourraient réfifter à l’aétion d’un feu
suffi violent pendant tout le temps
qu’exigerait l’opération complète,
337. En fa fondant fans addition
elle paraît fè purger elle-même des
matières vitrefcibles qu’elle renferme
, car il s’élance à fa furfàçè
des jets de verre allez conljdérables,
ibid. O n peut faire le bleu de Prulîè
avec la platine , ce qui prouvé
qu’elle eft intimément mêlée de fer,
& que le plus grand feu ni la coupellation
ne peuvent détruire ce fer
dont elle eft intimément pénétrée';
car après la fufion on retrouve en
rebroyant le bouton, qu’elle contient
encore des parties ferrugineufes &
magnétiques, 3 37 d r 338. La
platine fondue fans addition reprend
lorfqu’on la broie, précifément la
même formé des galets arrondis &
aplatis qu’elle avoit avant la fufion,
ibid.
P l o m b ( le ) s’échauffe plus vite &
fe refroidit en moins de temps que
le fer , 1 7 5.
P o u m o n s (les ) font les foufflets de
la machine animale, ils entretiennent
& augmentent le feu qui nous
anime, félon qu’ils font plus ou
moins puiffans, & que leur mouvement
eft plus ou moins prompt, 8 6 .
P U I S S A N C E S (les ) de la Nature
réduites aux deux forces attraélive
& expanfive,1--1 & 5.
P y r i t e s martiales, leur origine &
pourquoi on les trouveen fi grande
quantité à la fttrface de la Terre, 3 68.
qualité réelle dans la Nature, ne
peut avoir qu’une mefure, & par
conféquentne peut être repréfentée
que par un terme, 133. Démonf-
tration de cette vérité, ibid. & fuit.
R
Éd u c t io n des métaux (la) n’eft
pas plus difficile à entendre que la
précipitation, 74 . Elle n’eft dans
le réel qu’une féconde combuftion
par laquelle on dégage les parties
d’air & dé fèu fixes que la calcination
avoit forcées d’entrer dans le métal
St de s’unir à fa fubftance fixe à
laquelle on rend en même temps
les parties volatiles & combuftibtes
que la première aélion du feu lui
avoit enlevées, 96.
R é f l e x i o n de la lumière. II n’eft
pas certain, comme l’a dit Newton,
que les rayons les plus réfrangibles
foient en même temps les plus réflexibles.
Difcuffion à ce fujet, note,
5 2 5 & 5 2 6.
R e f r o i d i s s e m e n t . Letemps
du refroidiffement des corps eft en
raifon de leur diamètre, 2 6 . Deux
points à faifir dans le refroidiflêment
des corps ; le premier, lorfqu’on
commence à pouvoir les toucher
fans fè brûler ; & le fécond, lorfqu’ils
font refroidis à la température actuelle
, 147. Le refroidiflêment.du
globe de ia T erre, depuis l’état
d’incandefcence jufqu’au point de
pouvoir le toucher fans fè brûler, ne
s’eft fait qu’en quarante-deux mille
neuf cents fbixante-quatre ans, & fbn
refroidiffement jufqu’à la température
aétuelle, ne s’e ft, fait qu’en
quatre - vingt - fèize mille fix cents
foixante - dix ans, en fuppofant le
globe principalement compofe de fèr
& de matières ferrugineufes, 1 ^7 i f
138. La principale caufè du refroi-
diflèment n’eft pas le contaél du
milieu ambiant, mais la force expanfive
qui anime les parties de la chaleur
& du fèu, 159. Comparaifon du
temps du refroidiflêment des globes
de glailè & de grès avec celui du re-
froidiflèment des globes de fer, i 66
<y fuit. Comparaifon du temps du
refroidiffement du marbre, de la
pierre, du plomb & de l’étain avec
celui du refroidiflêment du fer, 1 66.
Rapports du refroidiffement des
différentes fubftances minérales
conftaté par un grand nombre d’expériences
, 1 7 7 èd fuivantes.
R é p u l s i o n . Changement d’attraction
en répulfton, comment if
s’opère, 8,
R e s s o r t ( le ) eft le fèul moyen
BbM) i j